Le Premier Ministre "Jebali" Tunisien ministre démissionne !
Le Premier ministre tunisien Hamad Jebali a annoncé avoir quitté son poste, aujourdhui mardi, après l'échec de sa tentative de former un gouvernement apolitique pour sortir le pays de la grave crise qu'il traverse.
"J"ai promis et assuré qu'en cas d'échec de mon intiative, je démissionnerais de la présidence du gouvernement et c'est ce que je viens de faire", a-t-il déclaré lors d'une allocution retransmise en direct à la télévision, à l'issue d'un entretien avec le chef de l'Etat Moncef Marzouki.
"L'échec de mon initiative n'est pas celui de la Tunisie"
Hamad Jebali, qui est entré en conflit avec son propre parti islamiste Ennahda en proposant un cabinet de technocrates, a indiqué qu'il partait pour "tenir (sa) promesse faite devant le peuple".
"Il y a une forte déception. Notre peuple est déçu par sa classe politique, il faut restaurer la confiance", a-t-il dit.
Il a également déclaré avoir demandé à ses ministres de continuer à faire "plus d'efforts pour que l'Etat continue de fonctionner" malgré sa démission.
"L'échec de mon initiative ne signifie pas l'échec de la Tunisie ou l'échec de la révolution", a-t-il encore souligné, se disant toujours "convaincu" qu'un gouvernement apolitique "est le meilleur moyen pour sortir le pays de l'errance". Il a insisté une nouvelle fois sur l'urgence de fixer la date des prochaines élections.
Le Premier ministre tunisien Hamad Jebali a annoncé avoir quitté son poste, aujourdhui mardi, après l'échec de sa tentative de former un gouvernement apolitique pour sortir le pays de la grave crise qu'il traverse.
"J"ai promis et assuré qu'en cas d'échec de mon intiative, je démissionnerais de la présidence du gouvernement et c'est ce que je viens de faire", a-t-il déclaré lors d'une allocution retransmise en direct à la télévision, à l'issue d'un entretien avec le chef de l'Etat Moncef Marzouki.
"L'échec de mon initiative n'est pas celui de la Tunisie"
Hamad Jebali, qui est entré en conflit avec son propre parti islamiste Ennahda en proposant un cabinet de technocrates, a indiqué qu'il partait pour "tenir (sa) promesse faite devant le peuple".
"Il y a une forte déception. Notre peuple est déçu par sa classe politique, il faut restaurer la confiance", a-t-il dit.
Il a également déclaré avoir demandé à ses ministres de continuer à faire "plus d'efforts pour que l'Etat continue de fonctionner" malgré sa démission.
"L'échec de mon initiative ne signifie pas l'échec de la Tunisie ou l'échec de la révolution", a-t-il encore souligné, se disant toujours "convaincu" qu'un gouvernement apolitique "est le meilleur moyen pour sortir le pays de l'errance". Il a insisté une nouvelle fois sur l'urgence de fixer la date des prochaines élections.
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