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Dans un environnement difficile et en pleine mutation, Wafasalaf, le leader du marché, a poursuivi son développement et a consolidé ses parts de marché dans les différents segments du secteur du crédit à la consommation. «La part de marché globale de Wafasalaf s’est améliorée pour atteindre 29,2 %», a d’emblée fait remarquer Mme Laïla Mamou, Présidente du Directoire de Wafasalaf. Par segment de marché, Wafasalaf a maintenu son leadership dans tous les marchés : 26,3 % pour le prêt personnel, 29,3 % pour le crédit automobile, 73,8 % pour l’équipement de la maison. Preuve de la dynamique commerciale de Wafasalaf, au niveau du segment automobile dont les ventes ont affiché une progression de 16,2 % à 130 316 véhicules en 2012, «54 % des demandes de financement des véhicules particuliers ont été souscrites via Wafasalaf», a expliqué Mme Mamou.
Ces performances commerciales sont d’autant plus appréciables que la concurrence bancaire est rude et que l’environnement est loin d’être favorable. L’encours bancaire représente 50,6 % de l’encours global du marché qui s’est apprécié de 7 % à 77,7 milliards de dirhams. Il n’en demeure pas moins que «notre présence dans les points de vente constitue un atout majeur pour nous comparativement aux banques», a fait remarquer Mme Mamou.
Les clés du succès
Outre l’intensification de la concurrence, le secteur a fait face à des éléments défavorables. Il y a bien évidemment le resserrement des liquidités se traduisant par un renchérissement du coût de refinancement. Sur ce point, Wafasalaf a poursuivi son modèle de financement diversifié en recourant aux crédits à moyen terme et aux bons des sociétés de financement avec des taux de refinancement compris globalement entre 4,8 et 5,2 %. Outre la problématique de refinancement, le secteur continue à faire face à la problématique d’impayés même si le taux d’impayés du marché a connu une baisse passant de 13,5 % en 2011 à 12,5 % en 2012. Sur ce point aussi, grâce à la stratégie du risque et à la qualité du système de recouvrement mis en place, Wafasalaf s’en sort bien avec un taux d’impayé de 9,5 %.
Grâce à cette dynamique commerciale et à la politique de maîtrise du risque, Wafasalaf a réalisé de bonnes performances financières. Ainsi, la production de Wafasalaf a augmenté de 9,9 % à 10,35 milliards de dirhams et l’encours s’est apprécié de 9 % à 22,55 milliards de dirhams. Dans ce contexte, le produit net bancaire s’est légèrement amélioré de 0,2 % à 1 053 MDH porté principalement par l’effet de diversification et le développement soutenu de l’activité gérée pour le compte de tiers. Quant au résultat net, il a progressé de 4,4 % à 350 MDH grâce principalement à la maîtrise des charges d’exploitation et des risques.
En consolidé, la production s’est accrue de 8,6 % à 12,6 milliards de dirhams et le résultat net consolidé s’est établi à 370,6 MDH. «Ces performances sont le résultat d’une stratégie commerciale dynamique qui repose sur des ressources humaines de qualité, d’une stratégie de maitrise du risque, d’un mix produit adapté, des partenariats judicieux et d’un système d’information de très grande qualité», a souligné Mme Mamou.
Enfin, pour 2013, «Wafasalaf est déterminé à rester le leader du marché et poursuivre sa stratégie axée sur un développement rentable et responsable», a conclu Mme Mamou. Pour se faire, «face à un marché en pleine mutation avec des clients jeunes et exigeants, nous sommes poussés à revoir nos manières de travailler», a t-elle expliqué. Wafasalaf, a t-elle poursuit, «a anticipé cette évolution en mettant en place une stratégie axée sur trois volets : diversification, différenciation et responsabilité sociale».
La diversification se matérialise aujourd’hui via la gestion pour compte et providing, l’assurance avec les résultats probants de la filiale Themis Courtage, la politique de partenariat renforcée avec des enseignes spécialisées ou de grande distribution (Acima, Marjane, Aswak Assalam, Aksal, Carrefour, Microchoix, Electroplanet, etc.). Pour ce qui est de la différenciation, Wafasalaf met le client au centre de sa démarche en respectant les règles d’octroi et d’endettement dans le cadre des lois destinées à protéger le consommateur. De même, outre l’amélioration de la qualité de services, la société dispose d’un site internet qui constitue une référence en matière de crédit en ligne. Enfin, étant une entreprise citoyenne, Wafasalaf fait de la responsabilité sociale un axe fondamental de son développement via l’accompagnement d’associations comme Injaz Al-Maghrib et la solidarité avec les populations démunies, etc
lnt
Ces performances commerciales sont d’autant plus appréciables que la concurrence bancaire est rude et que l’environnement est loin d’être favorable. L’encours bancaire représente 50,6 % de l’encours global du marché qui s’est apprécié de 7 % à 77,7 milliards de dirhams. Il n’en demeure pas moins que «notre présence dans les points de vente constitue un atout majeur pour nous comparativement aux banques», a fait remarquer Mme Mamou.
Les clés du succès
Outre l’intensification de la concurrence, le secteur a fait face à des éléments défavorables. Il y a bien évidemment le resserrement des liquidités se traduisant par un renchérissement du coût de refinancement. Sur ce point, Wafasalaf a poursuivi son modèle de financement diversifié en recourant aux crédits à moyen terme et aux bons des sociétés de financement avec des taux de refinancement compris globalement entre 4,8 et 5,2 %. Outre la problématique de refinancement, le secteur continue à faire face à la problématique d’impayés même si le taux d’impayés du marché a connu une baisse passant de 13,5 % en 2011 à 12,5 % en 2012. Sur ce point aussi, grâce à la stratégie du risque et à la qualité du système de recouvrement mis en place, Wafasalaf s’en sort bien avec un taux d’impayé de 9,5 %.
Grâce à cette dynamique commerciale et à la politique de maîtrise du risque, Wafasalaf a réalisé de bonnes performances financières. Ainsi, la production de Wafasalaf a augmenté de 9,9 % à 10,35 milliards de dirhams et l’encours s’est apprécié de 9 % à 22,55 milliards de dirhams. Dans ce contexte, le produit net bancaire s’est légèrement amélioré de 0,2 % à 1 053 MDH porté principalement par l’effet de diversification et le développement soutenu de l’activité gérée pour le compte de tiers. Quant au résultat net, il a progressé de 4,4 % à 350 MDH grâce principalement à la maîtrise des charges d’exploitation et des risques.
En consolidé, la production s’est accrue de 8,6 % à 12,6 milliards de dirhams et le résultat net consolidé s’est établi à 370,6 MDH. «Ces performances sont le résultat d’une stratégie commerciale dynamique qui repose sur des ressources humaines de qualité, d’une stratégie de maitrise du risque, d’un mix produit adapté, des partenariats judicieux et d’un système d’information de très grande qualité», a souligné Mme Mamou.
Enfin, pour 2013, «Wafasalaf est déterminé à rester le leader du marché et poursuivre sa stratégie axée sur un développement rentable et responsable», a conclu Mme Mamou. Pour se faire, «face à un marché en pleine mutation avec des clients jeunes et exigeants, nous sommes poussés à revoir nos manières de travailler», a t-elle expliqué. Wafasalaf, a t-elle poursuit, «a anticipé cette évolution en mettant en place une stratégie axée sur trois volets : diversification, différenciation et responsabilité sociale».
La diversification se matérialise aujourd’hui via la gestion pour compte et providing, l’assurance avec les résultats probants de la filiale Themis Courtage, la politique de partenariat renforcée avec des enseignes spécialisées ou de grande distribution (Acima, Marjane, Aswak Assalam, Aksal, Carrefour, Microchoix, Electroplanet, etc.). Pour ce qui est de la différenciation, Wafasalaf met le client au centre de sa démarche en respectant les règles d’octroi et d’endettement dans le cadre des lois destinées à protéger le consommateur. De même, outre l’amélioration de la qualité de services, la société dispose d’un site internet qui constitue une référence en matière de crédit en ligne. Enfin, étant une entreprise citoyenne, Wafasalaf fait de la responsabilité sociale un axe fondamental de son développement via l’accompagnement d’associations comme Injaz Al-Maghrib et la solidarité avec les populations démunies, etc
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