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Il y a quelques années, à la suite de la projection du film Rachida*, j’avais posé cette question : « C’est comme si en Algérie il n’existait pas de sociologues, d’historiens, de philosophes, de journalistes ou de penseurs pour nous faire le bilan psychologique de ce drame qui a perduré plus de 10 ans ! » Je suis heureux de voir qu’ils existent et qu’ils vont se manifester en plus grand nombre tel que cet auteur que je cite ci-dessous.
« Et il en sera chaque fois ainsi ; à chaque concession du pouvoir répondra une nouvelle escalade de la terreur. On ne comprenait toujours pas que l’extrémiste religieux fonde son discours et son action sur une philosophie du « tout ou rien. », de sorte que son but, aussi longtemps qu’il peut agir, demeure l’accession au pouvoir absolu, sans conditions aucune ni délai. Et que, à défaut d’arriver à ses fins, sa logique voudrait qu’il ne disparaisse pas sans tenter de tout réduire à néant, comme pour se convaincre qu’il est le centre de l’univers et que, parce qu’il est ainsi, il n’y a pas de vie possible sans lui. . . » de Saïd Zahraouï, Entre l’horreur et l’espoir (Robert Laffont)
J’ai posté ma critique de ce film ici
« Et il en sera chaque fois ainsi ; à chaque concession du pouvoir répondra une nouvelle escalade de la terreur. On ne comprenait toujours pas que l’extrémiste religieux fonde son discours et son action sur une philosophie du « tout ou rien. », de sorte que son but, aussi longtemps qu’il peut agir, demeure l’accession au pouvoir absolu, sans conditions aucune ni délai. Et que, à défaut d’arriver à ses fins, sa logique voudrait qu’il ne disparaisse pas sans tenter de tout réduire à néant, comme pour se convaincre qu’il est le centre de l’univers et que, parce qu’il est ainsi, il n’y a pas de vie possible sans lui. . . » de Saïd Zahraouï, Entre l’horreur et l’espoir (Robert Laffont)
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