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Les accords de libre échange, une menace pour le Maroc

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  • Les accords de libre échange, une menace pour le Maroc

    Les accords de libre échange, une menace pour le Maroc

    Les accords de libre échange sont un échec et menacent la souveraineté de l’Etat et la stabilité sociale du Maroc, explique l’économiste Najib Akesbi , selon qui le déficit commercial marocain n’a jamais été aussi lourd : près de 200 milliards de dirhams et 24% du PIB en 2012. Ce genre d’accords, même s’ils s’avèrent un échec, ne sont jamais remis en question puisqu’il n’existe aucune reddition des comptes.


    Najib Akesbi explique que le modèle économique marocain crée des inégalités sociales, territoriales et de genre, ajoutant que malgré un taux d’investissement relativement élevé (plus de 30%), le Maroc n’a créé en 2012 que 1000 emplois.
    L’économiste estime que les structures agricoles, industrielles et de services sont archaïques, faiblement productives et non compétitives, ce qui a pour conséquences des difficultés aiguës pour l’économie marocaine (déficits extérieurs et des finances publiques, endettement…), le chômage et une paupérisation croissante d’une partie de la population.
    Akesbi appelle par conséquent à de nombreuses réformes économiques et sociales, mais au préalable insiste sur une réforme radicale de la structure du système politique, qui contrôle presque tout au Maroc, puisque pour la plupart des grands projets, le parlement est le dernier à être mis au courant, ce qui rend impossible la mise en œuvre du principe de la reddition des comptes.


    ALM

  • #2
    .

    Najib Akesbi titulaire d'un doctorat d'État sciences économiques de l'Université Paris-Dauphine et diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris. Il est également titulaire d'une maîtrise sciences de gestion (Paris-IX-Dauphine) et d'un diplôme des études comptables supérieures de l'expertise comptable du Conservatoire national des arts et métiers.

    .





    .
    Dernière modification par MEK, 11 mars 2013, 12h01.

    Commentaire


    • #3
      Sans les ALE
      il n'y aurait pas eu Renault Tanger
      ni Bombardier
      ni industrie aéronautique ni industrie équipementier automobile
      ni ... ni...
      on serait encore à produire des orange et des tomates

      Ce que vit le Maroc aujourd'hui est une transformation de son économie
      La pire des chose à faire et de faire marche arrière (comme l'argentine)


      la chose ou a Maroc a failli est la libéralisation de changes

      le marché des change est encore trop administré de peur de voir le dirham chuter et provoquer une augmentation des prix alimentaires


      Si la Turquie est ce qu'elle est aujourdhui c'est parceque en 2005 la lire Turquie à perdu plus de 30% d'un seul coup
      cela à boosté l'investissement et rendu les produits turques hyper compétitif

      Cela ne m'étonne de Akesbi qui reste prisonnier de ces dogmes idéologiques de gauchistes adepte de l'économie dirigée
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

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      • #4
        les accords de libre échange sont inégaux ,un pays de tiers monde ne pourrait rien tirer des pays développés ,il est en position de faiblesse ,c'est aux industriels locaux de s'adapter ou disparaitre ,il n'y a pas d'autres alternatives ,ça fait 50 ans de facilités octroyés sans résultats

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