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Au bord d'un chemin

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  • Au bord d'un chemin

    Moi qui ai exploré tes profondeurs

    Qui te connaît même du bout des doigts
    je n'ai qu'à fermer les yeux pour me souvenir
    de tout ce bonheur passé
    je t'ai abandonné sur un chemin
    tu souffres …je le sais
    tu as douté de mes sentiments
    j'ai préfèré partir

    Que de bâtir notre histoire
    sur une incertitude
    toutes les larmes de ton corps
    jamais ne suffiront à renouer avec ce passé
    Cette douleur … je l'ai connue
    maintenant je ne l'a discerne plus
    jamais je te reviendrai

    J'ai presque fini de t'aimer

  • #2
    ouille ! aïe !

    deux claques ça ferait moins mal....

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    • #3
      Presque fini.......on oubli jamais

      Commentaire


      • #4
        Je doute

        Si c'était le cas... tu ne serais pas là à écrire.

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        • #5
          Oh ! que si .C'est finie

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          • #6
            je t'ai abandonné sur un chemin

            Peut donc une charlotte la fraise etre si cruelle ?

            Commentaire


            • #7
              Je suis Cruella en vertuel

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              • #8
                JE T'AI LAISSÉ AU BORD DE LA ROUTE AVEC MON POÈME...

                Je t'ai laissé au bord de la route
                La mère des songes
                Près d'un champ de blés mûrs
                Avec un mûrier d'ombre.
                Je t'ai regardé t'en aller avec mon poème à la main
                Oiseau blanc
                Venu d'ailleurs
                Aux ailes de mer et de chants
                Apprivoisé dans la clairière du jour
                Où nous avons appris à jouir
                Sur les lignes mouvantes de nos corps
                En y écrivant
                Ensemble
                Les gestes-paroles de l'amour.
                Il y avait un chemin dans les blés.
                Sur tes hanches dansait le sourire
                Libre
                D'un ciel de cobalt
                Qui jaillit parfois des mains de l'été...
                Au dernier tournant tu t'es retourné.
                Quels mots y avait-il dans ton regard
                Sur tes lèvres ?
                Certitude
                Attente
                Brûlure... ?
                Dans mes yeux le soleil s'est mis à trembler.
                Je suis resté là
                Longtemps
                Immobile
                A regarder ta beauté étendue sur les blés.
                Pouvoir s'y rouler sans fin
                La moissonner avec l'été...
                Ce fut le couchant qui soudain me trouva
                Seul
                Avec mon désir
                Au bord de la route
                Où je t'avais laissé.


                A-V-
                les larmes et le temps n'efface pas tous les souvenirs
                on peut pleurer un océan mes il restera des vagues de désir!

                Commentaire


                • #9
                  agour amachtouh

                  j'aime ces textes simples et transparents où passe immédiatement une bouffée pleine d'humanité....merci

                  Commentaire


                  • #10
                    de rien charlotte je trouve ton poème sublime ses toujours au plaisir de te lire
                    les larmes et le temps n'efface pas tous les souvenirs
                    on peut pleurer un océan mes il restera des vagues de désir!

                    Commentaire


                    • #11
                      agour amachtouh

                      Le plaisir est partagé

                      Commentaire

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