Véronique Genest chez On n'est pas couché : l'interview torture pour l'actrice et les chroniqueurs de Ruquier
GENEST - "Vous êtes folle" a commencé Laurent Ruquier alors que Veronique Genest prenait place dans le fauteuil de l'interviewée du plateau d'"On est pas couché". Le ton était donné pour ce qui était annoncé comme un "traquenard" ou un suicide cathodique" de l'ancienne star de la série, Julie Lescaut, quelques jours avant la diffusion de l'émission,samedi 9 mars en deuxieme partie de soirée sur France 2.
Et l'entretien commence mal lorsque Natacha Polony et Aymeric Caron, les deux interviewers, ont d'emblée attaqué la suppléante sur les positions d'extrême droite de son candidat de tutelle et sur sa vision d'Israël. Véronique Genest reste sans voix avouant "Je ne pensais pas qu'on allait me parler d'Israël comme ça." Aymeric Caron en particulier, commente chaque phrase de la politique en herbe lui demandant de se justifier, d'expliquer et de fournir ses sources.
À plusieurs reprises, la comédienne, déstabilisée, hausse la voix et perd le fil de ses pensées. Comme pour se justifier, elle rappelle qu'elle est "débutante". "C'est pas un jeu la politique" lui explique Aymeric Caron qui semble aussi perdre patience. "Vous n'êtes pas capable de me dire les sources de vos informations" lui oppose-t-il. "Je n'ai pas mon petit papier" se défend encore Véronique Genest.
"Je suis très fatiguée", s'excuse encore la comédienne. "Il faut que je vous donne un programme si j'étais femme politique" demande-t-elle à Natacha Polony lorsque la journaliste l'interroge sur son ancrage politique. "Mais vous aspirez à rentrer à l'Assemblée nationale? s'inquiète alors la journaliste du Figaro, incrédule. De plus en plus déstabilisée, Véronique Genest minimise son rôle de suppléante qui ne consisterait qu'à "rendre service ponctuellement aux français de l'étranger".
"Je suis assez déstabilisée qu'on me soit tombée dessus comme ça" conclura finalement l'actrice. Les 30 minutes d'interview semblent l'avoir épuisée autant qu'Aymeric Caron et Natacha Polony.
Le HuffPost
GENEST - "Vous êtes folle" a commencé Laurent Ruquier alors que Veronique Genest prenait place dans le fauteuil de l'interviewée du plateau d'"On est pas couché". Le ton était donné pour ce qui était annoncé comme un "traquenard" ou un suicide cathodique" de l'ancienne star de la série, Julie Lescaut, quelques jours avant la diffusion de l'émission,samedi 9 mars en deuxieme partie de soirée sur France 2.
Et l'entretien commence mal lorsque Natacha Polony et Aymeric Caron, les deux interviewers, ont d'emblée attaqué la suppléante sur les positions d'extrême droite de son candidat de tutelle et sur sa vision d'Israël. Véronique Genest reste sans voix avouant "Je ne pensais pas qu'on allait me parler d'Israël comme ça." Aymeric Caron en particulier, commente chaque phrase de la politique en herbe lui demandant de se justifier, d'expliquer et de fournir ses sources.
À plusieurs reprises, la comédienne, déstabilisée, hausse la voix et perd le fil de ses pensées. Comme pour se justifier, elle rappelle qu'elle est "débutante". "C'est pas un jeu la politique" lui explique Aymeric Caron qui semble aussi perdre patience. "Vous n'êtes pas capable de me dire les sources de vos informations" lui oppose-t-il. "Je n'ai pas mon petit papier" se défend encore Véronique Genest.
"Je suis très fatiguée", s'excuse encore la comédienne. "Il faut que je vous donne un programme si j'étais femme politique" demande-t-elle à Natacha Polony lorsque la journaliste l'interroge sur son ancrage politique. "Mais vous aspirez à rentrer à l'Assemblée nationale? s'inquiète alors la journaliste du Figaro, incrédule. De plus en plus déstabilisée, Véronique Genest minimise son rôle de suppléante qui ne consisterait qu'à "rendre service ponctuellement aux français de l'étranger".
"Je suis assez déstabilisée qu'on me soit tombée dessus comme ça" conclura finalement l'actrice. Les 30 minutes d'interview semblent l'avoir épuisée autant qu'Aymeric Caron et Natacha Polony.
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