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220 000 litres de carburants saisis aux frontières

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  • 220 000 litres de carburants saisis aux frontières

    La contrebande poursuit ses activités dangereuses pour l’économie nationale au niveau de nos frontières. Sans épargner pratiquement aucune branche ni produit apte à trouver acquéreur sur les marchés de nos voisins.

    A l’exemple des carburants dont des quantités considérables sont régulièrement saisies par les services des Douanes algériennes. 220 173 litres exactement ont été interceptés aux frontières par les mêmes services durant le premier semestre de l’année en cours, en possession de contrebandiers qui tentaient de les acheminer à travers les frontières ouest, est et sud du pays.

    Selon les chiffres des services douaniers, ces quantités de carburants ont une valeur estimée à 4,1 millions de dinars, alors que les amendes encourues dans les 299 affaires relatives à ces délits ont été estimées à un peu plus de 192 millions de dinars.

    Dans ces tentatives de transactions frauduleuses, ce sont les frontières ouest, notamment dans la wilaya de Tlemcen, qui se sont le plus illustrées, comptabilisant 211 affaires relatives à la saisie de 137 886 litres de carburants (125 515 litres de gasoil et 12 371 litres d’essence) pour une valeur de 2,138 millions de dinars comprenant le prix de l’essence et la valeur du contenant.

    La région sud (Tamanrasset) a enregistré pour sa part la saisie de 50 528 litres (45 568 l de gasoil et 4 960 l d’essence) pour une valeur de 1,094 million de dinars, suivie de la région est (Tébessa) avec une saisie de 16 079 litres dont 11 213 l de gasoil et 4 866 l d’essence. Quant à la région de Béchar (sud-ouest), les saisies ont totalisé 14 880 litres de carburants, dont 11 110 litres de gasoil et 3 770 litres d’essence d’une valeur de 640 826 DA.
    Pour l’année 2005, les services des Douanes ont enregistré 842 affaires de contrebande de carburants contre 488 affaires en 2004.

    La quantité saisie, durant l’année écoulée, a atteint 862 011 litres, dont 796 973 litres de gasoil et 65 038 litres d’essence pour une valeur de 25,329 millions de dinars.

    Entre l’Algérie et les pays limitrophes, il existe un important écart de prix sur le marché intérieur des carburants, notamment avec la flambée des cours mondiaux du pétrole brut, ce qui explique ce regain de trafic des produits pétroliers aux frontières.

    Pour tenter d’arrêter cette hémorragie, qui affecte d’une manière ou d’une autre l’économie nationale, des sources du ministère de l’Energie et des Mines avaient mis en garde récemment contre une possible recrudescence de ce type de contrebande.


    Par La Tribune

  • #2
    mdr, les prix du carburant algérien va augmenté à oujda.
    إِن تَنصُرُوا الله ينصُركُم الله، الوطن، الملك

    Commentaire


    • #3
      Pour tenter d’arrêter cette hémorragie, qui affecte d’une manière ou d’une autre l’économie nationale, des sources du ministère de l’Energie et des Mines avaient mis en garde récemment contre une possible recrudescence de ce type de contrebande.

      mettre en garde n'est decidement pas un une solution pour arretr cette hemeragie !!

      A mon avis la solution est : ouvrir les frontieres ainsi le control des deux cotés sera intensifiés et tout sera taxés pour le bien de tout le monde !!

      La contrebande n'est possible que tant que les frontieres sont fermées !!

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      • #4
        C'est l'équivalent de quelques citernes berk

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        • #5
          yeâtik saha Vague !!

          Pourquoi donc ne pas les laisser passer gratuitement

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          • #6
            Tizinissa

            Il faut dire que le chiffre avancé n'est pas très correcte, ce n'est pas le bénifice net, il ne faut pas oublier que ce carburant a été payé au niveau de Sonatrach.... donc prix de vente- prix d'achat
            Par exemple le Sirghaz... son prix de vente est de 7500 DA/T et à la pompe c'est autre
            Juste pour nahablek

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            • #7
              Merci pour la precision Vague !

              Juste pour nahablek
              t'inquites je le suis deja

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              • #8
                Bonjour, la seule solution c'est d'augmenter les taxe sur le carburants dans les région frontalières.
                Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                Commentaire


                • #9
                  si hugo chavez a pu faire un geste pour les americains demunis en leur envoyant de l'essence on pourrait faire pareil ,non ?

                  Commentaire


                  • #10
                    On fait tout un plat pour une vingtaine de camions citernes qui echappent aux droits de douanes alors que les gros baggaras ne paient jamais d'impots.

                    Commentaire


                    • #11
                      si hugo chavez a pu faire un geste pour les americains demunis en leur envoyant de l'essence on pourrait faire pareil ,non ?

                      Exactement envoyez en aux vrais démunis en afrique subsaharienne.

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                      • #12
                        A mon avis la solution est : ouvrir les frontieres ainsi le control des deux cotés sera intensifiés et tout sera taxés pour le bien de tout le monde !!
                        Peut etre. N'empeche que la frontiere EST de l'algerie est ouverte ce qui n'a pas empeché la contrebande de toute sorte.

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                        • #13
                          .
                          Exactement envoyez en aux vrais démunis en afrique subsaharienne.
                          cela a deja été fait.sans compter les tarifs preferentiels.
                          depuis le temps que l'algerie par ses subventions pallie à la réalité des prix marocaine pratiquée sous les injonctions du fmi on pourrait s'attendre à plus de réserve.
                          tous les bebes marocains ont le souvenir du lait algerien.et leurs parents des medicaments.mais mâalich.ma chi khssara.

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                          • #14
                            tous les bebes marocains ont le souvenir du lait algerien.et leurs parents des medicaments.mais mâalich.ma chi khssara.

                            De quoi?
                            Ah oui c'est vrai vivre dans le passé =)
                            Non mais serieusement c'est quoi ces insinuations a deux balles?
                            Le Maroc s'il doit acheter du carburant il utilise son argent et ces relations, vous voulez pas nous en vendre dommage, on va voire ailleurs c'est plus cher mais bon on fait ce qu'on peut.

                            Pour le lait on en produit pas mal hamdoulilah aujourd'hui, sinon les medicaments le maroc doit etre pas loin du premier producteur en Afrique...
                            Mais je n'aime pas jouer a qui a la plus grosse, je traite les pays sur un pied d'egalité priere d'en faire autant.
                            Vous avez vos forces et vos faiblesses tout comme nous.

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                            • #15
                              tous les bebes marocains ont le souvenir du lait algerien.et leurs parents des medicaments.mais mâalich.ma chi khssara.

                              T'as pas pris par hasard aujourdhui un de ses produits de la fameuse pharmacie algerienne : le Karkoubi ??

                              Depuis quand l'Algerie a ellle meme l'autossufisance en medicaments et lait pour penser a en exporter ??

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