salam
en parlant avec un athe qui accuser les religieu detre les auteur de grand massacre on as limpression que pour les athe les source du malheur dans le monde c la religion et sans la religion il nyaurait pas de probleme
donc jai regardez lensembles des athe qui ont gouverner le monde tel que staline mais le plus emblematique reste hitler
je voudrait citer se quil qui disait
donc c pas la religion le probleme mais bien les gens
en parlant avec un athe qui accuser les religieu detre les auteur de grand massacre on as limpression que pour les athe les source du malheur dans le monde c la religion et sans la religion il nyaurait pas de probleme
donc jai regardez lensembles des athe qui ont gouverner le monde tel que staline mais le plus emblematique reste hitler
je voudrait citer se quil qui disait
"On est ou bien chrétien ou bien allemand, mais on ne peut être les deux à la fois"
« Pour notre peuple, au contraire, la religion est affaire capitale. Tout dépend de savoir s'il restera fidèle à la religion judéo-chrétienne et à la morale servile de la pitié, ou s'il aura une foi nouvelle, forte, héroïque, en un Dieu immanent dans la nature, en un Dieu immanent dans la nation même, en un Dieu indiscernable de son destin et de son sang.»
« Nos paysans n'ont pas oublié leurs croyances d'autrefois, la vieille religion vit toujours. Elle n'est que recouverte par la mythologie chrétienne, qui est venue se superposer, comme une couche de suif, et a conservé le contenu du pot.»
Adolf Hitler
Dans cette affirmation Hitler dit que si l'on est chrétien, on n'est pas Allemand et si on est Allemand on n'est pas chrétien. Pour lui le christianisme est lié au judaïsme qu'il exècre. Dans les enseignements de Christ et son sacrifice propitiatoire à la Croix, il voit une expression de la faiblesse, un refus du combat. Il n'accepte pas qu'on puisse parler d'un Messie triomphant alors qu'il meurt, ce qui sonne comme une défaite et que Paul nommera le Scandale de la Croix.
Il affirme un Dieu immanent à la nature, à savoir Dieu à l'intérieur de toutes les choses qui existent, mais pas à l'extérieur. C'est un panthéisme, le même panthéisme que celui qu'il rappelle juste après: la religion des anciens Germains, basés sur une mythologie propre et remise au goût de l'époque, notamment par un de ses inspirateurs: Richard Wagner!
Enfin il mentionne le christianisme qui a remplacé les anciens cultes païens comme un autre mythologie, ce qui est une erreur totale de compréhension philosophique, ce qui montre aussi combien il méconnait ce christianisme qu'il déteste:
Le coup le plus dur qui ait jamais frappé l'humanité fut l'avènement du christianisme. Le bolchevisme est un enfant illégitime du christianisme. Tous deux sont des inventions du Juif. C'est par le christianisme que le mensonge délibéré en matière de religion a été introduit dans le monde. Le bolchevisme pratique un mensonge de même nature quand il prétend apporter la liberté aux hommes, alors qu'en réalité il ne veut faire d'eux que des esclaves. Dans le monde antique, les relations entre les hommes et les dieux étaient fondées sur un respect instinctif. C'était un monde éclairé par l'idée de tolérance. Le christianisme fut la première croyance dans le monde à exterminer ses adversaires au nom de l'amour. Sa marque est l'intolérance.
• Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 11-12 juillet 1941, p. 7
Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l’échec humain. [...] Mais il n’est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu’un hommage à la raison [...] Il n’est donc pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du christianisme s’effrite devant les progrès de la science. La religion devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent peu à peu. Il ne reste plus qu’à prouver que dans la nature il n’existe aucune frontière entre l’organique et l’inorganique. Quand la connaissance de l’univers se sera largement répandue, quand la plupart des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la doctrine chrétienne sera convaincue d’absurdité [...] Tout bien considéré, nous n’avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les seuls à être immunisés contre cette maladie.
• Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 10-14 octobre 1941, p. 51-60
« Pour notre peuple, au contraire, la religion est affaire capitale. Tout dépend de savoir s'il restera fidèle à la religion judéo-chrétienne et à la morale servile de la pitié, ou s'il aura une foi nouvelle, forte, héroïque, en un Dieu immanent dans la nature, en un Dieu immanent dans la nation même, en un Dieu indiscernable de son destin et de son sang.»
« Nos paysans n'ont pas oublié leurs croyances d'autrefois, la vieille religion vit toujours. Elle n'est que recouverte par la mythologie chrétienne, qui est venue se superposer, comme une couche de suif, et a conservé le contenu du pot.»
Adolf Hitler
Dans cette affirmation Hitler dit que si l'on est chrétien, on n'est pas Allemand et si on est Allemand on n'est pas chrétien. Pour lui le christianisme est lié au judaïsme qu'il exècre. Dans les enseignements de Christ et son sacrifice propitiatoire à la Croix, il voit une expression de la faiblesse, un refus du combat. Il n'accepte pas qu'on puisse parler d'un Messie triomphant alors qu'il meurt, ce qui sonne comme une défaite et que Paul nommera le Scandale de la Croix.
Il affirme un Dieu immanent à la nature, à savoir Dieu à l'intérieur de toutes les choses qui existent, mais pas à l'extérieur. C'est un panthéisme, le même panthéisme que celui qu'il rappelle juste après: la religion des anciens Germains, basés sur une mythologie propre et remise au goût de l'époque, notamment par un de ses inspirateurs: Richard Wagner!
Enfin il mentionne le christianisme qui a remplacé les anciens cultes païens comme un autre mythologie, ce qui est une erreur totale de compréhension philosophique, ce qui montre aussi combien il méconnait ce christianisme qu'il déteste:
Le coup le plus dur qui ait jamais frappé l'humanité fut l'avènement du christianisme. Le bolchevisme est un enfant illégitime du christianisme. Tous deux sont des inventions du Juif. C'est par le christianisme que le mensonge délibéré en matière de religion a été introduit dans le monde. Le bolchevisme pratique un mensonge de même nature quand il prétend apporter la liberté aux hommes, alors qu'en réalité il ne veut faire d'eux que des esclaves. Dans le monde antique, les relations entre les hommes et les dieux étaient fondées sur un respect instinctif. C'était un monde éclairé par l'idée de tolérance. Le christianisme fut la première croyance dans le monde à exterminer ses adversaires au nom de l'amour. Sa marque est l'intolérance.
• Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 11-12 juillet 1941, p. 7
Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l’échec humain. [...] Mais il n’est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu’un hommage à la raison [...] Il n’est donc pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du christianisme s’effrite devant les progrès de la science. La religion devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent peu à peu. Il ne reste plus qu’à prouver que dans la nature il n’existe aucune frontière entre l’organique et l’inorganique. Quand la connaissance de l’univers se sera largement répandue, quand la plupart des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la doctrine chrétienne sera convaincue d’absurdité [...] Tout bien considéré, nous n’avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les seuls à être immunisés contre cette maladie.
• Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 10-14 octobre 1941, p. 51-60
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