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La Direction de l’Emploi compte mettre en place, à travers les 26 communes de la wilaya d’Oran, un nouveau dispositif pour relancer l’emploi des jeunes.
Baptisé, dispositif des «16-20 ans », cette action compte s’appuyer sur le mouvement associatif et les comités de quartiers de la région pour sensibiliser mais aussi pour former ceux qui ont un bas niveau d’études ou ceux ayant interrompu précocement leur cursus scolaire.
Ils seront orientés vers les spécialités, très demandées sur le marché local, mais surtout exigeant un faible niveau d’instruction telles que les travaux publics et l’hydraulique. Ces jeunes pourront également trouver leur place dans les petits métiers tels que le ferraillage, le coffrage, la maçonnerie et la soudure.
Ce dispositif «16-20 ans», selon nos informations, est axé sur deux volets sur lesquels repose la politique de l’insertion des jeunes, à savoir le Contrat de travail aidé (CTI) et le dispositif «maîtres artisans».
Un plan d’action est mis en place à travers des actions de communication telles que des journées portes ouvertes dans les APC, les maisons de jeunes, les centres de formation mais surtout par l’entremise d’un travail de proximité impliquant les comités de quartiers.
Durant sa période de formation pouvant aller jusqu’à six mois, le jeune percevra une indemnité mensuelle de 4000 dinars et bénéficiera d’une couverture sociale.
Cette initiative se veut être également une réponse aux besoins en main d’œuvre des entreprises étrangères à qui il est fait obligation de recourir en priorité à la main d’œuvre locale.
En tout état de cause, il est utile de signaler que cette opération sera menée conjointement par la Direction de la formation professionnelle qui se chargera du placement des jeunes, de la Direction de l’Emploi qui subventionnera l’opération et de la Direction de l’éducation nationale qui fournira des listes de jeunes exclus et qui seront les premières cibles de cette opération.
Saou Boudjemâa. 06.03.2013
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Baptisé, dispositif des «16-20 ans », cette action compte s’appuyer sur le mouvement associatif et les comités de quartiers de la région pour sensibiliser mais aussi pour former ceux qui ont un bas niveau d’études ou ceux ayant interrompu précocement leur cursus scolaire.
Ils seront orientés vers les spécialités, très demandées sur le marché local, mais surtout exigeant un faible niveau d’instruction telles que les travaux publics et l’hydraulique. Ces jeunes pourront également trouver leur place dans les petits métiers tels que le ferraillage, le coffrage, la maçonnerie et la soudure.
Ce dispositif «16-20 ans», selon nos informations, est axé sur deux volets sur lesquels repose la politique de l’insertion des jeunes, à savoir le Contrat de travail aidé (CTI) et le dispositif «maîtres artisans».
Un plan d’action est mis en place à travers des actions de communication telles que des journées portes ouvertes dans les APC, les maisons de jeunes, les centres de formation mais surtout par l’entremise d’un travail de proximité impliquant les comités de quartiers.
Durant sa période de formation pouvant aller jusqu’à six mois, le jeune percevra une indemnité mensuelle de 4000 dinars et bénéficiera d’une couverture sociale.
Cette initiative se veut être également une réponse aux besoins en main d’œuvre des entreprises étrangères à qui il est fait obligation de recourir en priorité à la main d’œuvre locale.
En tout état de cause, il est utile de signaler que cette opération sera menée conjointement par la Direction de la formation professionnelle qui se chargera du placement des jeunes, de la Direction de l’Emploi qui subventionnera l’opération et de la Direction de l’éducation nationale qui fournira des listes de jeunes exclus et qui seront les premières cibles de cette opération.
Saou Boudjemâa. 06.03.2013
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