Par le sit-in d’hier, les travailleurs de l’entreprise d’ammoniac omano-algérienne (A.O.A) haussent le ton et cela, suite à la «duperie» dont ils ont été victimes, la fin de semaine dernière, par leur supérieur.
Les travailleurs de l’entreprise d’ammoniac omano-algérienne (A.O.A) n’en démordent pas. Voilà plus de 45 jours qu’ils observent un mouvement de grève. Dans la matinée d’hier, ils étaient plus d’une centaine à s’être rassemblés devant le siège de l’inspection du travail. Sur les pancartes, on pouvait lire «Stop à l’humiliation» ou encore «Pour la dignité du travailleur algérien». Un dispositif policier n’a pas tardé à s’installer, mais on n’a noté aucun dépassement. Par le sit-in d’hier, ces travailleurs haussent le ton et cela, suite à la «duperie» dont ils ont été victimes, la fin de semaine dernière, par leur supérieur.
«Suite à une réunion entre les dirigeants de l’entreprise, les syndicats ainsi que les membres de l’inspection du travail, on nous a invités à reprendre le travail, et de nous trouver au plus tôt un arrangement. On a été dupes, et on les a suivis. Or, le jour de la reprise, mercredi dernier, on apprend à nos dépens qu’une liste a été affichée, comportant le nom de 174 travailleurs qui sont sur le point d’être mis en demeure ! Il n’y a pas d’autres mots : on a été dupés, et dès lors, on a repris notre mouvement de grève». Pour rappel, le mois dernier déjà, 19 travailleurs grévistes ont été sur le coup d’un licenciement par cette entreprise d’ammoniac.
«On ne demande pourtant pas la lune, on demande juste à être respectés, et que ces deux poids deux mesures cessent une bonne fois pour toutes. Alors qu’on a les qualifications adéquates, on se tape le sale boulot, tandis que beaucoup des travailleurs étrangers, parfois moins diplômés que nous, se la coulent douce et touchent des salaires mirobolants.» Pour rappel, le 6 janvier dernier, les travailleurs algériens ont enclenché au sein de l’entreprise d’ammoniac, sise à Mers El Hadjadj, un mouvement de grève et cela, pour dénoncer notamment «le non-respect des lois sociales en ce qui concerne les relations de travail, la gestion opaque, la discrimination salariale entre travailleurs algériens et étrangers, et le comportement méprisant des responsables indiens du complexe».
L’entreprise A.O.A. a été conçue suite à un accord de partenariat réalisé en 2008, entre Sonatrach et le groupe omanais Suhail Bahwan. Mais le groupe omanais, majoritaire dans les parts de marché (51%), a choisi de recruter des dirigeants et des cadres indiens et bengalis pour la gestion du site, ce qui a eu pour effet de provoquer la colère des Algériens. «Tant qu’on sera discriminés, on ne remettra plus les pieds dans ce complexe», tempêtera un travailleur gréviste.
Akram El Kébir
Les Indiens Prachutés , et ils sont partout en ALGERIE- , peut etre plus nombreux que les honnetes Chinois -, comme dirigeant entrepreneriales savent parfaitement maitriser la marche tentaculaire et sournoise a petit pas .
Pendant que les Indiens -( on ne sait d ailleurs pour quels pays ils bossent)- surement ni pour l INDE ni le Bien et la PAIX et la PROSPERITE DE l aLgérie.
Cela rappelle bien le chauchemard de l acier mondial , qui est sous une main basse indienne.
Comme ils ont maintenant El hadjar par exemple qu il ont acheté pour 2 milliards de dollards UNE SEULE FOIS - Maintenant l Algérie selon les statistiques IMPORTE 10 milliards de fer et d acier Chaque Année.
Sachant que tout l acier est monopolisé Diaboliquement par MR L Indien.
Génial n est cepas.
Pour l AOA qui doit fabriquer l ammoniaque en Algérie , cela commence bien ,(Problemes SOUHAITES par les Indiens au début car comme l acier Mondial , ils détiennent de trés Grosses partts et usines mondiales d ammoniaque.
Bien sur travail de Génie Diabolique , complétement diférent des tratégies occidentales , mais pire que cela, avec cadeau la médiocrité et l anarchie comme cadeau de bonne hospitalité.
Les travailleurs de l’entreprise d’ammoniac omano-algérienne (A.O.A) n’en démordent pas. Voilà plus de 45 jours qu’ils observent un mouvement de grève. Dans la matinée d’hier, ils étaient plus d’une centaine à s’être rassemblés devant le siège de l’inspection du travail. Sur les pancartes, on pouvait lire «Stop à l’humiliation» ou encore «Pour la dignité du travailleur algérien». Un dispositif policier n’a pas tardé à s’installer, mais on n’a noté aucun dépassement. Par le sit-in d’hier, ces travailleurs haussent le ton et cela, suite à la «duperie» dont ils ont été victimes, la fin de semaine dernière, par leur supérieur.
«Suite à une réunion entre les dirigeants de l’entreprise, les syndicats ainsi que les membres de l’inspection du travail, on nous a invités à reprendre le travail, et de nous trouver au plus tôt un arrangement. On a été dupes, et on les a suivis. Or, le jour de la reprise, mercredi dernier, on apprend à nos dépens qu’une liste a été affichée, comportant le nom de 174 travailleurs qui sont sur le point d’être mis en demeure ! Il n’y a pas d’autres mots : on a été dupés, et dès lors, on a repris notre mouvement de grève». Pour rappel, le mois dernier déjà, 19 travailleurs grévistes ont été sur le coup d’un licenciement par cette entreprise d’ammoniac.
«On ne demande pourtant pas la lune, on demande juste à être respectés, et que ces deux poids deux mesures cessent une bonne fois pour toutes. Alors qu’on a les qualifications adéquates, on se tape le sale boulot, tandis que beaucoup des travailleurs étrangers, parfois moins diplômés que nous, se la coulent douce et touchent des salaires mirobolants.» Pour rappel, le 6 janvier dernier, les travailleurs algériens ont enclenché au sein de l’entreprise d’ammoniac, sise à Mers El Hadjadj, un mouvement de grève et cela, pour dénoncer notamment «le non-respect des lois sociales en ce qui concerne les relations de travail, la gestion opaque, la discrimination salariale entre travailleurs algériens et étrangers, et le comportement méprisant des responsables indiens du complexe».
L’entreprise A.O.A. a été conçue suite à un accord de partenariat réalisé en 2008, entre Sonatrach et le groupe omanais Suhail Bahwan. Mais le groupe omanais, majoritaire dans les parts de marché (51%), a choisi de recruter des dirigeants et des cadres indiens et bengalis pour la gestion du site, ce qui a eu pour effet de provoquer la colère des Algériens. «Tant qu’on sera discriminés, on ne remettra plus les pieds dans ce complexe», tempêtera un travailleur gréviste.
Akram El Kébir
Les Indiens Prachutés , et ils sont partout en ALGERIE- , peut etre plus nombreux que les honnetes Chinois -, comme dirigeant entrepreneriales savent parfaitement maitriser la marche tentaculaire et sournoise a petit pas .
Pendant que les Indiens -( on ne sait d ailleurs pour quels pays ils bossent)- surement ni pour l INDE ni le Bien et la PAIX et la PROSPERITE DE l aLgérie.
Cela rappelle bien le chauchemard de l acier mondial , qui est sous une main basse indienne.
Comme ils ont maintenant El hadjar par exemple qu il ont acheté pour 2 milliards de dollards UNE SEULE FOIS - Maintenant l Algérie selon les statistiques IMPORTE 10 milliards de fer et d acier Chaque Année.
Sachant que tout l acier est monopolisé Diaboliquement par MR L Indien.
Génial n est cepas.
Pour l AOA qui doit fabriquer l ammoniaque en Algérie , cela commence bien ,(Problemes SOUHAITES par les Indiens au début car comme l acier Mondial , ils détiennent de trés Grosses partts et usines mondiales d ammoniaque.
Bien sur travail de Génie Diabolique , complétement diférent des tratégies occidentales , mais pire que cela, avec cadeau la médiocrité et l anarchie comme cadeau de bonne hospitalité.
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