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Une interview accordée par Samira Sitail, directrice adjointe de la chaîne de télévision publique 2M, au quotidien Akhbar Al Yaoum, aurait suscité la colère du chef du gouvernement Abdelilah Benkirane, que la directrice d’information de 2M a comparé à Mouammar Kadhafi et Fidel Castro.
Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication, aurait mis en garde contre la gravité des déclarations de Samira Sitail, qui augurent d’une bataille prochaine entre 2M et le gouvernement, d’après Akhbar Al Yaoum.
Les rapports entre celle que l’on surnomme "la dame de fer" et les islamistes du PJD n’ont jamais été au beau fixe, et ce depuis le temps ou le PJD était encore dans l’opposition. Samira Sitail avait dans le temps comparé le parti de Benkirane à l’extrême droite française, dirigé alors par Jean Marie Le Pen.
Samira Sitail, qui se targue de sa proximité avec le Palais et le conseiller royal Fouad Ali El Himma, est accusée d’utiliser la télévision publique financée, pour servir certains agendas politiques.
Au lendemain des attentats du 16 mai 2003 qui avaient fait 45 morts à Casablanca, la responsable de 2M avait ouvert la bataille en déclarant sur une chaîne de télévision française que "les responsables du PJD font l’apologie de ces groupuscules radicaux, qui aujourd’hui agissent sur le terrain. Ils sont tout aussi responsables que les 13 kamikazes qui se sont fait encadrer et manipuler par des personnes qui auraient pu être celles du PJD".
source : bladi
Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication, aurait mis en garde contre la gravité des déclarations de Samira Sitail, qui augurent d’une bataille prochaine entre 2M et le gouvernement, d’après Akhbar Al Yaoum.
Les rapports entre celle que l’on surnomme "la dame de fer" et les islamistes du PJD n’ont jamais été au beau fixe, et ce depuis le temps ou le PJD était encore dans l’opposition. Samira Sitail avait dans le temps comparé le parti de Benkirane à l’extrême droite française, dirigé alors par Jean Marie Le Pen.
Samira Sitail, qui se targue de sa proximité avec le Palais et le conseiller royal Fouad Ali El Himma, est accusée d’utiliser la télévision publique financée, pour servir certains agendas politiques.
Au lendemain des attentats du 16 mai 2003 qui avaient fait 45 morts à Casablanca, la responsable de 2M avait ouvert la bataille en déclarant sur une chaîne de télévision française que "les responsables du PJD font l’apologie de ces groupuscules radicaux, qui aujourd’hui agissent sur le terrain. Ils sont tout aussi responsables que les 13 kamikazes qui se sont fait encadrer et manipuler par des personnes qui auraient pu être celles du PJD".
source : bladi
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