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MAROC : Arnaque à grande vitesse

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  • MAROC : Arnaque à grande vitesse

    Vidéo Publiée le 28 févr. 2013

    Fouad le marocain

    Les Transferts Technologiques des Fiascos

    L’Espagne, pays riverain du notre, est 20 fois plus développé que le nôtre, attire 50 millions de touristes ; soit 40 millions de plus que le nôtre. Jusqu’à nos jours, il n’utilise que des trains, presque tous, datant de la période Franquiste. Les planificateurs, du développement touristique et les responsables de l’aménagement du territoire, Espagnole, n’ont jamais jugé utile, ni pour la rentabilité, ni pour la viabilité, ni pour l’attrait de plus de touristes, l’investissement dans les trains TGV, une infrastructure, jugée trop couteuse et inadéquate. Le TGV, un projet, dès sa naissance, était conçu pour résoudre des problèmes spécifiques à la France et à ses villes. Des villes congestionnées, comme Lion, Lille, Marseille et surtout Paris et son carrefour des affaires, le centre de la Défense.

    Pour les hommes d’affaires en provenance de Frankfurt ou de Londres, il est plus rapide de prendre le TGV que de prendre l’avion. Même si l’avion est plus rapide que le TGV, les infrastructures dont lesquelles dépend l’avion, comme les aéroports, sont très loin, mal placés ou plutôt, c’est les centres de affaires qui sont mal placés. Un vrai fiasco urbain et aussi financier pour la France. Une très grosse gélule à faire avaler pour les contribuables Français. Sans les subventions, musclées de l’État français, le TGV serait enterrés dans les cimetières des projets ratés ; les ferrailles.

    Le TGV avant qu’il ne soit une technologie, il est tout d’abords un produit destiné à être « Consommé », et aussi produit, vendu et exporté en quantités suffisantes pour qu’il puisse s’autofinancer et créer des profits pour ses actionnaires, comme toutes les technologies, « non militaires bien entendu ».

    En absence de clients potentiels, comme les USA, les pays européens, le Brésil et l’Afrique du sud, la France se retourne aux anciennes colonies, comme le Maroc pour combler ses déficits budgétaires.

    Ces types de projets, payés par l’argent des pauvres, Marocains, qui ne possèdent même pas une infrastructure routière pour relier leurs Douars à leurs dispensaires, ne répondent ni aux besoins du développement du tourisme, ni à nos besoins économiques et sociaux et moins encore au rapprochement du Maroc à l’Espagne où la plupart des trains espagnols roulent encore à des vitesses moins rapides que celles des nôtres.

    Les seuls bénéficiaires sont les maffias des banques françaises, Khalijis et la maffia financière marocaine. Bientôt la maffia industrielle Française des projets, ratés, forcera le reste de ses anciennes colonies pour combler ses déficits budgétaires.


    Fouad le marocain







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