La présidente de l’association française des amis de la RASD, Régine Villemont a appelé, hier à Alger, le gouvernement de son pays à ne pas encourager l’entêtement et les pratiques « illégales » des autorités marocaines à l’égard du peuple Sahraoui.
« Il ne faut pas encourager l’état marocain qui fuit la légalité internationale et exploite les richesses nationales du Sahara occidental. Les Nations unis doivent assumer leur responsabilité concernant la protection des droits du peuple Sahraoui », a affirmé, hier, Régine Villement, lors d’un point de presse tenu hier au siège du comité national algérien de solidarité avec le peuple Sahraoui (CNASPS), en présence de son président, Mohamed Mehraz Ammari, du président du Croissant Rouge Algérien, du président de l’Assemblée Populaire Communale d’Alger ainsi que du secrétaire général de l’union des juristes Sahraouis.
A cette occasion, la conférencière a plaidé pour la libération immédiate des prisonniers Sahraouis de Gdeim Izik, « condamnés illégalement par le tribunal militaire de Rabat », a noté la conférencière. Au cours de cette conférence, Mme Régine Villemont a réaffirmé la disponibilité et la détermination totale de continuer, avec tous les acteurs de la société civile française, « la mobilisation, pour casser l’embargo médiatique imposé à la question Sahraouie, en tant que question de décolonisation ». Il est utile de souligner qu’un rassemblement a été organisé, le mois dernier, en guise de solidarité avec les 24 prisonniers politiques de Gdeim Izik, par des représentants des communautés algériennes et d’origine africaine, établies en France, solidaires avec la République arabe sahraoui démocratique (RASD).
Les participants à ce rassemblement, dont des représentants de la société civile algérienne, ont qualifié « d’injuste » le verdict prononcé à l’égard de ces personnes qui n’ont fait que revendiquer leur autodétermination et une vie digne.
Samira Saïdj- La Dépêche de kabylie
« Il ne faut pas encourager l’état marocain qui fuit la légalité internationale et exploite les richesses nationales du Sahara occidental. Les Nations unis doivent assumer leur responsabilité concernant la protection des droits du peuple Sahraoui », a affirmé, hier, Régine Villement, lors d’un point de presse tenu hier au siège du comité national algérien de solidarité avec le peuple Sahraoui (CNASPS), en présence de son président, Mohamed Mehraz Ammari, du président du Croissant Rouge Algérien, du président de l’Assemblée Populaire Communale d’Alger ainsi que du secrétaire général de l’union des juristes Sahraouis.
A cette occasion, la conférencière a plaidé pour la libération immédiate des prisonniers Sahraouis de Gdeim Izik, « condamnés illégalement par le tribunal militaire de Rabat », a noté la conférencière. Au cours de cette conférence, Mme Régine Villemont a réaffirmé la disponibilité et la détermination totale de continuer, avec tous les acteurs de la société civile française, « la mobilisation, pour casser l’embargo médiatique imposé à la question Sahraouie, en tant que question de décolonisation ». Il est utile de souligner qu’un rassemblement a été organisé, le mois dernier, en guise de solidarité avec les 24 prisonniers politiques de Gdeim Izik, par des représentants des communautés algériennes et d’origine africaine, établies en France, solidaires avec la République arabe sahraoui démocratique (RASD).
Les participants à ce rassemblement, dont des représentants de la société civile algérienne, ont qualifié « d’injuste » le verdict prononcé à l’égard de ces personnes qui n’ont fait que revendiquer leur autodétermination et une vie digne.
Samira Saïdj- La Dépêche de kabylie
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