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Yves Montand - Le temps des cerises

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  • Yves Montand - Le temps des cerises


    Le Temps des cerises is a song
    written in France in 1866, with
    words by Jean-Baptiste Clément
    and music by Antoine Renard.
    The song is strongly associated
    with theParis Commune. It is
    believed to be dedicated by the
    writer to a nurse who was killed
    in theSemaine Sanglante
    ("Bloody Week") when French
    government troops overthrew
    the commune.[1].
    Lyrics
    There are many versions of the
    original lyrics, but the following
    is the version popularised by the
    singer Yves Montand, with
    possible variants given in
    parentheses:
    Quand nous chanterons le
    temps des cerises (Quand
    nous en serons au temps
    des cerises)
    Et gai rossignol et merle
    moqueur
    Seront tous en fête
    Les belles auront la folie en
    tête
    Et les amoureux du soleil au
    cœur
    Quand nous chanterons le
    temps des cerises
    Sifflera bien mieux le merle
    moqueur
    Mais il est bien court le
    temps des cerises
    Où l'on s'en va deux cueillir
    en rêvant
    Des pendants d'oreille...
    Cerises d'amour aux robes
    pareilles (vermeilles)
    Tombant sous la feuille
    (mousse) en gouttes de
    sang...
    Mais il est bien court le
    temps des cerises
    Pendants de corail qu'on
    cueille en rêvant !
    Quand vous en serez au
    temps des cerises
    Si vous avez peur des
    chagrins d'amour
    Évitez les belles !
    Moi qui ne crains pas les
    peines cruelles
    Je ne vivrai pas sans souffrir
    un jour...
    Quand vous en serez au
    temps des cerises
    Vous aurez aussi des
    chagrins (peines) d'amour !
    J'aimerai toujours le temps
    des cerises
    C'est de ce temps-là que je
    garde au cœur
    Une plaie ouverte !
    Et Dame Fortune, en m'étant
    offerte
    Ne pourra jamais calmer
    (fermer) ma douleur...
    J'aimerai toujours le temps
    des cerises
    Et le souvenir que je garde
    au cœur !
    References
    ^ A ce propos citons Louise
    Michel dans La Commune
    Histoire et souvenirs (1898):
    Au moment où vont partir
    leurs derniers coups, une
    jeune fille venant de la
    barricade de la rue Saint-Maur
    arrive, leur offrant ses
    services : ils voulaient
    l'éloigner de cet endroit de
    mort, elle resta malgré eux.
    Quelques instants après, la
    barricade jetant en une
    formidable explosion tout ce
    qui lui restait de mitraille
    mourut dans cette décharge
    énorme, que nous entendîmes
    deSatory, ceux qui étaient
    prisonniers ; à l'ambulancière
    de la dernière barricade et de
    la dernière heure, J.-B. Clément
    dédia longtemps après la
    chanson des cerises. -
    Personne ne la revit.[...] La
    Commune était morte,
    ensevelissant avec elle des
    milliers de héros inconnus.
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