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    Les « Morgellons » ou « maladie des Morgellons » est un nom français s’appliquant à une maladie imaginaire. Les études scientifiques actuelles considèrent qu'il s'agit d'un syndrome d'Ekbom1,2. De nombreuses théories du complot existent autour de cette supposée maladie, notamment celles entourant les hypothétiques chemtrails3, mais aucune n'a été validée scientifiquement4.
    Sommaire [masquer]
    1 Origine du nom
    2 Position du problème
    3 Symptômes
    3.1 Diagnostics différentiels
    3.1.1 Délire de parasitose
    4 Recherches et théories sur les morgellons
    4.1 Investigations des Centers for Disease Control and Prevention (CDC)
    5 La Morgellons Research Foundation (MRF)
    5.1 Origines et travaux
    5.2 La Morgellons Research Foundation perturbée par la controverse
    6 Notes et références
    7 Annexes
    7.1 Bibliographie
    7.2 Articles connexes
    7.3 Liens externes
    Origine du nom[modifier]

    En 1690, dans une monographie intitulée A Letter to a Friend (« Lettre à un ami »), Sir Thomas Browne, qui avait déjà décrit plusieurs maladies rencontrées au cours de ses études (il avait été étudiant à l’Université de Montpellier, Languedoc) met en exergue cette maladie infantile endémique dans le Languedoc, où elle avait été appelée « les morgellons», du nom de « petits enfants du Languedoc, appelés les Morgellons, parce qu’ils présentent, épisodiquement des poils durs sur leur dos, les autres symptômes de la maladie, étant des sensations de fourmis, des toux et des convulsions » (« wherein they critically break out with harsh hairs on their backs… »)5
    En 1935, le médecin anglais, C.E. Kellett identifia le nom de morgellons avec celui de masclous, ou maladie des « petites mouches » en Provençal6. Cette hypothèse ne fut pas reprise par la suite.
    En 2002, la technicienne de laboratoire Mary Leitao de McMurray, Pennsylvanie, alors qu’elle examinait un rash inexpliqué sur son propre fils, se souvint d’une lecture ancienne qu’elle avait faite de la monographie Lettre à un Ami de Sir Thomas Browne. Aussitôt elle nomma cette nouvelle maladie « Morgellons » (à prononcer avec un g dur). La question qui se posait à elle était de savoir s’il s’agissait d'une nouvelle maladie ou plus simplement de la résurgence d’une maladie ancienne oubliée.
    Il semblait douteux que la maladie du xviie siècle ait quelque chose à voir avec les Morgellons d’aujourd’hui; cependant, les similitudes étaient telles que Mary Leitao s'autorisa à utiliser ce nom de Morgellons lorsqu’elle dut s’adresser aux politiciens, médecins, médias et même aux autorités de Santé [réf. nécessaire].
    Position du problème[modifier]

    Il n’y aucune étiologie ou traitement conventionnel connus, de plus les critères diagnostiques ne sont pas encore formellement établis car la liste des symptômes en contient au moins 170[réf. nécessaire].
    Les patients s'estimant victimes de cette maladie décrivent un syndrome poly-symptomatique tout d’abord caractérisé par des lésions cutanées donnant l’apparence de fibres et/ ou de granules apparaissant sous ou sur la peau. Les patients ont l'impression d'être envahis « par des insectes, des petites bêtes courant sous la peau», ceci se matérialisant parfois sous forme de fils, granules et pelotes.
    Les cas touchant les enfants se manifestent par des petits boutons blancs aux niveaux des genoux, joues et bras mais aussi par de cernes violacés sous les yeux[réf. nécessaire].
    Généralement, les dermatologues infirment l’existence de cette maladie7.
    Aussi, en juin 2006, le Center for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta, aux États-Unis, a entrepris une investigation clinique et scientifique très complète sur les Morgellons.
    Symptômes[modifier]

    D’après un article publié dans le Journal Américain de Dermatologie Clinique (American Journal of Clinical Dermatology), les symptômes des Morgellons comprennent des lésions cutanées allant de l’imperceptible à la défiguration, des sensations de rampement et de grouillement – sur et sous la peau – et l’apparence de fibres et/ ou de granules sortant de la peau. De plus, « en accord avec les statistiques de la (MRF), la majorité (95 %) des patients affectés mentionnent aussi des symptômes de fatigue invalidante et de « brouillard dans la tête » et/ ou des problèmes pour fixer leur attention. Les patients rapportent aussi une grande incidence (50 %) de fibromyalgie, jointe à des douleurs et des troubles du sommeil. Les autres symptômes incluent une perte de cheveux, une baisse de la vision, des désordres neurologiques et une désintégration des dents en l’absence de caries ou de gingivite. La plupart des patients sont incapables de continuer à travailler, et ceux qui continuent à travailler disent qu’ils ne sont pas au mieux de leur forme. »8 Si les auteurs ont déclaré qu'« il n’y avait aucun conflit d’intérêt relatif au contenu de cet article », en fait, le papier fut cosigné par le fondateur de la MRF et par d’autres membres de la MRF impliqués dans le traitement de patients atteints des Morgellons.
    Diagnostics différentiels[modifier]
    Les symptômes des patients s'estimant victimes des Morgellons sont multiples et variés, et peuvent simuler plusieurs autres affections médicales. Fréquemment ces symptômes peuvent appartenir à n’importe laquelle des affections suivantes:
    Gale: une parasitose due au sarcopte, Sarcoptes scabei.
    Dracunculose, Pédiculose: infections d’insectes ou de vers parasites.
    Dermatite atopique ou Eczéma - une infection cutanée commune de causes variées incluant le stress.
    Neurodermatose: Eczéma or autre infection cutanée condition exacerbée par le grattage
    Teigne: une infection mycosique de la peau ou des cheveux.
    Folliculite: une infection des follicules capillaires.
    Cellulite: une infection cutanée grave.
    Séborrhée: une infection due à une hyper- activité des glandes sébacées
    Impétigo: une éruption bactérienne
    Pathomimie: destruction obsessionnelle de sa propre peau.
    Effets secondaires des drogues, dû à l’usage, l'abus ou au manque.
    Délire parasitaire: une hallucination tactile d’insectes, serpents, ou autre verminoses rampant sur la peau.
    Délire de parasitose[modifier]
    Le « délire parasitaire » est l’un des plus fréquents diagnostics différentiels. Ses symptômes sont très similaires à ceux des Morgellons. Les sujets atteints rejettent le diagnostic conventionnel de leur symptômes, ou croient en l’existence d’un organisme (ou d’un phénomène) qui ne pourrait être observé que par le patient. Il n’y aucun consensus sur les diagnostics différentiels puisque les Morgellons ne sont pas acceptés comme une affection reconnue médicalement.
    Dans son article sur le délire parasitaire, Nancy C. Hinkle9 souligne treize fonctions attribuées au délire parasitaire, plusieurs d’entre elles sont partagées par les patients disant souffrir des Morgellons. Ces indications incluent:
    la présentation d’évidences physiques tels que des lambeaux de peau et autres « débris » souvent transportés dans une petite boîte d’allumettes (signe de la boîte d’allumettes),
    Une propreté excessive avec l’usage obsessionnel d'antibiotiques, antiseptiques, désinfectants et d’insecticides et de désodorisants,
    Le rejet de toute possibilité d’explication psychologique ou autre,
    La précession d’un traumatisme émotionnel, désespoir, isolement social,
    La consultation préalable de nombreux médecins, sans aucun résultat valable.
    La croyance que des fibres émergent de leur peau est hyper- fréquente chez ces patients. Pour les docteurs, cette croyance est généralement regardée comme une simple confusion entre des fibres venues des vêtements (lin) avec des fibres émergeant de leur corps10. Un médecin, refusant d’être nommé dans l’article du journal, a indiqué qu’il a traité ses patients en leur plaçant simplement une protection sur la zone de peau affectée, pour les empêcher de se gratter, avec des résultats favorables en quelques semaines11. Ce qui renforce la théorie d’après laquelle les anomalies interprétées comme une des manifestations des Morgellons ne serait qu’une conséquence habituelle des lésions de grattage.
    Les patients qui souffrent de délire parasitaire et qui pensent aussi avoir les morgellons vont souvent de docteur en docteur (« nomadisme médical ») à la recherche de celui qui leur offrira le diagnostic qu’ils recherchent. En conséquence certains docteurs utilisent le terme de « morgellons » comme synonyme de « délire parasitaire », et cette approche peut s'avérer nuisible pour les patients puisque cela renforce l'idée que leurs symptômes ou sensations sont réellement causés par une infestation12.
    Recherches et théories sur les morgellons[modifier]
    »7

    Une maladie inquétante, bizzare et qui sévit dans le monde, avec probablement des zones de prédiléctions -ou zones endémiques-
    Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

  • #2
    Morgellons suite-2-

    Un article mentionnant les Morgellons a été publié dans un journal médical, ce papier est co-signé par le fondateur de la MRF et d’autres membres de la MRF13.
    Le Pittsburgh Post-Gazette rapporte que Mme Leitao's nota que le Dr. Randy Wymore, professeur assistant en pharmacologie et en physiologie à l’Université d'Oklahoma, à Tulsa, et qui y coordonne la recherche sur les Morgellons, a recueilli et comparé des échantillons de patients atteints de Morgellons à plusieurs fibres textiles, cheveux et poussière. Il n'a trouvé aucune similarité. Dr. Wymore a donc envoyé ces échantillons au laboratoire d'enquêtes de la police de Tulsa. Les experts en fibre Mark Boese et Ron Pogue ont exécuté une série de tests sur deux fibres rouges et deux fibres bleues provenant des patients. Les deux hommes ont réalisé que les fibres ne ressemblaient à rien qu'ils avaient vu auparavant. Ils ont comparé les fibres avec la base de données du FBI contenant plus de 900 composés connus utilisés dans le textile, mais n'ont trouvé aucune correspondance. Ils ajoutèrent que ce n'était pas une fibre commerciale.
    George Schwartz de Santa-Fé, Nouveau Mexique qui a tout d’abord pensé que la bactérie Stenotrophomonas maltophilia était la cause de la maladie, a déclaré avoir traité avec succès des patients avec des antibiotiques qui ciblaient cette bactérie hydrophile11. Il pense maintenant que cette infection est d’origine parasitaire. Dans cet ouvrage Lisa's Disease, A Fiber Disease (« La maladie de Lisa, une maladie fibreuse »), il décrit quatre stades dans cette affection (le stade quatre relevant de la supercherie). Schwartz traite aussi ses patients avec une médication anti-vermineuse et de la terre de diatomées14. Il déclare « C’est une peste des temps modernes qui croit silencieusement chez l’hôte pendant des semaines pour exploser en lésions cutanées allant jusqu’à des lésions caverneuses, avec production d’œufs et de larves. C’est une affection hautement contagieuse, une pandémie qui atteindra bientôt une masse critique. » Il a aussi développé un plan de traitement pour les premiers stades15. En août, 2006 une nouvelle brochure vient d’être publiée ; elle décrit la maladie avec des plans de traitement16.
    La MRF vient de publier une « Définition de cas » à l’usage des médecins.
    Investigations des Centers for Disease Control and Prevention (CDC)[modifier]
    Les centres pour le contrôle et la prévention des maladies ont lancé, en 2006, une étude sur les Morgellons17 : « Nous y allons avec un esprit ouvert ! » a déclaré Dan Rutz, porte parole du CDC pour l’unité opérationnelle (task force) sur les Morgellons lancée en juin 2006.
    « Les 12 personnes de l’unité opérationnelle comprennent deux pathologistes, un toxicologue, un éthicien, un expert en santé mentale et des spécialistes des maladies infectieuses, parasitaires, environnementales et chroniques. Au sein d’autres unités, le groupe développera une « définition de cas » de Morgellons. »18
    Les conclusions de l'étude furent publiées en janvier 20121. Aucuns liens infectieux ou environnementaux n'avaient pu être mis en évidence. Les analyses de laboratoire des fils fournis par les patients ne montrèrent rien d'anormal et se composaient de coton ou d'autres matières susceptibles d'être présentes dans les vêtements. Les chercheurs ne trouvèrent pas d'explication aux sensations que le patients déclaraient ressentir sous leur peau et suggérèrent qu'il pouvait s'agir de « délire d'infestation cutanée ».
    La Morgellons Research Foundation (MRF)[modifier]

    Origines et travaux[modifier]
    Mary Leitao est diplômée (Bachelor of Science) en Biologie de l’Université du Massachusetts à Boston19 et a aussi travaillé comme chimiste. Elle a fondé la Morgellons Research Foundation (MRF) en 2002, motivée par les symptômes de son plus jeune fils et par ses propres symptômes20. C'est malheureusement ce qui peut se produire lorsqu'une personne de la communauté scientifique devient atteinte d'un délire d'infestation (délire parasitaire): elle cherchera à tout prix une explication, retardant ainsi le traitement de son délire et celui de plusieurs autres personnes atteintes. La MRF déclare sur son site web : « Cette fondation sans but lucratif est destinée à la recherche de la cause d’une maladie infectieuse émergente ayant des analogies avec la gale et la pédiculose. »
    « La Fondation tente d’attirer l’attention du public sur les Morgellons via le Web et des campagnes de Presse. Elle se limite dans la recherche des causes et dans l’étude des symptômes. Elle développe aussi des campagnes par courrier vers les représentants du Congrès des États-Unis, pour les inciter à prendre les Morgellons au sérieux. »21
    En février 2005, un rapport publié par la chaîne locale Fox News précise que dans le Comté de Duval, en Floride, le Duval County Health Department (DCHD) a enquêté sur cette pathologie. Le rapport conclut : « […] il est déterminé, après une revue extensive des articles parus sur la maladie des Morgellons, que celle-ci est synonyme de délire parasitaire. » (CDC, 1999).
    Les épidémiologues du DCHD ont consulté un dermatologue pédiatre du Départment de la Santé afin d'obtenir son opinion de professionnel. Il conclut que : « Depuis des centaines d'années, il est mentionné dans la littérature (médicale) qu'une condition psychologique particulière est nécessaire à l'apparition de cette maladie. »22
    Le rapport du DCHD note un pic significatif dans les cas rapportés après chaque émission sur la maladie « ce qui serait dû aux émissions de Fox News couvrant la maladie et non à un véritable regroupement de cas de cette maladie. »22
    En mai 2006, la Fondation de Recherche sur les Morgellons (FRM/ MRF) fut le sujet de plusieurs programmes des TV locales coordonnés par le directeur de communications de la MRF23. Ce qui engendra un grand intérêt dans le public sur le terme de Morgellons. En droit de réponse, le Département de la Santé du Comté de Los Angeles publia le communiqué suivant : « Aucune autorité médicale, aucune association de Santé publique autorisée n’a vérifié l’existence ou le diagnostic de « Maladie des Morgellons ». La description actuelle de la maladie est vague et recouvre beaucoup d’affections. Tant qu’il n’existera pas une définition, nationale et crédible quant au diagnostic de cette affection, il n’existera aucune raison de rapporter des cas de cette maladie. »24
    En 2012 la MRF annonce sa dissolution25.
    La Morgellons Research Foundation perturbée par la controverse[modifier]
    Trois des huit membres du bureau de l’organisation, l'ancien président Charles Holman, le directeur médical Greg Smith et la trésorière Judy Smith, démissionnent en août 2006 suite à un désaccord avec Leitao sur l’emploi des contributions versées à l’organisation26.
    Wymore, professeur assistant de pharmacologie à l'Université d'Oklahoma et directeur des recherches à la MRF, a aussi démissionné, et en prenant ses distances avec l’organisation a déclaré : « Ceci n'affectera pas mes recherches déjà entreprises.
    Cette drole de maladie dérmatologique et affécte aussi le systéme immunitaire, et mentale - encéphalitique - ++++ ....
    Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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    • #3
      les possibilités de soins par voie extérnes.

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      LES ANTISEPTIQUES
       
      
                                                    
      http://www.chru-lille.fr/cap/ca5-04fev3.htm 
      Les antiseptiques
      
       
      
      Les antiseptiques cutanés sont des médicaments qui servent à désinfecter plaies, brûlures, coupures et autres lésions cutanées.
      Il existe différentes familles : l’antiseptique « à tout faire » n’existe pas et chacun possède ses indications et ses contre-indications.
      Les antiseptiques sont parfois mal utilisés et peuvent être responsables d’intoxications, notamment chez les enfants…Certaines règles doivent donc être respectées.
      
      I. Les différentes familles d’antiseptiques
      Familles	Utilisations	Inconvénients	Exemples
      Les colorants	Utilisés surtout pour leur effet asséchant dans l’érythème fessier du nourrisson	
      - Préférer les solutions aqueuses aux solutions alcooliques.
      - Produits extrêmement  salissants (colorent la peau et le linge)
      
       
      
      - Eosine aqueuse
      - Eosine alcoolique
      - Solution de Milian
      - Fluorescéine
      
       
      
      L’alcool éthylique  	Contrairement à une idée répandue, l’alcool à 70° est la meilleure dilution, l’alcool à 90° étant moins efficace.
      Utilisé pur son effet désinfectant	
      - Il dessèche la peau, pique et est inflammable.
      - Ne pas appliquer sur les muqueuses ou les plaies.
      
              
      
      - Alcool à 70°
      - Alcool à 90°
      - Alcool modifié
      - Alcool camphré  
      
      Remarque :	
      - Attention, le camphre présent dans l’alcool modifié peut être dangereux car il peut entraîner, à fortes doses, des convulsions chez le nourrisson et l’enfant. Respectez toujours les conseils de posologie et d’administration :
      - Ne pas appliquer sur une surface étendue du corps    
      - Ne pas utiliser chez le nourrisson de moins de 30 mois et chez l’enfant ayant eu des antécédents de convulsions.    
      
       
      
      Les dérivés iodés	L’iode et ses dérivés conviennent aux plaies et brûlures superficielles peu étendues.  	
      - Ne pas associer aux antiseptiques contenant du mercure (formation de composés caustiques)
      - A éviter en cas d’intolérance à l’iode (allergie), chez la femme enceinte et chez le jeune enfant  
      
      - Betadine ®
      - Alcool iodé  
      
      Les biguanides
      
      (Chlorhexidine)
      
      - Elle est utilisée dans de nombreuses préparations.
      - Elle est bien tolérée.
      - Antisepsie de la peau et des muqueuses.  
      
      - Ne pas utiliser pour les lavages d’oreille et ne pas appliquer sur l’œil.   
      - Inactivée par le savon
      - Il est parfois nécessaire de rincer l’antiseptique pour certaines marques (voir notice)
      - Conserver à l’abri de la lumière.  	
      - Biseptine®
      - Septeal®
      - Hibitane®
      - Mercryl®
      - Cytéal®  
      
      Les dérivés chlorés
      (Hypochlorite de sodium)  
      
      Antisepsie de la peau et des muqueuses  	Ils peuvent être irritants  	
      - Dakin Cooper®
      - Amukine®  
      
      Les diaminidines
      
      (Hexamidine)
      
      Antisepsie de la peau et des muqueuses
      
      Elle est bien tolérée  
      
      A éviter sur les muqueuses en raison de la présence d’alcool.  	
      - Hexomédine®
      - Hexaseptine®  
      
      Les ammoniums quaternaires  
      
      Antisepsie des plaies superficielles.
      
      Ont également un effet détergent  
      
      - Ne pas appliquer sur les muqueuses génitales, dans l’œil ou dans l’oreille.
      - Inactivé par le savon
      
      - Cetavlon®
      - Sterlane®  
      
      Les carbanilides
      
      (Triclocarban)  
      
      Antisepsie de la peau et des muqueuses.
      
      Bien rincer après emploi  
      
      Ne pas utiliser avec de l’eau très chaude (formation de composés toxiques – dérivés chlorés).  	
      - Solubacter®
      - Septivon®
      - Cutisan®  
      
      Les organomercuriels (NSFP:ne se fabrique plus)	Traitement d’appoint des affections cutanées infectées ou susceptibles de le devenir.  	Ne pas associer aux antiseptiques contenant de l’iode (formation de composés caustiques)	
      - Dermachrome®NSFP
      - Merfène®NSFP
      - Mercryl Laurylé® NSFP(devient Mercyl sol moussante sans mercure)
      
      Les oxydants  
      (Eau oxygénée à 10 Volumes = 3% ;
      
      Permanganate de potassium dilué)  
      
      - Effet hémostatique
      
      - Nettoyage des plaies
      
      - Ils sont desséchants.
      - L’eau oxygénée est caustique à partir de 20 volumes.
      - Le permanganate de potassium colore la peau et le linge en violet. Ne pas l’associer au nitrate d’argent ou à l’eau oxygénée.  
      
      Le nitrate d’argent (solution aqueuse à 1 % ou 2%)  
      
      Utilisé dans les dermatoses suintantes, érythème fessier   - Ne pas associer au permanganate de potassium (irritant)  
      
      II. Expérience du Centre Antipoison de Lille 
      
      Quelques chiffres…
      
      En 2002, le CAP de Lille a enregistré 516 cas d’intoxication par des antiseptiques chez des enfants. La majorité des accidents survient chez des enfants de 1 à 4 ans.
      Il s’agit :
      - d’accidents domestiques dans 88,1 % des cas (455 cas ), le plus souvent par ingestion des antiseptiques qui sont mal rangés dans l’armoire à pharmacie par exemple.
      - de la confusion des dosettes d’antiseptiques avec celles de sérum physiologique dans 9,6 % des cas (50 cas).
      - de mélanges d’antiseptiques dans 2,3 % des cas (11 cas).
      
      Ces intoxications restent bénignes dans la plupart des cas : 460 enfants sur 516 sont restés asymptomatiques. (= 90 %). Cependant dans 56 cas (= 10 %), des signes cliniques ont été constatés. Ils sont tous de faible gravité :
      - vomissements (35cas)
      - toux (10 cas)
      - irritation cutanée (9 cas)
      - irritation oculaire (7 cas)
      - irritation O.R.L (7 cas)
      
      Dans 90% des cas, l’intoxiqué a pu rester à domicile. 
      
      III. Cas particulier des dosettes d’antiseptiques 
      
      Nous avons constaté en 2002 au centre antipoison de Lille, 50 cas de confusion entre les dosettes de sérum physiologique utilisées pour le lavage nasal et oculaire des enfants, et les dosettes d’antiseptiques, notamment celles à base de chlorhexidine (38 cas sur les 50). En effet, il existe une grande ressemblance entre ces deux conditionnements et nous attirons votre attention sur le fait qu’il faut toujours bien vérifier quel produit est utilisé. 
      
      Les antiseptiques mal utilisés, dans une voie qui ne leur est pas indiquée, peuvent entraîner des irritations oculaires ou nasales, voire des fausses routes. Heureusement, nous observons rarement ces signes. 
      
      	
      Dosettes de sérum physiologique	 Dosettes de différents antiseptiques
       
      Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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      • #4
        suite


        les différentes possibilités thérapeutiques par voie Locale.


        Code HTML:
         IV. Quelques conseils pour une bonne utilisation des antiseptiques cutanés.
        
         Utilisation :
        
        - Vérifier toujours la date de péremption
        - Indiquer la date d’ouverture sur le flacon 
        - Fermer le flacon après chaque utilisation 
        - Respecter la durée d’utilisation du produit après son ouverture
        - Utiliser de préférence des doses unitaires ou de petits conditionnements
        - Nettoyer à l’eau et au savon la plaie puis rincer abondamment avant l’application de l’antiseptique. En effet le savon rend certains antiseptiques inefficaces !
        -  Ne pas mélanger plusieurs antiseptiques sur une même blessure. Il est inutile voire dangereux d’associer plusieurs antiseptiques. Il existe des incompatibilités et certaines associations peuvent provoquer des phénomènes toxiques (par exemple, l’association dérivé mercuriel et dérivé iodé)
        -Attention : les antiseptiques cutanés ne doivent pas être avalés !!
        
        En cas d’accident :
        
        - Ne pas s’affoler!
        - Ne pas faire vomir
        - Ne pas donner de lait
        -  Appeler le CAP au  0 825 812 822  si vous  vivez  en France.
        
        Pour éviter l’accident : 
        
        - Séparer les antiseptiques à usage externe des autres médicaments
        - Tenir hors de portée des enfants
        - Ne pas transvaser les produits
        - Toujours lire la notice du produit qu’on va utiliser
        
        ————————————————————————————-
        
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        Produit                   ALCUTHIOL         Activité           découverte
        
                                        -antivirale                                          ALGERIE                      Dr ASSAS                                                        
        
        antiseptique                                 -antibacterienne      date 2007        
        
         -antimycotique      -antiparasitaire  - anti MORGELLONS .
        
        Developpement  en voie
        
        nouveau                                         -antiprotozoaire    
        
         
        
          +ANTI-OXYDANT
        
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         Applications:   toutes  voies
        
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        En voie d enregistrement
        
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         FAMILLE:   Colorant+ alcool + Metalloide
        
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        NON TOXIQUE     NON IRRITANT    ANTI ALLERGENIQUE
        
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        Désinfecter avec le vinaigre
        
        « Utiliser le vinaigre comme désinfectant,
        c’est utiliser le nettoyeur écologique originel. »
        
        Désinfecter avec le vinaigre remonte au temps de la Rome antique. Partout où ils allaient, les soldats romains ajoutaient du vinaigre à leur eau de consommation pour la désinfecter. Ceci aidait à tuer tout agent infectieux présent dans l’eau et agissait aussi en tant que tonique énergisant.
        
        Durant le Moyen Âge, les gens avaient décidé de désinfecter avec le vinaigre pour aider à combattre plusieurs maladies, y compris la peste bubonique.
        
        À partir de la guerre civile américaine jusqu’à la fin de la première guerre mondiale, les soldats ont utilisé le vinaigre de cidre de pomme comme désinfectant pour nettoyer et désinfecter les blessures.
        
        Aujourd’hui, le vinaigre est utilisé pour tuer les microbes un peu partout dans la maison, particulièrement dans la cuisine sur les dessus de comptoir et les planches de coupe, ainsi qu’en tant qu’eau de rinçage pour tuer les microbes sur les fruits et légumes.
        
         
        
        Recherches
         
        
        
        
        Un rapport de recherche publié en 1996 sur le nettoyage des aliments et des surfaces de préparation des aliments, démontra que l’efficacité de désinfecter avec le vinaigre pouvait être multipliée par 10 quand la surface et/ou les aliments étaient vaporisé avec du vinaigre à concentration normale (acide acétique 5%) ET du peroxyde d’hydrogène (3%), par rapport à l’utilisation de l’un ou l’autre de ces produits isolément.
        Les chercheurs ont découvert que la vaporisation combinée de ces produits tuait pratiquement toute salmonelle, shigella et bactérie E. coli se trouvant sur les aliments et surfaces de préparation des aliments.
        
        En février 2006, des chercheurs du « MicroChem Lab Inc, » à Euless au Texas réussirent à hausser la barre. Ils ont démontré dans « The American Society for Microbiology » qu’une solution de vinaigre et d’eau de Javel domestique pouvait être utilisée, non seulement comme désinfectant, mais qu’elle s’était révélée être un agent stérilisateur très efficace contre les spores bactériennes sur les surfaces ayant servi aux tests.
        
        
        
        Selon les chercheurs, « Nous considérons que les spores bactériennes sur les surfaces sont les microbes les plus résistants aux désinfectants ; un désinfectant capable de tuer de telles spores devrait être en mesure de tuer tous les types de bactéries végétatives, fongueuses, microbactériennes et les virus. »  Ils ont découvert que la solution vinaigre – eau de Javel stérilisait toutes les surfaces traitées en 20 minutes, alors que l’eau de Javel domestique utilisée seule contre les spores était efficace après 20 minutes sur seulement 2,5% des surfaces.
        
        Pour préparer cette solution stérilisante, le Dr Norman Miner (un des chercheurs de l’étude) recommande de procéder comme suit :
        
        Diluez 5 onces (156 ml) d’eau de Javel domestique
        dans un gallon (3,8 litres) d’eau
        Ajoutez 8 onces (250 ml) de vinaigre blanc
        Donc, si vous voulez vraiment stériliser cette vieille planche de coupe dans votre cuisine, ne faites pas que désinfecter avec le vinaigre, nettoyez-la avec la solution vinaigre – eau de Javel, attendez 20 minutes, et voilà!  Vous y êtes!
        
        Il faut cependant être très prudent avec les solutions stérilisantes.
        Le Dr Miner précise ceci: « J’aimerais rappeler à tous que les produits anti microbiens sont toxiques. Leur utilisation devrait être accompagnée de plusieurs précautions telles, une ventilation adéquate, des solutions de rinçage, vêtements protecteurs, etc. »
        
        ________________________
        
        Comment cela fonctionne-t-il ?
        
        L’eau de Javel domestique ordinaire contient environ 5,2% d’hypochlorite de sodium  (NaOCI) dans l’eau, et il a un pH d’environ 12. Cependant, lorsqu’elle est utilisée comme désinfectant de surface environnemental, elle est habituellement diluée 10 à 25 fois avec de l’eau, ce qui abaisse son pH à 11, environ.
        À un niveau de pH alcalin de 8,5 ou plus haut, la majorité de l’eau de Javel est formée d’ions de chlorite (OCI-).
        
        Lorsque le pH est à un niveau acide de 6,8 ou moins, la majorité de l’eau de Javel est formée d’hypochlorite (HOCI). Or, l’hypochlorite (HOCI) est environ 80 à 200 fois plus antimicrobien que l’ion de chlorite (OCI-).
        
        En ajoutant du vinaigre à la solution diluée de l’eau de Javel, vous abaissez son pH, transformant ainsi la majorité de l’eau de Javel en hypochlorite, un « tueur » de microbes beaucoup plus puissant !
        
        Selon le Dr Miner, « L’eau de Javel diluée avec un pH alcalin est un désinfectant plutôt pauvre, mais avec un pH acide, l’eau de Javel diluée tuera à peu près tout en 10 à 20 minutes. »
        
        Référence :
        Medical News Today – Killing Power Of Bleach Increased By Vinegar
        Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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        • #5




          illustration sur you tube de MORGELLONS.
          Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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          • #6
            Salam,

            je ne crois pas que c'est une maladie particuliere. Selon les photos et les vidéos, je crois qu'il s'agit d'une infection d'origine INCONNUE.

            Les microbiologistes savent que 98% ou plus des microbes ne sont jamais été culturés car on ne savait pas comment les culturer. Donc on ne pourrait jamais les découvrir., cela implique des milliers de maladies d'origines infectueuses ne sont jamais répertoriés.

            Il y a ce chercheur de Frylabs qui a découvert un nouveau protozoa qui infecte des maladies. http://www.frylabs.com/biofilm.php. Il le traite avec un nouveau cocktail d'antibiotiques.

            Mais quand le médecin ne sait pas, il accuse le malade d'avoir l'hypocondrie et des hallucinations.

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            • #7
              http://www.youtube.com/watch?feature...&v=yqDYo870va8


              http://www.youtube.com/watch?v=VWBue...ture=endscreen

              si vous avez le coeur sensible NE PAS REGARDER !!!!!

              Il ya toujours un ESPOIR thérapeutique
              Dernière modification par good, 30 mars 2013, 18h44.
              Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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