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Bonjour, cet été les Algérois n'ont pas profité de Terra Parc ainsi que sont propriétaire, alors que l’Etat encourage les investissements, certains projets connaissent des difficultés, c'est une trés mauvaise publicité pour les investisseurs potentiels. Mais qu'a fait le Wali et Mr. Temmar ?
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Qui n’a pas aperçu, sur la route de Zéralda, cette imposante infrastructure touristique au design futuriste? Et bien, Terra Parc demeure, six mois après son inauguration, l’otage de blocages bureaucratiques. Ce projet d’investissement lourd, qui aura nécessité de son promoteur en l’occurrence M.Terra Salah, plus de quinze mois de travail et de sacrifice, est fermé, au grand dam des milliers de familles algériennes et du propriétaire des lieux qui interpelle, en premier lieu, le wali d’Alger pour mettre un terme à plusieurs mois de parcours du combattant en vue d’obtenir le feu vert des autorités locales pour ouvrir le parc au grand public. «Je suis noyé dans la bureaucratie», affirme M.Terra, qui regrette qu’en dépit du fait que son projet réponde à toutes les exigences techniques et réglementaires, il demeure toujours bloqué.
Chaque responsable me renvoie à l’autre au point où il est difficile de savoir quelles sont les prérogatives des uns et des autres, afin de pouvoir débloquer la situation, affirme notre interlocuteur. La balle est donc dans le camp de la wilaya d’Alger qui doit prendre les mesures nécessaires afin que Terra Parc profite aux familles algériennes, à quelques jours seulement de la clôture de la saison estivale.
Il est, en effet, aberrant qu’en pleine saison estivale une infrastructure touristique de l’envergure de Terra Parc soit fermée, alors que des milliers de familles algériennes cherchent un lieu d’évasion où passer leurs vacances d’été à moindre coût et dans un climat empreint de joie et de quiétude pour leurs enfants. A noter qu’avec plus de 30 activités, aussi diverses les unes que les autres, ce joyau touristique constituera une destination préférée des Algériens. Outre les activités aquatiques, ce parc est également doté de plusieurs restaurants et pizzerias qui peuvent accueillir jusqu’à 3000 personnes.
Ici, à 200 DA seulement un plat au choix est offert. Par ailleurs, comment peut-on expliquer qu’un projet d’investissement aussi important connaisse ce sort, alors qu’il jouit de l’aval des instances chargées du tourisme, ainsi que de l’ANV. Des questions s’imposent: connaissant le travail jusque-là accompli par l’actuel wali d’Alger au service de la promotion de l’investissement et de l’amélioration du cadre de vie des citoyens, est-il au courant de ce dossier? S’il s’agit d’un simple blocage bureaucratique, qu’attendent les autorités compétentes pour autoriser, enfin, M.Terra à concrétiser son rêve? Celui de permettre un jour à l’Algérie d’avoir son «Disney Land». Aussi, censé être un projet pourvoyeur de richesse pour la collectivité, Terra Parc, connaît, ainsi un sort paradoxal. En effet, au moment où l’Etat encourage les investissements, certains projets connaissent des difficultés pour voir le jour.
En somme, même s’il est vrai que plonger dans les piscines de Terra Parc est un véritable plaisir, il reste qu’un investisseur (M.Terra, ndlr) reste noyé dans des entraves bureaucratiques qui ne pénalisent pas seulement le propriétaire du projet, mais toute l’économie nationale. Pis les démêlés auxquels est confronté M.Terra, sont un mauvais signal en direction des investisseurs nationaux et étrangers, au moment où le gouvernement est en phase d’élaboration d’un nouveau code des investissements, en faveur de l’assouplissement des procédures.
Saïd KACEM
10 août 2006 L'Expression
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Qui n’a pas aperçu, sur la route de Zéralda, cette imposante infrastructure touristique au design futuriste? Et bien, Terra Parc demeure, six mois après son inauguration, l’otage de blocages bureaucratiques. Ce projet d’investissement lourd, qui aura nécessité de son promoteur en l’occurrence M.Terra Salah, plus de quinze mois de travail et de sacrifice, est fermé, au grand dam des milliers de familles algériennes et du propriétaire des lieux qui interpelle, en premier lieu, le wali d’Alger pour mettre un terme à plusieurs mois de parcours du combattant en vue d’obtenir le feu vert des autorités locales pour ouvrir le parc au grand public. «Je suis noyé dans la bureaucratie», affirme M.Terra, qui regrette qu’en dépit du fait que son projet réponde à toutes les exigences techniques et réglementaires, il demeure toujours bloqué.
Chaque responsable me renvoie à l’autre au point où il est difficile de savoir quelles sont les prérogatives des uns et des autres, afin de pouvoir débloquer la situation, affirme notre interlocuteur. La balle est donc dans le camp de la wilaya d’Alger qui doit prendre les mesures nécessaires afin que Terra Parc profite aux familles algériennes, à quelques jours seulement de la clôture de la saison estivale.
Il est, en effet, aberrant qu’en pleine saison estivale une infrastructure touristique de l’envergure de Terra Parc soit fermée, alors que des milliers de familles algériennes cherchent un lieu d’évasion où passer leurs vacances d’été à moindre coût et dans un climat empreint de joie et de quiétude pour leurs enfants. A noter qu’avec plus de 30 activités, aussi diverses les unes que les autres, ce joyau touristique constituera une destination préférée des Algériens. Outre les activités aquatiques, ce parc est également doté de plusieurs restaurants et pizzerias qui peuvent accueillir jusqu’à 3000 personnes.
Ici, à 200 DA seulement un plat au choix est offert. Par ailleurs, comment peut-on expliquer qu’un projet d’investissement aussi important connaisse ce sort, alors qu’il jouit de l’aval des instances chargées du tourisme, ainsi que de l’ANV. Des questions s’imposent: connaissant le travail jusque-là accompli par l’actuel wali d’Alger au service de la promotion de l’investissement et de l’amélioration du cadre de vie des citoyens, est-il au courant de ce dossier? S’il s’agit d’un simple blocage bureaucratique, qu’attendent les autorités compétentes pour autoriser, enfin, M.Terra à concrétiser son rêve? Celui de permettre un jour à l’Algérie d’avoir son «Disney Land». Aussi, censé être un projet pourvoyeur de richesse pour la collectivité, Terra Parc, connaît, ainsi un sort paradoxal. En effet, au moment où l’Etat encourage les investissements, certains projets connaissent des difficultés pour voir le jour.
En somme, même s’il est vrai que plonger dans les piscines de Terra Parc est un véritable plaisir, il reste qu’un investisseur (M.Terra, ndlr) reste noyé dans des entraves bureaucratiques qui ne pénalisent pas seulement le propriétaire du projet, mais toute l’économie nationale. Pis les démêlés auxquels est confronté M.Terra, sont un mauvais signal en direction des investisseurs nationaux et étrangers, au moment où le gouvernement est en phase d’élaboration d’un nouveau code des investissements, en faveur de l’assouplissement des procédures.
Saïd KACEM
10 août 2006 L'Expression
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