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Alerte : L'Ecole Centrale de Paris s'installe à Casablanca

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  • Alerte : L'Ecole Centrale de Paris s'installe à Casablanca

    (www.infomediaire.ma) - A l'occasion de la visite du Président Français François Hollande au Maroc, une convention relative à la création de l'Ecole Centrale de Casablanca, filiale de l'Ecole Centrale de Paris, sera signée aujourd'hui à Casablanca, en présence du Roi Mohammed VI et du Président Français. La convention sera paraphée, côté français, par Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, et Hervé Biausser, Directeur de l'Ecole Centrale de Paris, et côté marocain, par Abdelkader Amara, ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, Nizar Baraka, ministre de l'Economie et des Finances, et Lahcen Daoudi, ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de la Formation des Cadres. A suivre !



  • #2
    L'école centrale sans tout le tissu qui mène à ceux qui entrent dans l'école centrale ?

    C'est pas le nom qui fait l'école mais la valeur de ceux qui sont dedans et le parcours avant d'entrer à l'école.

    En France, ceux qui enseignent dans ces écoles sont des normaliens.

    Mais, au Maghreb et en Afrique en général, on ne fait que recopier ceux que font les Français.

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    • #3
      merci d'avoir passé,
      au suivant

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      • #4
        citation

        Mais, au Maghreb et en Afrique en général, on ne fait que recopier ceux que font les Français

        on ne peux se prononcer sans connaitre le programme ,l'équipe pédagogique,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,

        mais je trouve que c'est une bonne initiative pour les marocains qui partent en France pour faire des études supérieurs ici au pays ,ainsi que les subsahariens

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        • #5
          mais je trouve que c'est une bonne initiative pour les marocains qui partent en France pour faire des études supérieurs ici au pays ,ainsi que les subsahariens
          L'éducation française est surcotée en Afrique. Si tu veux faire de bonnes études d'ingénieur va en Suisse, ça vaut mille fois la France.
          En France, il n'y a que les études de médecine et les écoles normales qui vaille de se casser autant la tête.

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          • #6
            à défaut d'avoir une ecole suisse au maroc, on fera avec la française

            louny n'est pas content, on le savait d'avance et on s'en fout

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            • #7
              à défaut d'avoir une ecole suisse au maroc, on fera avec la française

              louny n'est pas content, on s'en fout
              Moi, je m'en fous complètement. Cette école s'installerait en Algérie, je dirais exactement la même chose.

              De toute façon, au Maghreb et en Afrique, on ne sait que recopier. En Algérie, on a recopié tout le système français. On a l'ENA, l'école polytechnique, les écoles normales supérieures. Quand les universités françaises passent au LMD, les universités algériennes passent aussi au LMD.

              Après, certains se demandent pourquoi l'éducation c'est de la mer2 au Maghreb. Simplement, parce que la science c'est l'auto-critique permanente et l'innovation. Nous, l'innovation c'est le recopiage et l'auto-critique c'est le nom français emprunté de l'école.

              Au contraire, il ne faut pas recopier mais faire suivant une logique.
              Dernière modification par Louny, 03 avril 2013, 16h32.

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              • #8
                L'éducation française est surcotée en Afrique. Si tu veux faire de bonnes études d'ingénieur va en Suisse, ça vaut mille fois la France

                par Louny

                c'est pas la peine ,les lauréats des écoles supérieurs marocaines font l'affaire et dirigent pas mal de sociétés privés ou publiques

                Commentaire


                • #9
                  Pourquoi une alerte?

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                  • #10
                    Envoyé par Louny
                    C'est pas le nom qui fait l'école mais la valeur de ceux qui sont dedans et le parcours avant d'entrer à l'école.
                    Il ne faut pas avoir ce complexe d’infériorité.

                    Les etudiants maghrebins sont tout autant bons que les français.

                    D'ailleurs on constate cela quand ils se frottent à eux dans les grandes ecoles, il y a des algeriens, tunisiens et surtout des marocains y en a beaucoup, qui brillent dans leur passage.

                    Les étudiants marocains font un tabac dans les grandes écoles françaises

                    Ils sont plus de 2 700 à étudier dans les grandes écoles françaises. C’est la première communauté étrangère dans le cercle fermé des hauts cadres en formation.
                    Ils prennent d’assaut les bureaux des étudiants et les junior entreprises.
                    Issus de différents milieux sociaux, ils veulent acquérir une expérience professionnelle avant de rentrer au Maroc.

                    Ils sont jeunes, intelligents et très ambitieux. Ils, ce sont plusieurs centaines de Marocains à avoir mis le cap sur la France pour effectuer ou poursuivre leurs études supérieures dans des grandes écoles prestigieuses : Polytechnique, Ponts et chaussées, Ecole supérieure des travaux publics (ESTP), Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC), Ecole supérieure de commerce de Paris (ESCP-EAP), Hautes études commerciales (HEC) pour ne citer que celles-là.

                    A Paris comme dans plusieurs autres villes françaises, Lyon, Toulouse et Bordeaux notamment, les Marocains «font fureur», selon l’expression de l’un d’eux. Nos aspirants ingénieurs et managers constituent de loin la première communauté étrangère parmi les étudiants des grandes écoles françaises.
                    Dernière modification par Djebour95, 03 avril 2013, 16h44.

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                    • #11
                      Il ne faut pas avoir ce complexe d’infériorité.

                      Les etudiants maghrebins sont tout autant bons que les français.

                      D'ailleurs on constate cela quand ils se frottent à eux dans les grandes ecoles, il y a des algeriens, tunisiens et surtout des marocains y en a beaucoup, qui brillent dans leur passage.
                      sans oublier la majorité des etudiant qui sont dans l'incapacité, surtout financiere, de suivre leurs etudes à l'etranger, ça sera une chance qui s'ouvre à eux de suivre leurs etudes à moindre frais surtout que 20% leur sera réservé selon le ministre daoudi

                      Commentaire


                      • #12
                        Les etudiants maghrebins sont tout autant bons que les français.
                        Mais bien sûr qu'ils sont tout autant bon voire meilleur, c'est pour ça que je ne comprends pas pourquoi les Maghrébins copient au lieu de faire.

                        De toute façon, j'aime pas l'éducation française, c'est du corporatisme. Les Maghrébins au lieu d'apprendre l'anglais et d'évoluer avec les meilleures institutions du monde restent en bas et se contentent d'écoles minables.

                        Les meilleures écoles africaines sont les écoles d'Afrique du sud et d’Égypte car ils vont des coopérations avec les USA. Nous, on se contente de la France, on dirait qu'il existe un seul pays dans le monde. Et le pire, c'est que les Maghrébins sont traités comme de la mer2 en France.

                        Redha Souilamas, un Algérien médecin subit la hogra en France. Pourtant c'est le premier à avoir utiliser une nouvelle technique de transplantation pulmonaire. Il va quitter la France pour travailler dans l'un des meilleurs centres hospitaliers du monde aux USA.

                        Voilà, avec les Anglo-saxons, tu peux évoluer car ils ont l'esprit pratique.

                        Les Français eux-mêmes vont aux USA et, nous, au lieu d'aller aux USA, on va en France. Des idiots oui.
                        Dernière modification par Louny, 03 avril 2013, 16h59.

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                        • #13
                          Louny

                          Et voila ce que dit l'article de TSA pour abonder dans ton sens

                          Il a inventé une nouvelle technologie médicale
                          Abdenour Abbas, un chercheur algérien, dans le Top 10 des innovateurs de moins de 35 ans en France



                          L’élite algérienne à l’étranger continue de se distinguer. L’Algérien Abdennour Abbas, 33 ans, chercheur à l’université de Washington à Saint Louis, figure dans le Top 10 des lauréats de la première édition française du concours conduit par la Technology review, pour l’Institut américain de technologie de Massachusetts (MIT). Ce concours, dont les résultats ont été publiés le 21 mars dernier, permet de distinguer chaque année de jeunes talents de moins de 35 ans, dans les nouvelles technologies. Il est à l’origine de la célébrité de plusieurs génies comme : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, Serguei Brin, co‑fondateur de Google, Max Levchin, co‑fondateur de Paypal, Linus Torvalds, développeur de Linux, Jack Dorsey, co‑fondateur de Twitter.

                          Une invention révolutionnaire au service des malades

                          Originaire de Makouda dans la wilaya de Tizi Ouzou, Abdebour Abbas est l’inventeur de biocapteurs ultrasensibles à base d’anticorps artificiels pour le diagnostic médical. Sa technologie déjà brevetée consiste à faire des tests à domicile pour diagnostiquer des maladies comme la grippe, le cancer, le sida… en utilisant de la sueur, de l’urine ou du sang. Les malades n’auront plus besoin de se déplacer dans des cabinets médicaux et les hôpitaux pour diagnostiquer ce genre de maladies.

                          « L’étape suivante est la création d’une start-up qui va mettre le produit sur le marché dans les prochaines années. L’objectif est de permettre aux individus de faire leur propre diagnostic médical à domicile en utilisant un test sur papier, d’une manière aussi simple qu’un test de grossesse », explique M. Abbas. Les tests en question seront sur le marché dans les très prochaines années, ajoute le chercheur qui imagine que « dans 10 ans, on aura moins besoin de médecins pour le diagnostic, mais on aura toujours besoin de leur suivi quand c’est nécessaire. Ces tests vont également permettre aux individus de connaître les risques qu’ils ont pour certaines maladies afin de se pendre en charge avant même que la maladie ne se déclenche. », a‑t‑il ajouté.

                          Les Américains misent sur les talents

                          Abdenour Abbas explique à TSA le principe de ce concours qui donne toute l’importance aux jeunes talents : « contrairement à une certaine philosophie qui veut qu’on récompense les carrières et l’expérience, et donc l’âge, le MIT préfère récompenser le potentiel, c’est-à-dire des jeunes personnes qui commencent à faire des choses intéressantes et qui ont le potentiel d’avoir un grand impact sur la société ». En misant sur les jeunes talents, les Américains cherchent à asseoir leur domination sur le monde. « C’est une démarche orientée vers l’avenir. Les Américains savent que celui qui détient ces jeunes talents détient les futures multinationales ».

                          Un étudiant algérien passionné par la recherche

                          Abdennour Abbas est un produit de l’université de Tizi Ouzou, où il a obtenu un DES en biochimie en 2003. Passionné par la recherche, il décide d’aller continuer ses études en France, où il obtient un master puis un doctorat dans le domaine des nanotechnologies appliquées à la médecine à l’université de Lille 1 en 2009. Après le doctorat, Abdennour Abbas décide de quitter la France pour rejoindre l’Université de Californie aux USA puis l’Université de Washington comme chercheur associé.

                          Pourquoi il a quitté l’Algérie

                          M. Abbas explique les raisons qui l’ont poussé à quitter l’Algérie : « si on quitte un endroit c’est parce qu’on n’est plus satisfait ni de l’environnement ni de notre propre rendement. C’est aussi pour une question de moyens ». Dans un premier temps, la France a offert à ce chercheur les moyens nécessaires pour faire ses recherches mais le manque de liberté en matière de recherche a poussé le jeune à aller aux États-Unis. « C’est une question de modèle et de philosophie du travail. D’ailleurs, il a fallu que le MIT américain vienne en France pour sélectionner les 10 meilleurs innovateurs de l’année. En France, on a un bon environnement de recherche, mais on aime bien tout encadrer, ce qui fait qu’il y a moins de liberté et moins de prise de risques, deux choses que j’aime beaucoup », ajoute M. Abbas.

                          Au restaurant de l’université de Tizi Ouzou, la cuillère dans la poche

                          Content de figurer parmi les 10 meilleurs jeunes talents du MIT, Abdennour Abbas rend hommage à sa famille. « J’ai pensé à mes parents, à ma famille qui a financé mon premier voyage en France. J’avoue que je me suis aussi fait repasser quelques bons souvenirs, comme la longue…très longue file d’attente que je faisais au restaurant universitaire de Hasnaoua à Tizi Ouzou, avec une cuillère dans la poche, il y a à peine 10 ans. J’ai un frère qui me dit que c’est toujours le cas aujourd’hui », raconte-t-il.

                          Contre le retour des élites algériennes au pays

                          M. Abbas ne prévoit pas de revenir travailler en Algérie. « On entend beaucoup parler du retour des élites algériennes établies à l’étranger. Je crois qu’on pose les mauvaises questions. La meilleure façon de bénéficier de ces compétences algériennes, ce n’est pas de leur demander de revenir, mais de favoriser et de financer des collaborations et des échanges entre ces chercheurs et les laboratoires dans les universités algériennes. Un transfert efficace et continu du savoir nécessite que ces gens-là restent à leur place, c’est à dire à la pointe des technologies. Il faut commencer à regarder les compétences algériennes à l’étranger comme une richesse à utiliser et non pas à rapatrier. »

                          Abbas écœuré par le sort réservé aux génies en Algérie

                          Dans un univers où la technologie avance de jour en jour, Abdennour Abbas pense que les jeunes de moins de 25 ans sont le seul espoir dans cette course folle aux nouvelles technologies. « Les jeunes de moins de 25 ans sont les seuls à pouvoir tenir dans cette course folle des nouvelles technologies. Je vous dis ça et j’ai 33 ans. Et puis, il n’y a pas plus triste qu’un talent gâché », dit-t-il. « Quand j’ai su que l’Algérie avait créé un lycée spécialisé pour les petits génies en mathématiques, je me suis dit qu’il y a des gens qui ont compris les vrais enjeux et qui essayent de tirer le pays vers le haut. Mais, quand je lis plus tard que ces petits génies se plaignent des conditions d’études, ça me fait vraiment mal au cœur », regrette‑t‑il.

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                          • #14
                            Mais bien sûr qu'ils sont tout autant bon voire meilleur, c'est pour ça que je ne comprends pas pourquoi les Maghrébins copient au lieu de faire.

                            De toute façon, j'aime pas l'éducation française, c'est du corporatisme. Les Maghrébins au lieu d'apprendre l'anglais et d'évoluer avec les meilleures institutions du monde restent en bas et se contentent d'écoles minables.

                            Les meilleures écoles africaines sont les écoles d'Afrique du sud et d’Égypte car ils vont des coopérations avec les USA. Nous, on se contente de la France, on dirait qu'il existe un seul pays dans le monde. Et le pire, c'est que les Maghrébins sont traités comme de la mer2 en France.

                            Redha Souilamas, un Algérien médecin subit la hogra en France. Pourtant c'est le premier à avoir utiliser une nouvelle technique de transplantation pulmonaire. Il va quitter la France pour travailler dans l'un des meilleurs centres hospitaliers du monde aux USA.

                            Voilà, avec les Anglo-saxons, tu peux évoluer car ils ont l'esprit pratique.

                            Les Français eux-mêmes vont aux USA et, nous, au lieu d'aller aux USA, on va en France. Des idiots oui.
                            t'enfais pas au maroc tu peus faire tes etudes du primaire a l'Universite en anglais sans quiter le maroc.

                            du primaire jusqu'a le Bac



                            a l'Universite.



                            et c'est la meme chose pour l'espagnole, francais, Arabe, et bientot Russ et japonais.

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                            • #15
                              louny
                              Les Français eux-mêmes vont aux USA et, nous, au lieu d'aller aux USA, on va en France. Des idiots oui.
                              ne perdez pas des yeux ceux ne peuvent aller nul part qu'ils soient doués ou génies et si tu leurs offre rien il se transformeront en ferracha (vendeurs ambulants)

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