Une jeune fille de 17 ans est morte sous les coups de son mari, à Meknès rapporte, aujourd’hui,vendredi 29 mars, l’association Touche pas à mon enfant, selon EFE. Comme Amina Filali, dont l’histoire avait ému tout le Maroc et la communauté internationale, il y a un an exactement, la jeune femme avait été mariée à l’homme qui l’avait violée. Elle était la mère d’une petite fille.
Des histoires comme celles-ci le Maroc en compte beaucoup. En mai l’an dernier, la même association dénonçait la situation dans laquelle était contrainte de vivre Safae violée, mariée à son violeur, mère d’une petite fille et abandonnée par son mari.
L’histoire d’Amina Filali a mené le gouvernement marocain à décidé de la suppression du fameux article 475 du Code pénal qui autorise le mariage de la victime à son violeur. Pour l’heure cette suppression n’a bLpas encore été actée au niveau du parlement.
Bladi
Des histoires comme celles-ci le Maroc en compte beaucoup. En mai l’an dernier, la même association dénonçait la situation dans laquelle était contrainte de vivre Safae violée, mariée à son violeur, mère d’une petite fille et abandonnée par son mari.
L’histoire d’Amina Filali a mené le gouvernement marocain à décidé de la suppression du fameux article 475 du Code pénal qui autorise le mariage de la victime à son violeur. Pour l’heure cette suppression n’a bLpas encore été actée au niveau du parlement.
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