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Le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Dahou Ould Kablia revenant sur les circonstances de la prise d’otages sur le site gazier de Tiguentourine a confié que le Japon a proposé à l’Algérie “un chèque” pour payer la rançon en contre partie de la libération de ses ressortissants.
Une proposition refusée par les autorités algériennes par fidélité au principe de ne jamais négocier avec les terroristes ou leur verser une rançon dans pareilles circonstances.
Le ministre de l’intérieur a également indiqué que l’ancien ministre de l’Energie et des mines Chakib Khelil n’est pas rentré récemment en Algérie contredisant ainsi les informations rapportées par plusieurs médias algériens ayant fait état de son retour au pays.
Pour Ould Kablia, Khelil n’est pas le principal accusé dans ce dossier. C’est ce que rapporte le quotidien El Khabar ce mardi en évoquant une rencontre entre le ministre et les membres de la communauté algérienne établie aux Emirats arabes unis où Ould Kablia effectue une visite de travail.
Retour du groupe émirati Eaamar
Toujours au cours de la même rencontre, le ministre de l’intérieur est revenu sur le refus des entreprises pétrolières étrangères de travailler en collaboration avec les services de sécurité algériens sur la question de la sécurisation des sites pétroliers dans le Sud du pays, pour expliquer leur faible couverture sécuritaire.
Dahou Ould Kablia a saisi l’occasion de sa visite à Abou Dhabi pour annoncer le retour du groupe immobilier émirati Eaamar Properties. Il a précisé que ce dernier a fini par accepter la règle d’investissement étranger en Algérie 49/51 qui était à l’origine de sa décision de dissoudre sa filiale algérienne chargée du suivi des investissements du groupe dans le pays.
Algérie 360
Une proposition refusée par les autorités algériennes par fidélité au principe de ne jamais négocier avec les terroristes ou leur verser une rançon dans pareilles circonstances.
Le ministre de l’intérieur a également indiqué que l’ancien ministre de l’Energie et des mines Chakib Khelil n’est pas rentré récemment en Algérie contredisant ainsi les informations rapportées par plusieurs médias algériens ayant fait état de son retour au pays.
Pour Ould Kablia, Khelil n’est pas le principal accusé dans ce dossier. C’est ce que rapporte le quotidien El Khabar ce mardi en évoquant une rencontre entre le ministre et les membres de la communauté algérienne établie aux Emirats arabes unis où Ould Kablia effectue une visite de travail.
Retour du groupe émirati Eaamar
Toujours au cours de la même rencontre, le ministre de l’intérieur est revenu sur le refus des entreprises pétrolières étrangères de travailler en collaboration avec les services de sécurité algériens sur la question de la sécurisation des sites pétroliers dans le Sud du pays, pour expliquer leur faible couverture sécuritaire.
Dahou Ould Kablia a saisi l’occasion de sa visite à Abou Dhabi pour annoncer le retour du groupe immobilier émirati Eaamar Properties. Il a précisé que ce dernier a fini par accepter la règle d’investissement étranger en Algérie 49/51 qui était à l’origine de sa décision de dissoudre sa filiale algérienne chargée du suivi des investissements du groupe dans le pays.
Algérie 360