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La corruption coûte à l'Afrique 150 milliards de dollars par an (SAFAC)

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  • La corruption coûte à l'Afrique 150 milliards de dollars par an (SAFAC)

    Bonjour, oui l'Afrique a besoin de services publiques, d'hôpitaux, de ligne de chemin de fer, de parc immobiliers, de villes et villages bien construit avec toute les facilités, de stations d'épuration, d'eau potable, d'usines, d'écoles et instituts de formations mais pour cela, il faut combattre la corruption, car l'investisseur privé n'investit pas dans un pays ou il n'y a pas d'infrastructure publique et un minimum d'éducation, donc c'est à l'état d'investir pour que les privés suivent.
    ------------------------------------------------------------------------

    L'Afrique est à tel point gangrenée par la corruption que cela coûte au continent 150 milliards de dollars annuellement, chiffre qui s'est dégagé de la 6ème réuion annuelle du Forum de l'Afrique australe contre la corruption (SAFAC) ouverte lundi à Maurice.

    Au cours de la réunion, le directeur général (DG) de l'Independent Commission against Corruption (Icac) de Maurice, un des organisateurs de la conférence, Anil Kumar Ujodha a fait le lien entre la corruption et la mauvaise gouvernance.

    "La corruption prospère dans des pays où il n'y a pas de mécanismes de contrôle, où la société civile est faible, où il n'y a pas d'institutions spécialisées dans la lutte contre la corruption et surtout où il n'y a pas de volonté politique de l'éradiquer", a-t-il affirmé.

    La réunion, qui regroupe 12 pays: le Botswana, le Congo, le Lésotho, Madagascar, Maurice, le Mozambique, la Namibie, l'Afrique du Sud, le Swaziland, la Tanzanie, la Zambie et le Zimbabwe, doit durer jusqu'à jeudi prochain.

    8 août 2006 - XINHUA
    Dernière modification par zek, 10 août 2006, 14h38.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Au cours de la réunion, le directeur général (DG) de l'Independent Commission against Corruption (Icac) de Maurice, un des organisateurs de la conférence, Anil Kumar Ujodha a fait le lien entre la corruption et la mauvaise gouvernance.

    "La corruption prospère dans des pays où il n'y a pas de mécanismes de contrôle, où la société civile est faible, où il n'y a pas d'institutions spécialisées dans la lutte contre la corruption et surtout où il n'y a pas de volonté politique de l'éradiquer", a-t-il affirmé.
    Il vient seulement de le remarquer ?

    Commentaire


    • #3
      @caius

      mdr. Je pense qu'ils le savent depuis bien longtemps.

      Mais ce que je remarque, c'est que les responsable on les connait. Pourquoi ne pas les nommer ? Il me semble que les occidentaux (Total, les extracteurs de pierres précieuses, etc...) ont leur part de responsabilité dans le maintient de ces corruptions. L'esprit qui gangrène la façon dont fonctionnent les grandes entreprises les pousse à rechercher l'argent là ou il se trouve, en ommettant totalement ce qu'il y a autour.

      Elle n'hésitent pas à corrompre des hommes de pouvoir déjà corrompus pour exploiter des terres, afin de fabriquer la plus-value dont les actionnaires profitent. C'est ce qu'il s'est passé au Congo avec Total il me semble. Mais c'est tellement courant qu'un exemple est presque obsolète.

      On a su très tôt que la pauvreté était source de désordre social. On sait aujourd'hui qu'une forte inégalité aussi. Oeuvrons donc pour faire sortir de terre écoles et voies de communication en Afrique, et investissons làbas. En créant des emplois, on crée de la consommation et de la croissance.
      Il n'est pas de bonne pédagogie qui ne commence par éveiller le désir d'apprendre.

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      • #4
        Il se trouve aussi que généralement dans ces pays-là, si tu veux obtenir un marché, t'es obligé de corrompre. D'ailleurs à une époque, il était même autorisé de déduire les dessous de table de ses bénéfices comme charge.

        Alors, je crois qu'il est trop facile de tout mettre sur les occidentaux. Si on avait des dirigeants dignes de ce nom, on n'en serait pas là. Mais en même temps, même quand on peut exercer librement notre droit de vote, on vote pour des corrompus. Alors peut-être que finalement on n'a que ce qu'on mérite, non ?

        Commentaire


        • #5
          @saadiakabyle

          moi je pense que ce n'est pas aussi simple que ça.

          oui c'eut été le cas, les dessous de table étaient des charges. pourtant on ne peut que constater au jour d'aujourd'hui que c'était une véritable escroquerie toute autorisée qu'elle soit.

          Ensuite, si on vote pour des corrompus même lorsqu'on a le droit de vote, c'est certainement parce qu'on nous a menti sur la marchandise. A moins que ce soit du fatalisme, on ne vote pas consciemment pour quelqu'un qui va nous faire du mal.

          Déjà les occidentaux ont pillés l'Afrique avec acharnement. Et quand il fallait s'arrêter et devenir plus humains, ils ont continué, moins durement, mais ils ont continués quand même. Plutôt que de mettre la faute sur un peuple qui est embrumé perpétuellement, on pourrait peut-être se poser des questions sur le rôle de la communauté internationale, et la réparation de leurs erreurs.
          Il n'est pas de bonne pédagogie qui ne commence par éveiller le désir d'apprendre.

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          • #6
            La faillite africaine : à qui la faute ?

            Bonjour, c'est pas l'avis de Mr Guillemain, texte un peu dur plutôt à droite, mais il en faut bien plus pour réveiller l'Afrique.
            -----------------------------------------------------------------------

            500 millions de dollars provenant des caisses de la Banque mondiale évaporés en cinq ans au Congo, 95% des fonds de soutien à la politique agricole détournés au Cameroun, des dizaines de milliards de la manne pétrolière disparus au Nigeria ou en Angola….ce ne sont là que quelques exemples de la corruption généralisée qui sévit en Afrique et rend toute politique d’aide au développement extrêmement difficile pour ne pas dire impossible.

            Depuis plus de quarante ans le leitmotiv des tiers-mondistes est le même : « aider l’Afrique, aider l’Afrique », oui, mais pour quel résultat ? Ceux qui font en permanence le procès des pays riches en dénonçant le pillage des matières premières et en déplorant l’insuffisance des aides internationales, ont une fâcheuse tendance à oublier la réalité des chiffres et feignent d’ignorer les véritables causes du naufrage de ce continent. L’Afrique, certes, cumule tous les handicaps. Selon un récent rapport de l’OCDE, elle totalise à elle seule les trois quarts des PMA ( pays les moins avancés ) et des PPTE ( pays pauvres très endettés ). La moitié de la population y vit avec moins de un dollar par jour et le tiers souffre de malnutrition. L’analphabétisme touche de 50 à 80% des habitants, l’espérance de vie ne cesse de diminuer avec les ravages du SIDA et l’instabilité politique, aggravée par les rivalités ethniques, augmente considérablement le facteur risque pour tout projet de développement à long terme. Même la riche Afrique du Sud qui représente à elle seule 25% du PNB africain, a vu son espérance de vie à la naissance diminuer de 14 ans en quelques années.

            Alors à qui la faute ?

            Ceux qui clament que l’Afrique a besoin d’un vaste plan Marshall devraient savoir qu’elle a déjà bénéficié en 40 ans d’une manne représentant plus de vingt fois celle reçue par l’Europe de 1947 à 1953. Depuis son indépendance l’Afrique a reçu 1600 milliards d’euros d’aides diverses. Chaque année elle absorbe 40% de toute l’aide mondiale accordée aux pays pauvres, ce qui représente 20% de son PNB. Pour certains pays, comme la Tanzanie, l’aide internationale atteint jusqu’à 40% du PNB. Quant à la France, tant décriée par les inconditionnels de la bien-pensance, rappelons que sa contribution totale s’élève à 200 milliards d’euros depuis l’indépendance et que chaque Français donne 100 euros par an à l’Afrique (ou 400 euros par foyer fiscal).
            A ceux qui invoquent l’héritage de la colonisation pour expliquer la faillite de ce continent, rappelons que de 1860 à 1960 le PIB/hab s’est élevé de 400 à 1400 dollars alors qu’il n’a pas bougé depuis 1960, date de l’indépendance !

            Avec une population qui double tous les vingt ans, elle est passée de 300 millions à 900 millions en quarante ans, l’Afrique meurt de sa surpopulation.
            Enfin si on ne peut ignorer les effets dévastateurs causés par l’effondrement des cours de certaines productions agricoles, sans oublier la « concurrence » induite par les subventions accordées aux agriculteurs des pays riches, cela ne suffit pas à expliquer pourquoi l’Afrique s’enfonce inexorablement dans la pauvreté en restant à l’écart du développement mondial.

            Rappelons que nous avons souvent acheté certaines productions au dessus du cours mondial et que la hausse actuelle des cours des matières premières, notamment la flambée du pétrole, ne profite guère aux populations, puisque 10% de privilégiés se partagent 80% des richesses. Notons également que les aides agricoles dans les pays riches sont indispensables pour conserver, aux Etats-Unis et en Europe, des agricultures modernes et performantes, seules capables de subvenir aux besoins croissants de la planète, l’agriculture africaine en étant restée au stade artisanal.

            Par conséquent si l’Afrique ne représente que 2% des échanges mondiaux, dont la moitié pour la seule Afrique du Sud, si les investissements sont en chute libre, si nos aides et nos annulations de dettes permanentes n’ont servi qu’à alimenter un puits sans fond, et si ce continent est le seul à régresser à l’heure de la mondialisation, ce n’est certainement pas la faute des pays riches.

            Est-ce notre faute si en 1950 Madagascar ou le Kenya avaient des PIB/hab supérieurs à ceux de la Thaïlande ou de Taiwan, alors qu’aujourd’hui un Taiwanais est 30 fois plus riche qu’un Kenyan et un Thaïlandais 30 fois plus qu’un Malgache ? Et pourtant l’Asie, hors Japon, n’a bénéficié que d’une aide dérisoire comparée à celle de l’Afrique.

            La vérité est que l’Afrique a dilapidé l’héritage qui lui fut légué lors de son accession à l’ indépendance. Corruption, rivalités ethniques, incompétence, guerres et coups d’Etats innombrables ont compromis à jamais les chances de développement de tout un continent. En cinquante ans cette région du monde a connu 100 coups d’Etats et 80 conflits armés dont 40 guerres civiles. Rwanda, Biafra, Libéria, Congo, Sierra Leone, Côte d’Ivoire, Somalie, Angola, RCA et combien d’autres ont été livrés aux ambitions de quelques chefs de clans prêts à tous les massacres pour prendre le pouvoir ? Quel investisseur oserait risquer ses capitaux dans une fournaise pareille ?

            Les lamentations et les procès d’intention des éternelles pleureuses de la bien-pensance ne peuvent masquer la dure réalité des faits. Ce sont les potentats africains sans scrupules, dont beaucoup ont confondu leurs comptes personnels avec les caisses de l’Etat, qui sont les premiers responsables de ce chaos. Et ce ne sont pas de faux prétextes qui suffiront à les exonérer de leurs responsabilités.

            En faisant le seul procès des pays riches et en niant l’œuvre colonisatrice de la France, ceux qui aujourd’hui se posent en défenseurs de la cause africaine, ne font que couvrir les turpitudes de nombreux chefs d’Etats, faisant ainsi le malheur des populations qu’ils prétendent défendre. Ce fabuleux continent, unique par la diversité de ses paysages, de ses climats, de sa faune et si attachant par l’étonnante variété de ses coutumes et de ses traditions, mérite mieux que ce destin tragique. Ne soyons pas complices de ceux qui ne font que son malheur.

            Aussi longtemps que nous refuserons d’admettre ces réalités, au nom d’une idéologie tiers-mondiste erronée, le décollage économique de l’Afrique ne sera qu’un mirage.
            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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            • #7
              Que pensez-vous de cet article ?

              L’écart phénoménal entre les prévisions et prophéties émises par les Européens avant les indépendances africaines et l’actuelle réalité morbide qui règne sur le continent “aux larmes” est insupportable.

              Des thèses entières (en fait pour quelle finalité ?) ne suffiraient pas à décrire l’enthousiasme qu’a suscité l’espoir d’un total développement de tout un continent perçu comme un fabuleux Eldorado à faire valoir.

              Dans son ouvrage « Guerre de brousse dans l’Est africain (1914 – 1918) », le général VON LETTOW-VORBECK écrivait : « Je voudrais ajouter ici une impression que je n’acquis que plus tard durant la guerre. Il nous est arrivé de traverser des pays fertiles (Tanganyika ou Tanzanie) abandonnés par les indigènes, mais qui un an auparavant étaient encore habités. Les gens avaient simplement cherché « plus loin » « pale mbele » … ou là devant … des champs nouveaux à cultiver dans d’autres contrées riches et vides d’habitants. »

              Sans aucune fixation à long terme et depuis les indépendances, ce genre de mode de vie crée des cloaques, des marigots putrides, des appauvrissements des sols. Et de conclure « Si l’on voulait réellement utiliser les terrains cultivables dans l’Est africain allemand, on pourrait nourrir dans ce pays qui ne contient que 8 millions d’habitants une population aussi nombreuse que celle de l’Allemagne ». (1914 !!). Mais pour ce faire, il faut accepter la rationalité du blanc. Difficile !! Très difficile.

              Une nouvelle Inde

              Un officier anglais prisonnier des Allemands en Tanzanie affirmait qu’il était possible de faire de l’Est africain une nouvelle Inde abondante, lui qui, ancien officier anglais, avait déjà essuyé pas mal de coups durs du côté du Pendjab

              Dans son dernier numéro (mars 2006) « CARITAS » titre une fois de plus « L’Afrique a faim ». Voilà des décennies que ce mauvais couplet se répète sans fin, sans cesse. On en a marre : à juste titre. Quant aux vraies causes du mal, l’Occident se refuse bien à les énoncer. Car les voici les réelles plaies.

              Les vrais virus

              D’abord les états nations copiés à l’européenne avec à leur tête de réels rois nègres incompétents, mendiants, cultivant l’anthropophagie, le luxe et le racket.

              Cela va de Bokassa à Idi Amin Dada en passant par Mobutu, Mengistu et Mugabe (et comme comique, le gros Bemba amateur de pygmées !!)

              Comment les leaders du monde libre peuvent-ils serrer la main à de tels personnages ?

              Il faut les remettre à leur place et évidemment leur faire un brin d’éducation.

              (...)

              Autre virus : les frontières artificielles imposées totalement arbitrairement. Ce problème ne se résoudra pas politiquement. Les migrations des peuples vont faire craquer les corsets inutiles à des peuples qui ont toujours migré et la crainte qu’ont les rois nègres de voir se discuter ce qu’ils croient être leur royaume est omniprésente : tout cela étant fictif ne peut évidemment tenir la route.

              Enfin le virus marxiste : partout où les Cubains et les Allemands de l’Est ont déposé leur maigre baluchon, ils y ont foutu le merdier (et leurs lardons métis). Utilisés par Moscou, ils auront créé gabegie, sinistre et misère. Viva la revolución !!

              Et le Climat ?

              « Le climat ?»

              Qu’en faites-vous clament bien fort des tiers-mondistes !!
              « Ce n’est pas la faute des Africains !! Analysez le climat !! »
              Bien, allons-y car s’il faut retracer l’histoire de l’Afrique avec le prisme des crypto-gaucho-marxistes on est très loin de la réalité : cela oscille entre science et incantation.

              Il est possible de distinguer sur cet énorme continent africain fait de drames, cinq grandes zonez caractérisées par cinq régimes de pluies (SVP nous ne sommes pas là pour un cours de geo, toutefois les repères sont nécessaires et non inintéressants).

              De 0 à 100 mm d’eau par an, il s’agit de milieux désertiques sur lesquels le peuplement est rendu impossible ou résiduel.
              Entre 100 et 300 mm d’eau/an le milieu est celui de la steppe subdésertique avec transhumance et activités pastorales.

              De 300 à 600 mm d’eau/an et bien que certains pâturages soient bien réels, les pluies sont encore trop faibles afin de permettre une pousse de végétation.

              De 600 à 1.500 mm, la grande zone agricole peut se sentir à l’aise : les aventures pluviométriques y sont rares.

              Au dessus de 1.500 mm, c’est la grande forêt équatoriale, barrière végétale compliquée à pénétrer où l’agriculture est très hypothétique.

              Ce pseudo déterminisme climatique a connu bien des évolutions : conséquences des grandes découvertes, ces cinq sous-continents africains bénéficieront d’apports extérieurs telles que les plantes nouvelles importées par les Portugais.

              Le Manioc, la patate douce, le maïs, le haricot, bref tout ce qui constitue aujourd’hui la base de la nourriture africaine constituèrent une des conditions fondamentales à l’essor démographique africain.

              Mais les modes d’exploitations agricoles totalement rudimentaires rendent impossible le réel développement, ainsi les feux de forêts, les creuseurs …

              Au Rwanda, une équipe de la FAO durant les années 80 devait se pencher sur la question de la lutte contre la désertification (terrible au Rwanda et au Burundi) : l’arrogance de l’équipe de Juvénal fit avorter le projet largement financé par l’ONU : le responsable Gino SACUMAN plia bagage n’ayant jamais compris qu’il fallait laisser au départ 50% du montant en matabiche à la clique de l’AKAZU (la petite hutte du pouvoir).

              Les famines Africaines : politiques, programmées et organisées

              Liquider un ennemi ce n’est pas forcément le tuer : il suffit de l’empêcher de vivre.

              Le cas d’école le plus incroyable nous a été fourni par l’Ethiopie. Ce n’était pas Byzance sous le Négus, mais le pays était apte à nourrir sa population avant l’arrivée du nouveau Caligula, Mengistu le soviétique.

              Par opportunisme politique, Mengistu voulait la mort des mouvements de l’Ogaden et de l’Erythrée : ce furent 18 mois de silence et 18 mois de famine. Affamer les peuples constitue le moyen de gouverner pour les rois nègres indemnisés par les capitales occidentales.

              Nous n’avons pas la place pour aborder la question des doryphores du président Mugabe du Zimbabwe. Pour ceux qui s’en souviennent, le doryphores (du grec « porteurs de lance », il suffit de voir leur carapace) ce fut un désastre après la guerre de 40 pour les champs de patate (..)

              Il en fut de même au Zimbabwe : tous les blancs producteurs furent chassés par les hommes doryphores du président Mugabe.

              Aujourd’hui le pays est affamé, abonné au PAM. « Encore la faute au climat » diront les tiers-mondistes ?

              MPENDACHEKO

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              • #8
                La question n'est pas s'il faut aider l'Afrique mais comment l'aider.

                On a vu que rien ne sert d'envoyer de l'argent à tout va. C'est du gaspillage, ça ne sert à rien et ça fait longtemps que c'est comme ça.

                Seulement, qu'est-ce qui nous empêche d'aller sur place et de construire avec nos propres moyen les écoles et les infrastructures dont le peuple a besoin ?

                Ce n'est pas de la faute de la population si des hommes influents et la classe dominante dilapide les fonds dont elle jouit ! En ce qui concerne la stupidité des guerres ethnique, je l'ai dit précédemment la pauvreté suscite la haine. ça s'est vu dans l'allemagne de 1940, et dans d'autres société.

                c'est justement la raison pour laquelle nous devons faire des efforts dans la direction de ces populations, et veiller à ce que ces efforts portent leurs fruits.
                Dernière modification par gwad, 10 août 2006, 15h13.
                Il n'est pas de bonne pédagogie qui ne commence par éveiller le désir d'apprendre.

                Commentaire


                • #9
                  Caius ! l'article en question est un ramassis de tout sauf d'un réel amour pour l'Afrique. C'est ces gens là qui ont bousillé l'Afrique.
                  Primo: les africains n'ont pas demandé à être colonisés, ni à être déportés.
                  Les européens ont complètement déglingué la sociologie, la culture, ont nié leur civilisation et occulté d'autres.
                  Ils ont placé des potiches pour mieux les utiliser; tracé des frontières en dépit du bon sens pour les voir s'entretuer....
                  Qui vient en Afrique et prend les matières premières payées au lance-pierres ?
                  Je dis bien prendre car le guignol qu'ils ont mis à la tête du pays est payé en Europe; le peuple ne voit ni la couleur de cet argent ni les routes se contruirent. Les gens sont embarqués pour les servir et les asservir autour des grandes villes.
                  Expliquez-moi par quel calcul mathématique le coton malien ou indien est plus cher que le coton américain ?
                  Expliquez-moi pourquoi les paysans se suicident ici et ailleurs ?
                  Le socialisme est naturel chez l'africain. Il a toujours su partager, aider son voisin, se mettre à plusieurs pour construire la maison de l'un et de l'autre !
                  Les européens ont créé des besoins nouveaux pour les enfoncer.
                  Moi, j'ai une solution, toutes les multinationales à la porte: les africains ne peuvent être plus pauvres qu'ils ne le sont et celui qui est en train de mourir ne risque pas de mourir une deuxième fois.

                  Commentaire


                  • #10
                    J'ai écrit cette bafouille en colère.

                    Commentaire


                    • #11
                      Toutes les multinationales à la porte !

                      Facile à dire .Autant refaire le monde.

                      Le train est deja en marche.Nous n'avons qu'a le prendre et nous adapter à la situation en essayant d'avoir notre part du gateau.

                      TOUS LE RESTE N'EST QUE PHILOSOPHIE.( POUR NE PAS DIRE DEMAGOGIE)
                      Dernière modification par moumed, 10 août 2006, 20h42.

                      Commentaire


                      • #12
                        Au bout des rails il y a ravin. Tu permets que je te laisse te suicider en paix ?
                        Il n'est pas de bonne pédagogie qui ne commence par éveiller le désir d'apprendre.

                        Commentaire


                        • #13
                          je prefere courir le risque plutot que de rester sur le quai.

                          Le ravin s'est celui qui ne cesse de se creuser entre eux qui bossent et nous qui voyons l'ennemi partout.

                          Commentaire


                          • #14
                            Vraiment ? Comment expliques-tu qu'on produise de la nourriture pour 12 milliards de tête par an, et que sur 6 milliards d'êtres-humains, des centaines de millions meurrent de faim, que 2 millions souffrent de malnutrition ?

                            Des trains il y en aura toujours après. C'est si simple d'attendre sur le quai, le temps que les rails soient détournés...
                            Il n'est pas de bonne pédagogie qui ne commence par éveiller le désir d'apprendre.

                            Commentaire


                            • #15
                              presque daccord avec tou les deux

                              mais je suggere que vous vous m'étiez d'accord tou les deux

                              vous avancerez mieux.

                              pourquoi ne pas commencé par réparrer la voix enssemble ???

                              commencez par la cause du danger
                              avant le danger lui mm !
                              une fleur de printemps au coin des lèvres... c'est une fille d'avril qui se présente à vous.


                              ***lafille2lalune***

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