.......................................
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Tayri
Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
-
Tanemirt
Merci d'avoir partagé avec nous ce magnifique poème!
J'ai particulièrement aimé cette strophe:
Nek yidem d yiwen ferqen f sin
Nek yidem d'akk'niwen
Si zikk m'imzawag^en w'ulawen
Mi nemsefraq ttafen imman nsen
Ttruhen anida aken ullac medden
Aken kan itt'ghamayen
Au plaisir de te lire encore!Tu connaitras le bonheur si ton existence s'inscrit dans les limites de la volonté de Dieu.
-
en langue kabyle
Sahha di zzehr imkeffes
I 'y' ibdhan yid-es
Ta3zizt ukud nnume&
Ay te&ra tefhem tekyes
Yiwen ddin &ur-es
Daymi a meden i TT-hamle&
Iggum'ad iyi-ad-yas yidhes
S-elmehna ines
Txile-ek a lleh semlila&.
la traduction en français
Merci à la malchance
qui m'a séparé
de ma bien aimée à laquelle je me suis habitué.
Cultivée, intelligente et honnête
pieuse et croyante
c'est pour cela, oh gens, que je l'aime.
Je ne dors plus
à cause de la douleur qu'elle me cause.
Je T'implore Dieu de nous réunir.les larmes et le temps n'efface pas tous les souvenirs
on peut pleurer un océan mes il restera des vagues de désir!
Commentaire
-
@ karim23dz
Il n'est pas trop tard pour réaprendre tamazight, si tu en a envie
Voici un extrait d'une belle chanson d'Ait Menguellet, avec sa traduction, j'espère qu'elle plaira à tous les amoureux de la poésie kabyle!
Tesdhelmedh-iyi ur dhelmagh
Xas dhelmagh mebla lebghi-w
Semh-iyi akken d am semhagh
A tin i3zizen felli
Lemhibba-nagh tettwaqqed
Di lkanoun tegr i urghu
S isgharen tettewassed
Akken hadd ur ttisnusu
Duxxan deg genni ad ibdded
Alamma ilhaq s agu
Timess-is ad tejj ighed
Ighed nni at iddem w'adu
Tesdhelmedh-iyi ur dhelmagh
Xas dhelmagh mebla lebghi-w
Semh-iyi akken d am semhagh
A tin i3zizen felli
Ighed-nni a iddem wadhu
At izra3 s zzat uxxam
Ad-imghi lward ad ifsu
Ad-imetel di ssif-am
Nek ad ughalegh d agu
S nnigem am d-ahdugh slam
Lahcic ad yughal d usu
Igenni d a3dil fellam
Traduction :
A tort tu m’as condamné
Et même si j’ai eu tort, ce fut involontaire.
Pardonne-moi, comme je t’ai pardonné,
Oh ! toi qui m’es si chère,
Notre amour cautérisé,
Dans l’âtre s’est brûlé.
Enfoui, de bois recouvert,
Pour que nul ne l’éteigne.
Une fumée dans le ciel s’élèvera,
Et les nuages atteindra.
Son feu laissera des cendres,
Que le vent emportera.
A tort tu m’as condamné
Et même si j’ai eu tort, ce fut involontaire.
Pardonne-moi, comme je t’ai pardonné,
Oh ! toi qui m’es si chère.
Emportés par le vent, ces cendres
Devant ta maison seront semées.
Des roses fleuriront,
Images de ta beauté.
Moi, en nuage me transformerai,
Du ciel, te saluerai.
L’herbe sera ta couche,
Et le ciel ta couverture.
Tu connaitras le bonheur si ton existence s'inscrit dans les limites de la volonté de Dieu.
Commentaire
Commentaire