Feuilles cendrées d'un livre
Tournées pour oublier tel l'ivre
Journée noires de jadis où vivre
sans que l'on ne comprenne est devenu survivre
mères endeuillées
Sagesse oubliée
Visages ternes comme des journées
Devenues grises durant un mois de Juillet
Octobre et la colère gronda
La force brute un espoir réprima
Millions de martyres ne nous en veuillez point
Milliers d'âmes tombées sans savoir pourquoi
Éternel hiver d'année en année
Durcissant les cœurs glaçant le sang
Et la colombe blanche s'en est allée
Par un corbeau tout de noir vêtu fut remplacée
Un drapeau claquant au vent
Un regard porté vers l'horizon
Une poitrine en feu qui se déchaine
Colère rage tristesse et haine!
Homme en arme écrasant la vie
Méprisant les misérables dégaine et dédaigne
Pauvres apeurés qui ce monde fuient
Des fous prisonniers de leur colère se terrant dans les montagnes
O mère qu'avons nous fait
Pardon au nom de tout ceux tombés
Je ne peux l'oublier, j'ai perdu ce bouclier
Derrière nous ...plus de pas, damnés
Mes petites sœurs se font kidnapper
Mes petits frères étrangler
Et des hauts ponts d’étranges êtres
Tentent de voler et fuir cette terre
Ils nous quittent heureux
Plus bas dans un fracas
Laissant la maison dans l’effroi et l'horreur
Eux aussi ont perdu leur pas
Triste vie grise sentant la chaleur
Au gout amère et à ka lente lenteur
Éclairezmoi ...je perds mes pas et bien
Que je saches d'où je viens, je ne saurai le dire demain
Votre lanterne s'est éteinte ?
... quelque chose de fâcheux
Voilà qu'elle projette de l'ombre au lieu d'éclairer
Peut être est-ce le cas de la mienne aussi.
Tournées pour oublier tel l'ivre
Journée noires de jadis où vivre
sans que l'on ne comprenne est devenu survivre
mères endeuillées
Sagesse oubliée
Visages ternes comme des journées
Devenues grises durant un mois de Juillet
Octobre et la colère gronda
La force brute un espoir réprima
Millions de martyres ne nous en veuillez point
Milliers d'âmes tombées sans savoir pourquoi
Éternel hiver d'année en année
Durcissant les cœurs glaçant le sang
Et la colombe blanche s'en est allée
Par un corbeau tout de noir vêtu fut remplacée
Un drapeau claquant au vent
Un regard porté vers l'horizon
Une poitrine en feu qui se déchaine
Colère rage tristesse et haine!
Homme en arme écrasant la vie
Méprisant les misérables dégaine et dédaigne
Pauvres apeurés qui ce monde fuient
Des fous prisonniers de leur colère se terrant dans les montagnes
O mère qu'avons nous fait
Pardon au nom de tout ceux tombés
Je ne peux l'oublier, j'ai perdu ce bouclier
Derrière nous ...plus de pas, damnés
Mes petites sœurs se font kidnapper
Mes petits frères étrangler
Et des hauts ponts d’étranges êtres
Tentent de voler et fuir cette terre
Ils nous quittent heureux
Plus bas dans un fracas
Laissant la maison dans l’effroi et l'horreur
Eux aussi ont perdu leur pas
Triste vie grise sentant la chaleur
Au gout amère et à ka lente lenteur
Éclairezmoi ...je perds mes pas et bien
Que je saches d'où je viens, je ne saurai le dire demain
Votre lanterne s'est éteinte ?
... quelque chose de fâcheux
Voilà qu'elle projette de l'ombre au lieu d'éclairer
Peut être est-ce le cas de la mienne aussi.
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