L'introduction de la Finance islamique, dont les produits viendront complémenter l'offre traditionnelle du système bancaire et des établissements de crédit, devrait apporter “un nouveau souffle” à l'économie marocaine. C'est ce qu'a déclaré samedi à Paris, Mohamed Najib Boulif, ministre délégué auprès du chef de gouvernement chargé des affaires générales et de la gouvernance.
“Elle permettra d'injecter des fonds dans le circuit bancaire et financier, et à une frange de la population, qui n'avait pas droit à un certain nombre de financements, d'y accéder, ainsi que de favoriser l'amélioration du taux de bancarisation.”
Mohamed Najib Boulif.
Intervenant en marge d'un colloque tenu à l'École des Mines sous le thème “Quelle finance responsable et alternative pour le Maroc?”, le ministre a dit espérer que le projet de loi amendant la législation bancaire, pour l'introduction de nouveaux produits issus de cette finance, soit adopté dès cette année, car l'enjeu est de taille.
“2013 est une année cruciale, puisque devant le manque de liquidités et un certain nombre de problèmes que connaît le monde avec la crise économique et financière, je pense que le meilleur moyen est de l'introduire cette année.”
Mohamed Najib Boulif.
L'idée, selon lui, est de permettre d'“alterner et d'introduire des financements dans l'objectif d'apporter un nouveau souffle pour l'économie marocaine”.
Pour le ministre il est difficile, en revanche, de réaliser un succès sur la production de ces produits, sans avoir “un cahier de charges complémentaire”, afin de promouvoir leur développement, aussi bien sur le plan de la fiscalité, que dans les domaines de l'assurance et du micro-crédit.
au fait
“Elle permettra d'injecter des fonds dans le circuit bancaire et financier, et à une frange de la population, qui n'avait pas droit à un certain nombre de financements, d'y accéder, ainsi que de favoriser l'amélioration du taux de bancarisation.”
Mohamed Najib Boulif.
Intervenant en marge d'un colloque tenu à l'École des Mines sous le thème “Quelle finance responsable et alternative pour le Maroc?”, le ministre a dit espérer que le projet de loi amendant la législation bancaire, pour l'introduction de nouveaux produits issus de cette finance, soit adopté dès cette année, car l'enjeu est de taille.
“2013 est une année cruciale, puisque devant le manque de liquidités et un certain nombre de problèmes que connaît le monde avec la crise économique et financière, je pense que le meilleur moyen est de l'introduire cette année.”
Mohamed Najib Boulif.
L'idée, selon lui, est de permettre d'“alterner et d'introduire des financements dans l'objectif d'apporter un nouveau souffle pour l'économie marocaine”.
Pour le ministre il est difficile, en revanche, de réaliser un succès sur la production de ces produits, sans avoir “un cahier de charges complémentaire”, afin de promouvoir leur développement, aussi bien sur le plan de la fiscalité, que dans les domaines de l'assurance et du micro-crédit.
au fait
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