Le gouvernement algérien n’apprécie pas tellement le classement qui lui a été réservé en juin dernier par doing business de la Banque mondiale. Laquelle la classée pratiquement en queue des pays où le climat des affaires est le plus attrayant. C’est la raison pour laquelle, le ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement a décidé de mettre en place son propre doing business.
Annoncé par Chérif Rahmani, lors de la conférence nationale sur la sous-traitance automobile, ce comité a finalement été mis en place publiquement (les membres ayant été désigné auparavant) ce matin dans une cérémonie solennelle. Un comité où ne figurent malheureusement pas les représentants du patronat public ou privé, mais des personnalités pour le moins controversées, à l’image de certains experts consultants.
Il ne compte même pas parmi ses membres le président du conseil de la concurrence récemment installé par le ministère du commerce. Cela tant, si certains patrons n’ont pas trouvé à redire, il n’en a pas été de mêmes pour tant d’autres qui n’ont pas vu leur organisation dans la liste, alors qu’ils sont les premiers concernés par l’amélioration de l’environnement du climat des affaires.
Chargé essentiellement de faire des propositions pour rehausser la position de l’Algérie dans le classement du climat des affaires de la Banque mondiale, ce comité est composé de membres des instituions publiques, à savoir le ministère dirigé par M. Rahmani, celui de l’Habitat, du Commerce et des Finances. Pour autant, beaucoup de monde a été convié à cette réunion officielle, dont des ambassadeurs, le représentant de la Banque mondiale en Algérie, des responsables syndicaux, dont le secrétaire général de l’UGTA.
Le ministre de l’Industrie est revenu dans son allocution sur toutes les mesures qui ont été prise en faveur de l’amélioration du climat des affaires et a indiqué que d’autres mesures allaient être « annoncées dans les prochaines semaines par les plus hautes instances de l’Etat. Par Les plus hautes instances de l’Etat, on ne peut pas comprendre autre chose que la personne que le chef de l’Etat qui, apparemment doit faire un discours pour ce faire. Quand ? On ne le sait pas. Allons-nous assister à des réformes de 4ème génération ? Attendons pour voir !
Faouzia Ababsa
Annoncé par Chérif Rahmani, lors de la conférence nationale sur la sous-traitance automobile, ce comité a finalement été mis en place publiquement (les membres ayant été désigné auparavant) ce matin dans une cérémonie solennelle. Un comité où ne figurent malheureusement pas les représentants du patronat public ou privé, mais des personnalités pour le moins controversées, à l’image de certains experts consultants.
Il ne compte même pas parmi ses membres le président du conseil de la concurrence récemment installé par le ministère du commerce. Cela tant, si certains patrons n’ont pas trouvé à redire, il n’en a pas été de mêmes pour tant d’autres qui n’ont pas vu leur organisation dans la liste, alors qu’ils sont les premiers concernés par l’amélioration de l’environnement du climat des affaires.
Chargé essentiellement de faire des propositions pour rehausser la position de l’Algérie dans le classement du climat des affaires de la Banque mondiale, ce comité est composé de membres des instituions publiques, à savoir le ministère dirigé par M. Rahmani, celui de l’Habitat, du Commerce et des Finances. Pour autant, beaucoup de monde a été convié à cette réunion officielle, dont des ambassadeurs, le représentant de la Banque mondiale en Algérie, des responsables syndicaux, dont le secrétaire général de l’UGTA.
Le ministre de l’Industrie est revenu dans son allocution sur toutes les mesures qui ont été prise en faveur de l’amélioration du climat des affaires et a indiqué que d’autres mesures allaient être « annoncées dans les prochaines semaines par les plus hautes instances de l’Etat. Par Les plus hautes instances de l’Etat, on ne peut pas comprendre autre chose que la personne que le chef de l’Etat qui, apparemment doit faire un discours pour ce faire. Quand ? On ne le sait pas. Allons-nous assister à des réformes de 4ème génération ? Attendons pour voir !
Faouzia Ababsa
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