« L’expansion de l’économie algérienne suscite l’intérêt des multinationales dans le monde». C’est que précise dans son rapport 2013 le bureau des affaires économiques et commerciales du département d’Etat américain. Pour lequel la règle 51/49% ne constitue plus un obstacle.
Même si elle reste « controversée », les investisseurs s’y sont adaptés. Mieux, estime le rapport, « certains investisseurs ont exprimé une préférence pour le travail avec un partenaire local, ce qui peut aider l'entreprise étrangère à éviter la bureaucratie locale et les tracasseries commerciales».
Cette structure du ministère US des affaires étrangères estime que le climat des affaires en Algérie s’est stabilisé conséquemment à la loi de Finances 2009. C’est la raison pour la laquelle le rapport encourage l’investissement direct en Algérie partant du principe que notre pays est un marché « émergent, stable, en pleine croissance et prometteur » qui offre beaucoup d’opportunités pour les investisseurs étrangers.
«L’Algérie avec ses richesses, son programme d’investissement quinquennal 2010/2014 de 286 milliards de dollars et ses besoins en infrastructures et biens de consommation en expansion, suscite l’intérêt des entreprises dans le monde.» En revanche, Le rapport recense des "défis constants" auxquels sont confrontés ces investisseurs tels "l'instabilité de la réglementation, les stricts contrôles de change, le laxisme en matière de protection des droits de propriété intellectuelle (DPI), les retards à la douane, et un vaste secteur informel".
Faouzia Ababsa
Même si elle reste « controversée », les investisseurs s’y sont adaptés. Mieux, estime le rapport, « certains investisseurs ont exprimé une préférence pour le travail avec un partenaire local, ce qui peut aider l'entreprise étrangère à éviter la bureaucratie locale et les tracasseries commerciales».
Cette structure du ministère US des affaires étrangères estime que le climat des affaires en Algérie s’est stabilisé conséquemment à la loi de Finances 2009. C’est la raison pour la laquelle le rapport encourage l’investissement direct en Algérie partant du principe que notre pays est un marché « émergent, stable, en pleine croissance et prometteur » qui offre beaucoup d’opportunités pour les investisseurs étrangers.
«L’Algérie avec ses richesses, son programme d’investissement quinquennal 2010/2014 de 286 milliards de dollars et ses besoins en infrastructures et biens de consommation en expansion, suscite l’intérêt des entreprises dans le monde.» En revanche, Le rapport recense des "défis constants" auxquels sont confrontés ces investisseurs tels "l'instabilité de la réglementation, les stricts contrôles de change, le laxisme en matière de protection des droits de propriété intellectuelle (DPI), les retards à la douane, et un vaste secteur informel".
Faouzia Ababsa
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