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La machine IBM se remet en marche en Algérie avec à la clé plusieurs marchés. Le dernier inscrit à son palmarès est la dotation de l’université Yahia Fares de Médéa d’un supercalculateur HPC. Une réalisation qui a, selon toute vraisemblance, ouvert de nouvelles perspectives et de nouveaux horizons pour la firme du moment qu’elle va fournir prochainement des équipements du même gendre à six autres universités dont les noms n’ont pas encore été communiqués.
N’envisageant guère de s’arrêter à ce seuil, l’initiateur mondial de la révolution technologique qui ne cesse de progresser sur le marché algérien depuis la désignation de M. Hamid Djaballah à la tête de la représentation locale. IBM compte remporter le maximum d’appels d’offres qui seront lancés pour doter, au total, 19 universités algériennes en supercalculateurs.
Cela s’inscrit dans le cadre d’un programme très ambitieux du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique visant à développer la recherche appliquée en Algérie. Un objectif pour lequel, le ministère a débloqué un budget de 670 000 $: Six cent soixante-dix-neuf mille dollars pour chacune des 19 universités concernées par ce programme afin justement qu’elles s’équipent en supercalculateurs, a fait savoir le directeur général d’IBM Algérie.
L’ensemble des sept marchés attribués jusqu’à présent à IBM. « Pour l’instant, nous avons remporté, à travers notre partenaire local Comparex, 7 marchés et il y aura certainement d’autres à l’avenir », se réjouit le DG d’IBM Algérie qui tenait à préciser que le HPC de Médéa « a été livré, installé et mis en service en un laps de temps de 5 jours seulement par les équipes de Comparex qui est l’un des partenaires locaux qui assure le prolongement d’IBM en Algérie à travers des compétences algériennes formées et régulièrement certifiées et remises à niveau ».
Hamid Djaballah a indiqué, par ailleurs, que le leader informatique mondial est en train de finaliser plusieurs autres projets en Algérie. « Nous sommes sur de gros projets stratégiques dans le domaine énergétique, la modernisation des systèmes d’information ainsi que sur l’amélioration du secteur bancaire », a-t-il affirmé sans trop étaler sur les détails.
Souhila K . 04 mars 2013
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N’envisageant guère de s’arrêter à ce seuil, l’initiateur mondial de la révolution technologique qui ne cesse de progresser sur le marché algérien depuis la désignation de M. Hamid Djaballah à la tête de la représentation locale. IBM compte remporter le maximum d’appels d’offres qui seront lancés pour doter, au total, 19 universités algériennes en supercalculateurs.
Cela s’inscrit dans le cadre d’un programme très ambitieux du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique visant à développer la recherche appliquée en Algérie. Un objectif pour lequel, le ministère a débloqué un budget de 670 000 $: Six cent soixante-dix-neuf mille dollars pour chacune des 19 universités concernées par ce programme afin justement qu’elles s’équipent en supercalculateurs, a fait savoir le directeur général d’IBM Algérie.
L’ensemble des sept marchés attribués jusqu’à présent à IBM. « Pour l’instant, nous avons remporté, à travers notre partenaire local Comparex, 7 marchés et il y aura certainement d’autres à l’avenir », se réjouit le DG d’IBM Algérie qui tenait à préciser que le HPC de Médéa « a été livré, installé et mis en service en un laps de temps de 5 jours seulement par les équipes de Comparex qui est l’un des partenaires locaux qui assure le prolongement d’IBM en Algérie à travers des compétences algériennes formées et régulièrement certifiées et remises à niveau ».
Hamid Djaballah a indiqué, par ailleurs, que le leader informatique mondial est en train de finaliser plusieurs autres projets en Algérie. « Nous sommes sur de gros projets stratégiques dans le domaine énergétique, la modernisation des systèmes d’information ainsi que sur l’amélioration du secteur bancaire », a-t-il affirmé sans trop étaler sur les détails.
Souhila K . 04 mars 2013
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