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Le Consul général d’Espagne à Oran, M. José Manuel Rodriguez, a annoncé mardi la création d’un Cercle du commerce et de l'industrie algéro-espagnol (CCIAE) basé à El-Kerma (Oran), regroupant des entreprises des deux pays. Le diplomate espagnol a indiqué, lors du forum du groupe de presse "Ouest Tribune", que ce cercle, basé à El-Kerma (Oran), est une structure indépendante regroupant des opérateurs économiques algériens et espagnols.
Le cercle œuvre à un échange d’informations entre les entrepreneurs des deux pays et le raffermissement des relations bilatérales, a-t-il ajouté. Après avoir évoqué "l’excellence des relations bilatérales" et brossé un tableau sur les échanges économiques entre les deux pays, M. Rodriguez a mis en exergue l’intérêt que porte son pays au développement d’un partenariat mutuellement gagnant permettant la création des richesses et d’emplois, le transfert du savoir-faire et des technologies sur la base de la règle 51/49.
Le diplomate espagnol a également rappelé que près de 1.000 entreprises espagnoles activent actuellement dans la région de l’ouest algérien.
Il a rappelé que les opportunités qu’offre la région ont conduit des opérateurs espagnols versés dans le secteur de l’agroalimentaire à s’installer en Algérie pour se lancer dans la production, alors qu’ils se contentaient, dans le passé, à exporter leurs gammes de produits.
Concernant la question des visas, M. Rodriguez a indiqué que son pays a délivré l’année dernière quelque 33.000 visas d’entrée en Espagne, "ce qui représente une hausse de 50% par rapport aux années 2010/2011", a-t-il précisé. A une question sur l’émigration clandestine, le diplomate espagnol a répondu que son pays "ne connaît pas de problème d’émigration clandestine avec l’Algérie".
Salima K. 20.02.2013
Le cercle œuvre à un échange d’informations entre les entrepreneurs des deux pays et le raffermissement des relations bilatérales, a-t-il ajouté. Après avoir évoqué "l’excellence des relations bilatérales" et brossé un tableau sur les échanges économiques entre les deux pays, M. Rodriguez a mis en exergue l’intérêt que porte son pays au développement d’un partenariat mutuellement gagnant permettant la création des richesses et d’emplois, le transfert du savoir-faire et des technologies sur la base de la règle 51/49.
Le diplomate espagnol a également rappelé que près de 1.000 entreprises espagnoles activent actuellement dans la région de l’ouest algérien.
Il a rappelé que les opportunités qu’offre la région ont conduit des opérateurs espagnols versés dans le secteur de l’agroalimentaire à s’installer en Algérie pour se lancer dans la production, alors qu’ils se contentaient, dans le passé, à exporter leurs gammes de produits.
Concernant la question des visas, M. Rodriguez a indiqué que son pays a délivré l’année dernière quelque 33.000 visas d’entrée en Espagne, "ce qui représente une hausse de 50% par rapport aux années 2010/2011", a-t-il précisé. A une question sur l’émigration clandestine, le diplomate espagnol a répondu que son pays "ne connaît pas de problème d’émigration clandestine avec l’Algérie".
Salima K. 20.02.2013
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