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La galerie d’art Mohamed-Racim a abrité, du 17 au 19 mars, une exposition collective d’artistes peintres chinois. Le vernissage de cette exposition, qui a eu lieu dimanche après-midi, regroupe une bonne soixantaine d’œuvres.
La galerie d’art Racim (7, rue Pasteur, Alger) a abrité, depuis dimanche et jusqu'à hier, une exposition collective – première en son genre – qui regroupe les travaux de 5 jeunes artistes chinois (Hja Xiaoyong, Wang Lei, Yang Guangwen, Xu Qping et Dong Ja), organisée dans le cadre d’un programme d’échange initié à l’occasion du 55e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre l’Algérie et la Chine. Ces artistes ont livré leurs impressions de l’Algérie sur des toiles et dans des dessins majestueux. Ces invités de l’école des beaux-arts peignent l’Algérie comme ils la voient et comme il la ressentent.
D’ailleurs, on retrouve plusieurs places et lieux connus, tels le port d’Alger, le pont de Constantine ou encore le site de Djemila avec des couleurs chaudes très présentes, notamment le bleu vif pour les tableaux d’Alger et de Constantine. En tout, une soixantaine d’œuvres exposées, représentant notamment des paysages naturels, où se mêlent formats, couleurs et matières. Le patrimoine urbain, algérien et chinois, est peint avec différentes techniques.
On retrouve notamment des œuvres typiquement chinoises dans les couleurs, les dessins et même l’écriture. Des tableaux originaux et authentiques dans lesquels le fameux éventail asiatique revient fréquemment. Outre les paysages, on ne peut rater certains tableaux, réalisés en grand format, et représentant des portraits d’étudiants de l’école des beaux-arts, que ces artistes ont rencontrés lors d’un atelier.
Rappelons que les artistes venus pour la première fois en Algérie se sont inspirés de leurs visites à Alger, Constantine et Tipasa lors d’un séjour placé sous le signe de la découverte de trois semaines.
Abdelhamid Laroussi, directeur de la galerie, a expliqué, lors de ce vernissage, l’importance d’un tel échange, qu’il a jugé porteur et instructif. “Cette exposition entre dans le cadre d’un échange artistique d’expériences et prouve que l’Algérie est ouverte à tout type d’art”, a-t-il souligné. Pour lui, “un tel échange permet d’explorer d’autres styles et d’autres tendances”. Des étudiants de l’école des beaux-arts, présents lors du vernissage, ont exprimé leur joie et leur satisfaction quant à la rencontre avec des artistes chinois. “Nous avons l’habitude de rencontrer des artistes européens, mais cette expérience est tout autre. On a découvert d’autres façons de faire et plusieurs matières typiquement asiatiques, jusque-là méconnues pour nous”, confira une étudiante.
L’artiste peintre algérien Hachemi Ameur participe à cette exposition avec des œuvres qui sont le résultat d’un récent voyage en Chine.
Farah Yasmine Nia- Liberté
La galerie d’art Racim (7, rue Pasteur, Alger) a abrité, depuis dimanche et jusqu'à hier, une exposition collective – première en son genre – qui regroupe les travaux de 5 jeunes artistes chinois (Hja Xiaoyong, Wang Lei, Yang Guangwen, Xu Qping et Dong Ja), organisée dans le cadre d’un programme d’échange initié à l’occasion du 55e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre l’Algérie et la Chine. Ces artistes ont livré leurs impressions de l’Algérie sur des toiles et dans des dessins majestueux. Ces invités de l’école des beaux-arts peignent l’Algérie comme ils la voient et comme il la ressentent.
D’ailleurs, on retrouve plusieurs places et lieux connus, tels le port d’Alger, le pont de Constantine ou encore le site de Djemila avec des couleurs chaudes très présentes, notamment le bleu vif pour les tableaux d’Alger et de Constantine. En tout, une soixantaine d’œuvres exposées, représentant notamment des paysages naturels, où se mêlent formats, couleurs et matières. Le patrimoine urbain, algérien et chinois, est peint avec différentes techniques.
On retrouve notamment des œuvres typiquement chinoises dans les couleurs, les dessins et même l’écriture. Des tableaux originaux et authentiques dans lesquels le fameux éventail asiatique revient fréquemment. Outre les paysages, on ne peut rater certains tableaux, réalisés en grand format, et représentant des portraits d’étudiants de l’école des beaux-arts, que ces artistes ont rencontrés lors d’un atelier.
Rappelons que les artistes venus pour la première fois en Algérie se sont inspirés de leurs visites à Alger, Constantine et Tipasa lors d’un séjour placé sous le signe de la découverte de trois semaines.
Abdelhamid Laroussi, directeur de la galerie, a expliqué, lors de ce vernissage, l’importance d’un tel échange, qu’il a jugé porteur et instructif. “Cette exposition entre dans le cadre d’un échange artistique d’expériences et prouve que l’Algérie est ouverte à tout type d’art”, a-t-il souligné. Pour lui, “un tel échange permet d’explorer d’autres styles et d’autres tendances”. Des étudiants de l’école des beaux-arts, présents lors du vernissage, ont exprimé leur joie et leur satisfaction quant à la rencontre avec des artistes chinois. “Nous avons l’habitude de rencontrer des artistes européens, mais cette expérience est tout autre. On a découvert d’autres façons de faire et plusieurs matières typiquement asiatiques, jusque-là méconnues pour nous”, confira une étudiante.
L’artiste peintre algérien Hachemi Ameur participe à cette exposition avec des œuvres qui sont le résultat d’un récent voyage en Chine.
Farah Yasmine Nia- Liberté