Un Marocain demande à devenir citoyen de la « RASD »
Un ancien prisonnier politique marocain du nom de Hassan Serghouchni, ancien détenu qui a souffert les privations et la torture dans les geôles makhzeniennes après les émeutes de 1984, a écrit une lettre à l’ambassadeur à Alger de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), la vitrine internationale du Polisario, pour lui demander la concession de la nationalité polisarienne.
Humilié et soumis à de mauvais traitements, Hassan Serghouchni qui a déjà décidé d’abandonner la nationalité marocaine, a décidé cette fois-ci de sauter le pas et d’aller plus loin.
Dans sa lettre, assez louangeuse pour le Polisario, cet ancien prisonnier politique, qui habite à Oujda et ne s’en cache pas, explique avoir fait ce geste pour répondre à l’Etat marocain responsable des soufrances dont il a été victime dans le passé.
Sa plainte contre l’Etat marocain, considéré le premier responsable de ses malheurs, a été rejetée par le tribunal administratif au mois de septembre dernier.
Demainonline
Un ancien prisonnier politique marocain du nom de Hassan Serghouchni, ancien détenu qui a souffert les privations et la torture dans les geôles makhzeniennes après les émeutes de 1984, a écrit une lettre à l’ambassadeur à Alger de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), la vitrine internationale du Polisario, pour lui demander la concession de la nationalité polisarienne.
Humilié et soumis à de mauvais traitements, Hassan Serghouchni qui a déjà décidé d’abandonner la nationalité marocaine, a décidé cette fois-ci de sauter le pas et d’aller plus loin.
Dans sa lettre, assez louangeuse pour le Polisario, cet ancien prisonnier politique, qui habite à Oujda et ne s’en cache pas, explique avoir fait ce geste pour répondre à l’Etat marocain responsable des soufrances dont il a été victime dans le passé.
Sa plainte contre l’Etat marocain, considéré le premier responsable de ses malheurs, a été rejetée par le tribunal administratif au mois de septembre dernier.
Demainonline
Commentaire