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Le secrétaire d’Etat auprès du ministre du Tourisme et de l’Artisanat chargé du Tourisme, Mohamed Amine Hadj Saïd, a annoncé samedi à Alger que le gouvernement a consacré une enveloppe de 26 milliards de DA (332 : Trois cent trente-deux millions de dollars) pour la restauration de la Casbah d’Alger.
Au terme d’une visite dans la cité antique, M. Hadj Saïd a expliqué que la restauration de la Casbah a pour objectif de préserver ce joyau de l’histoire et de la civilisation de l’ancienne cité pour l’"exploiter à des fins touristiques dans le cadre de l’amélioration du produit touristique algérien".
"La restauration de la Casbah nécessitera un recours à des experts compétents et à des bureaux d’études de haut niveau pour préserver l’aspect architectural antique de la cité", a indiqué le secrétaire d’Etat, mettant en relief l’importance de ce patrimoine historique pour "la promotion du tourisme culturel, religieux et historique qui a de tout temps suscité l’intérêt des touristes étrangers".
Le Gouvernement avait adopté en février 2012 un décret exécutif relatif au plan de protection de la Casbah d’Alger classée en 1992 patrimoine universel.
La Casbah d’Alger, connue sous l’appellation de "Elmahroussa", est réputée pour ses ruelles étroites, ses palais somptueux, dont ceux de "Khdaoudj El Amia" (L’aveugle) et de Mustapha-Pacha et ses anciennes mosquées telles les mosquées de Sidi-Abderrahmane, Kechtaoua, les mausolées à l’instar de celui de Sidi-Abderrahmane Thaâlibi.
La Casbah est connue également pour ses richesses culturelles et son industrie artisanale (gastronomie, tissage, pâtisserie traditionnelle, sculpture sur cuivre, poteries, etc.).
Dans le but d’améliorer la destination touristique Algérie, le secrétaire d’Etat a appelé à la nécessité de coordonner et d’intensifier les efforts avec toutes les parties concernées pour réhabiliter les produits touristiques nationaux tels qu’ils se présentaient dans les années 1970 tout en les améliorant selon les exigences du présent.
Il a insisté pour que les médias fassent connaître le produit touristique algérien, soulignant que "les moyens existent et sont diversifiés, il ne tient qu’à nous d’œuvrer à les promouvoir et améliorer les prestations de services pour attirer les touristes étrangers, et aussi de nous intéresser davantage au tourisme local".
Djamila S. 24.02.2013
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Au terme d’une visite dans la cité antique, M. Hadj Saïd a expliqué que la restauration de la Casbah a pour objectif de préserver ce joyau de l’histoire et de la civilisation de l’ancienne cité pour l’"exploiter à des fins touristiques dans le cadre de l’amélioration du produit touristique algérien".
"La restauration de la Casbah nécessitera un recours à des experts compétents et à des bureaux d’études de haut niveau pour préserver l’aspect architectural antique de la cité", a indiqué le secrétaire d’Etat, mettant en relief l’importance de ce patrimoine historique pour "la promotion du tourisme culturel, religieux et historique qui a de tout temps suscité l’intérêt des touristes étrangers".
Le Gouvernement avait adopté en février 2012 un décret exécutif relatif au plan de protection de la Casbah d’Alger classée en 1992 patrimoine universel.
La Casbah d’Alger, connue sous l’appellation de "Elmahroussa", est réputée pour ses ruelles étroites, ses palais somptueux, dont ceux de "Khdaoudj El Amia" (L’aveugle) et de Mustapha-Pacha et ses anciennes mosquées telles les mosquées de Sidi-Abderrahmane, Kechtaoua, les mausolées à l’instar de celui de Sidi-Abderrahmane Thaâlibi.
La Casbah est connue également pour ses richesses culturelles et son industrie artisanale (gastronomie, tissage, pâtisserie traditionnelle, sculpture sur cuivre, poteries, etc.).
Dans le but d’améliorer la destination touristique Algérie, le secrétaire d’Etat a appelé à la nécessité de coordonner et d’intensifier les efforts avec toutes les parties concernées pour réhabiliter les produits touristiques nationaux tels qu’ils se présentaient dans les années 1970 tout en les améliorant selon les exigences du présent.
Il a insisté pour que les médias fassent connaître le produit touristique algérien, soulignant que "les moyens existent et sont diversifiés, il ne tient qu’à nous d’œuvrer à les promouvoir et améliorer les prestations de services pour attirer les touristes étrangers, et aussi de nous intéresser davantage au tourisme local".
Djamila S. 24.02.2013
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remarque il y as des touristes qui cherchent de l actions et de l ambiance !marre des cliches!!!!
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