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“Lesrar n ddunit’’ ou ‘’les secrets de la vie’’, est l’intitulé du premier recueil de poésie de Mohamed Berdjane, édité chez les éditions Les Oliviers.
Mohamed Berdjane, est un homme de soixante-sept ans du village Aguemoun, sis dans la commune d’Ait-Aissi. Il nous propose une trentaine de poèmes écrits en kabyle et traduits en français, et qu’il dédie à la nature et à la cause de l’environnement. Si Muh Berdjane, comme se plaisent à l’appeler ses proches, a des centaines de poèmes écrits sur des carnets.
Cet amoureux de la nature a de quoi remplir une quarantaine de recueils. Il vient donc d’en publier un premier, mais il espère que d’autres suivront. Il garde précieusement près de 2000 poèmes chez lui en attendant de trouver un nouvel éditeur. A ce propos M. Berdjane dira : « je peux publier un recueil chaque mois. Malheureusement je n’ai pas de maison d’édition. Je lance donc un appel aux éditeurs et je les exhorte à investir dans le domaine culturel, afin de promouvoir notre identité ».
Notre interlocuteur poursuivra en précisant : « La poésie coule dans mon sang. Et même si j’ai un faible pour la nature, qui m’inspire énormément, tous les sujets m’interpellent et m’intéressent, les rimes viennent spontanément ». M. Berdjane est un écologiste convaincu. Dans son œuvre il fait parler la nature, les oiseaux, la neige et la pluie. A travers son œuvre, il aspire à contribuer à la préservation de l’environnement, dit-il. « Il est vrai que la parole a perdu, dans toutes les sociétés du monde, de sa valeur, car concurrencée par l’image. Si Muh Berdjane donne l’impression d’être une voix esseulée et pathétique. Il me rappelle en tous les cas l’entêtement du poète à être un poète à naître », écrit, Youcef Merahi, écrivain et secrétaire général du Haut Commissariat à l’Amazighité (HCA), dans la préface de ce livre.
Samira Bouabdellah- La Dépeche de kabylie
Mohamed Berdjane, est un homme de soixante-sept ans du village Aguemoun, sis dans la commune d’Ait-Aissi. Il nous propose une trentaine de poèmes écrits en kabyle et traduits en français, et qu’il dédie à la nature et à la cause de l’environnement. Si Muh Berdjane, comme se plaisent à l’appeler ses proches, a des centaines de poèmes écrits sur des carnets.
Cet amoureux de la nature a de quoi remplir une quarantaine de recueils. Il vient donc d’en publier un premier, mais il espère que d’autres suivront. Il garde précieusement près de 2000 poèmes chez lui en attendant de trouver un nouvel éditeur. A ce propos M. Berdjane dira : « je peux publier un recueil chaque mois. Malheureusement je n’ai pas de maison d’édition. Je lance donc un appel aux éditeurs et je les exhorte à investir dans le domaine culturel, afin de promouvoir notre identité ».
Notre interlocuteur poursuivra en précisant : « La poésie coule dans mon sang. Et même si j’ai un faible pour la nature, qui m’inspire énormément, tous les sujets m’interpellent et m’intéressent, les rimes viennent spontanément ». M. Berdjane est un écologiste convaincu. Dans son œuvre il fait parler la nature, les oiseaux, la neige et la pluie. A travers son œuvre, il aspire à contribuer à la préservation de l’environnement, dit-il. « Il est vrai que la parole a perdu, dans toutes les sociétés du monde, de sa valeur, car concurrencée par l’image. Si Muh Berdjane donne l’impression d’être une voix esseulée et pathétique. Il me rappelle en tous les cas l’entêtement du poète à être un poète à naître », écrit, Youcef Merahi, écrivain et secrétaire général du Haut Commissariat à l’Amazighité (HCA), dans la préface de ce livre.
Samira Bouabdellah- La Dépeche de kabylie