Les sionnistes n'ont pas peur d'ecrire que "l'ame humaine est
fondamentalement juive" ou encore que "le peuple juif est
fondamentalement bon" et autre conneries du genre.
La realite est tout autre...
Plusieurs milliers de femmes ont ete "vendues" ces quatre dernieres annees a des reseaux de prostitution en Israel, selon le rapport d'une commission d'enquete du Parlement.
De 3.000 a 5.000 femmes ont ete victimes de ce trafic qui
porte sur des milliards de dollars par an, a precie la presidente de cette
commission d'enquete, la deputee Zehava Gal-On, du parti Yahad, opposition de
gauche laique israelienne.
Elle a aussi indique que ces femmes sont en general
"vendues" a des souteneurs pour un prix variant de 8.000 a 10.000
dollars, et servent ensuite d'esclaves sexuelles de 14 a 18 heures par jour.
Leurs "protecteurs" leur laissent 20 shekels (4
dollars) sur les 120 payes en moyenne par rencontre par leurs
"clients".
"Nous avons mene cette enquete pour verifier l'ampleur
du phenomene, afin que la classe politique et l'opinion prennent conscience de
la nature brutale du trafic des femmes a l'age de la globalisation", a
indique Mme Gal-On.
Resume:
Depuis les annees 1960, le nombre de travailleurs migrants a travers le monde a considerablement augmente et cette forme de travail est aujourd'hui largement utilisee. La situation en Israel est cependant sans equivalence, puisque les travailleurs migrants y sont deliberement utilises pour remplacer les travailleurs palestiniens, mais egalement du fait du role que cette politique tient dans le conflit israelo-palestinien. Israel fait
appel a des travailleurs migrants depuis les annees 1980. Leur nombre a fortement
augmente depuis. Du fait des bouclages et des considerations securitaires lies a la
premiere et surtout a la seconde intifada, Israel a eu de plus en plus recours aux
travailleurs etrangers pour remplacer les Palestiniens qui ne peuvent plus entrer en
Israel. Alors qu'environ 115 000 Palestiniens travaillaient en Israel avant septembre
2000, leur nombre a aujourd'hui chute a quelques milliers.
Le rapport s'alarme de la situation de 300 000 travailleurs migrants, dont 60% sont en
situation illegale. Dans de nombreux cas les travailleurs migrants travaillent
d abord legalement, mais perdent ensuite leur emploi ou changent d'employeur.
Etant donne que le permis de travail permet uniquement de travailler avec un employeur
determine, ils deviennent, par consequent, clandestins. Generalement ils restent en
Israel, parce qu'ils n'ont pas les moyens de rentrer chez eux, risquant a tout moment
d etre arretes et mis en prison, avant d'etre expulses. A cause de cette
situation de detresse, les droits fondamentaux des travailleurs migrants, qu'ils soient
en situation reguliere ou non, ne sont pas respectes : absence de jours de conge, bas
salaires (entre la moitie et les deux tiers du salaire paye aux travailleurs
palestiniens et encore moins compare aux salaires des Israeliens), mauvaises conditions
de travail, avec le risque de confiscation du passeport etc.
Les travailleurs migrants en situation reguliere sont totalement dependants de leurs
employeurs israeliens, dont la plupart gardent le passeport tout a fait illegalement.
Si le travailleur proteste, il risque d'etre renvoye et, par consequent, d'etre en
situation irreguliere.
La moitie des migrants en Israel sont originaire d'Asie (Chine, Thailande, les
Philippines), 45% d'Europe de l'Est (principalement de Roumanie et de Moldavie) et le
reste d'Afrique et d'Amerique latine. Le recrutement des travailleurs migrants est une
activite tres lucrative. Ainsi, les Chinois, qui sont principalement des travailleurs du
batiment, ont paye entre 6 000 et 10 000 U.S.$ chacun pour venir en Israel, la somme
divisee entre une agence chinoise (en connivence avec le gouvernement chinois), les
employeurs israeliens, le gouvernement israelien (pour les frais de visa etc.) et
l'agence de voyage. Le rapport souligne que des groupes de pression, grace a leurs
contacts dans les spheres gouvernementales et parlementaires, ont incite au recrutement
de travailleurs migrants.
Publié dans Pandemonium Inc.
fondamentalement juive" ou encore que "le peuple juif est
fondamentalement bon" et autre conneries du genre.
La realite est tout autre...
Plusieurs milliers de femmes ont ete "vendues" ces quatre dernieres annees a des reseaux de prostitution en Israel, selon le rapport d'une commission d'enquete du Parlement.
De 3.000 a 5.000 femmes ont ete victimes de ce trafic qui
porte sur des milliards de dollars par an, a precie la presidente de cette
commission d'enquete, la deputee Zehava Gal-On, du parti Yahad, opposition de
gauche laique israelienne.
Elle a aussi indique que ces femmes sont en general
"vendues" a des souteneurs pour un prix variant de 8.000 a 10.000
dollars, et servent ensuite d'esclaves sexuelles de 14 a 18 heures par jour.
Leurs "protecteurs" leur laissent 20 shekels (4
dollars) sur les 120 payes en moyenne par rencontre par leurs
"clients".
"Nous avons mene cette enquete pour verifier l'ampleur
du phenomene, afin que la classe politique et l'opinion prennent conscience de
la nature brutale du trafic des femmes a l'age de la globalisation", a
indique Mme Gal-On.
Resume:
Depuis les annees 1960, le nombre de travailleurs migrants a travers le monde a considerablement augmente et cette forme de travail est aujourd'hui largement utilisee. La situation en Israel est cependant sans equivalence, puisque les travailleurs migrants y sont deliberement utilises pour remplacer les travailleurs palestiniens, mais egalement du fait du role que cette politique tient dans le conflit israelo-palestinien. Israel fait
appel a des travailleurs migrants depuis les annees 1980. Leur nombre a fortement
augmente depuis. Du fait des bouclages et des considerations securitaires lies a la
premiere et surtout a la seconde intifada, Israel a eu de plus en plus recours aux
travailleurs etrangers pour remplacer les Palestiniens qui ne peuvent plus entrer en
Israel. Alors qu'environ 115 000 Palestiniens travaillaient en Israel avant septembre
2000, leur nombre a aujourd'hui chute a quelques milliers.
Le rapport s'alarme de la situation de 300 000 travailleurs migrants, dont 60% sont en
situation illegale. Dans de nombreux cas les travailleurs migrants travaillent
d abord legalement, mais perdent ensuite leur emploi ou changent d'employeur.
Etant donne que le permis de travail permet uniquement de travailler avec un employeur
determine, ils deviennent, par consequent, clandestins. Generalement ils restent en
Israel, parce qu'ils n'ont pas les moyens de rentrer chez eux, risquant a tout moment
d etre arretes et mis en prison, avant d'etre expulses. A cause de cette
situation de detresse, les droits fondamentaux des travailleurs migrants, qu'ils soient
en situation reguliere ou non, ne sont pas respectes : absence de jours de conge, bas
salaires (entre la moitie et les deux tiers du salaire paye aux travailleurs
palestiniens et encore moins compare aux salaires des Israeliens), mauvaises conditions
de travail, avec le risque de confiscation du passeport etc.
Les travailleurs migrants en situation reguliere sont totalement dependants de leurs
employeurs israeliens, dont la plupart gardent le passeport tout a fait illegalement.
Si le travailleur proteste, il risque d'etre renvoye et, par consequent, d'etre en
situation irreguliere.
La moitie des migrants en Israel sont originaire d'Asie (Chine, Thailande, les
Philippines), 45% d'Europe de l'Est (principalement de Roumanie et de Moldavie) et le
reste d'Afrique et d'Amerique latine. Le recrutement des travailleurs migrants est une
activite tres lucrative. Ainsi, les Chinois, qui sont principalement des travailleurs du
batiment, ont paye entre 6 000 et 10 000 U.S.$ chacun pour venir en Israel, la somme
divisee entre une agence chinoise (en connivence avec le gouvernement chinois), les
employeurs israeliens, le gouvernement israelien (pour les frais de visa etc.) et
l'agence de voyage. Le rapport souligne que des groupes de pression, grace a leurs
contacts dans les spheres gouvernementales et parlementaires, ont incite au recrutement
de travailleurs migrants.
Publié dans Pandemonium Inc.
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