L'Afrique perd 20.000 personnes qualifiées par an

[Tizinissa]

La directrice l'Organisation internationale pour la migration (OIM), Ndioro Ndiaye, a déclaré mardi à Dakar lors d'un atelier sur "migration , développement et réduction de la pauvreté", que l'Afrique perd 20.000 personnes qualifiées par an.
"La fuite des cerveaux est un frein au développement", a souligné la directrice de l'OIM, ajoutant que les pays africains sont les grands perdants de la migration.

"Un pays comme la Zimbabwe a perdu 8.000 infirmiers en 2000", a souligné Ndioro Ndiaye, ajoutant qu'il y a eu "beaucoup de déclarations sur la migration".

Pour lutter contre ce fléau, la directrice de l'OIM a demandé aux Etats africains de relever certains défis "comme la paix et la stabilité et le respect des droits de l'homme et des migrants".

Revenant sur le rôle de la migration sur le développement, Mme Ndiaye a affirmé qu'en l'an 2000 plus 8 milliards ont été transférés en Afrique par les migrants.

"On doit faire des migrants de vrais investisseurs", a estimé Ndioro Ndiaye, ancienne ministre de la Santé sous le régime socialiste.

La directrice de l'OIM a en outre demandé aux pays de déclarer la décennie 2007-2017, décennie de la migration pour le développement.

Jeune afrique

[aniasse]

...physique...

C'est le simple principe des vases communicants...l'homme va la où il se sent le mieux..

[zek]

8 milliards une goutte dans l'ocean.

Revenant sur le rôle de la migration sur le développement, Mme Ndiaye a affirmé qu'en l'an 2000 plus 8 milliards ont été transférés en Afrique par les migrants.

"On doit faire des migrants de vrais investisseurs", a estimé Ndioro Ndiaye, ancienne ministre de la Santé sous le régime socialiste.

Cette Mme Ndioro Ndiaye a un discours creux, idéologique, haineux pour les Africains, elle est pour l'exploitation des Africains en Europe, qui triment, souffrent, peinent à ramasser quelque dollars, et elles veut faire des migrants des investisseurs, c'est du n'importe quoi, faudrait-il que toute l'Afrique trime chez les autres pour pouvoir se développer ?

Et bien non, Mme Ndioro Ndiaye, il faut que les dirigeants combattent la corruption qui coûte 150 milliards de dollars par an à l'Afrique, voila ce qu'il faut faire Mme Ndioro Ndiaye, commencer à investir cet argent en Afrique dont vous avez profité, avant de demander aux Africains expatriés de se serrer la ceinture.

Avec 150 milliards par ans, toutes les infrastructures seront remise en état, 800 000 personnes qui meurt de paludisme chaques années arrêteront de crever, les médecins et les cadres arrêteront de fuir ailleurs, les villes et les villages seront aux normes et la population aura des jobs, un nouveau paradis quoi ! Et surtout on ne vous entendra plus Mme Ndioro Ndiaye
Bien à vous.

[gwad]

Peu importe que les pseudo-cerveaux s'en aille pour d'autres cieux. ceux qui sont sur place n'ont pas besoin du cerveaux des autres, mais de services publics. Ils ont besoin d'écoles efficaces d'une part, d'infrastructures et de moyens de communications plus étendus d'autre part. A partir de là, les conditions nécessaire (mais pas suffisante puisque les politique ont aussi du travail à accomplir) sont réunis pour assurer le développement économique du pays.

Seulement pour construire ces nécessités, il faut une autre nécessité, les fonds. Qui pour investir dans ces pays ? Que fait l'Onu pour réparer les méfaits causés par le commerce triangulaire ? A quoi sert le FMI et à quoi bon réclamer du libéralisme pour distribuer des fonds, alors que ce libéralisme entretient les inégalités et la pauvreté ? C'est à ces questions qu'ils faut s'attaquer. Qu'ils s'en aillent les cerveaux. Ce n'est pas un problème.

[aniasse]

...que les cerveaux parte..c'est quand même un problème..

[gwad]

aniasse

Après la seconde guerre mondiale, la population de Singapour était composé pour 75% d'analphabètes. Ca ne l'a pas empêché de trouver la voie d'une croissance rapide et du plein-emploi. Il leur était nécessaire de construire des institutions communes propices au développement. On pourrait presque appeler ça "l'instinc de survie".