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Tadoussac-Washington-Hinton-Montréal.

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  • Tadoussac-Washington-Hinton-Montréal.

    Hello, comment allez-vous mes ami(e)s ?...Juste une manière. Je soupçonne quelques nouveaux de dire : C’est qui ce con ? Pourquoi nous demande t-il comment on va si on le connait pas ?... Ben, vous en faites pas, je m’adresse aux vieilles branches du forum, comme moi, les Adhrhar, Nedjma, Hellas, Bachi, Kikka, Tin-Hinan, Océane, Thirga, Al-Fares, Joce, Makéda, BeeHive, Chouki,Apophys, le-couple-Zwina-Harrachi, Stan, Lily lol oui, et comment ! Liiilyyy notre poétesse nationale. Allez, je vous pose une question : C'est quoi la plus jolie chose qui soit arrivée au Forum-Algérie depuis l'Antiquité? Je veux dire depuis Adhrhar ?

    Lily.

    C'est quoi un poète? Ça dépend, bien sûr, d'où et quand. Mais là, tout de suite, le poète de l'instant, l'inventeur d'atmosphères en mouvement?

    Lily.

    C'est quoi la poésie? Avez-vous lu « La haine », le poème à Lily ? Non ? C’est le plus beau poème d'amour que j'ai jamais lu. La haine est la plus belle histoire d'amour que je connaisse entre un homme réveillé et une femme qui dort encore. Il est midi tapant. La lumière qui entre par la fenêtre est heureuse, mais le mec est inquiet. C’était quoi la question ? Ah oui, c’est quoi la poésie ?

    Lily.

    Qu’est ce qu’on disait ? Je ne sais plus. Ah oui, les vieilles branches, c’est juste que Lily a coupé ma liste et mon élan. Tant pis. Je reviens à la manière… Manière comme une autre de réapprivoiser le territoire de ce forum que j'ai un peu, beaucoup, déserté ces trois dernères semaines. Manière comme une autre de renouer avec la syntaxe du quotidien... Moi ? Ça va bien, 2 semaines de vacances. Et je suis pas mal bronzé là. J'ai passé une semaine à Tadoussac. Une région où on peut caresser les dauphins en toute amitié. Ben c’est pas vrai, j'ai passé rien que 5 jours, tout seul comme un grand. Si c’est beau ? Magnifique madame. Magnifique… Et j’ai joggé beaucoup beaucoup sur une petite route déserte à travers la forêt. Un matin, sur cette route-là, quelque part, un jeune orignal broutait dans le fossé quand je suis passé. Je suis à peu près sûr que j'étais le premier joggeur que ce jeune orignal voyait passer. Il a pourtant fait comme s'il en avait déjà vu des millions. Des joggeurs ? Pfff ! Il a continué de brouter dans le fossé, absolument pas intéressé...

    Bon, bon, si c'est comme ça... J'ai fait semblant de serrer mes lacets et j'ai regardé de l'autre bord de la route. Des orignaux ? Moi ? Pfff ! J'en ai vu des milliards, mon vieux. Des orignaux avec une corne sur le front, d'autres avec un parapluie sous le bras, des chauves, des bronzés, et même, une fois, un bleu, alors...

    Pourtant, en haut de la petite route, juste avant d'être avalé par la descente, je me suis retourné brusquement...
    -AHHAH ! Je le savais que tu me surveillais, mon petit tabarnac...
    Dernière modification par bloum, 17 août 2006, 05h18.

  • #2
    ...Pis, je suis allé à Washington voir mon oncle. Lui, mon oncle, était supposé m'accompagner à Tadoussac. Un empêchement qu'il dit... Et mon cu-l oui, quessé je fais tout seul, pis Tadoussac, j'ai déjà été moi, c'est pour te faire plaisir ducon... Laisse tomber, viens me joindre, c'est très important, ça pourrait t'intéresser... C'est quoi ? Tu le sauras rendu ici, pis tu viens, c'est un ordre !

    À vos ordres.

    Ben, je n’ai pas fait Tadoussac-Washingnton tout droit là. Non. Je suis passé par Montréal pour tondre la pelouse et ma tendre copine. Je veux dire pour dire à ma copine que je l'aime, mais que bon dieu de bon dieu, je ne comprends pas pourquoi elle a les pieds si froids même quand il fait chaud... Et son maudit trou de village, St-Donat, à 1h et plus de Montréal. Anyway, elle n’aime pas que je critique son village, ni ses pieds d'ailleurs... Le matin, elle m'a servi un café pas de sucre. Y'a pas de sucre chez toi ? Elle ne répond pas. Elle a ajouté du miel en silence. Mais ce n'était pas du silence. C'était autre chose. Je la soupçonne d'avoir chauffé ses pieds juste avant de me réveiller avec un café bien chaud... Hummm, délicieux mon vieux, le café, le miel, les pieds chauds... Je voulais plus aller à Washington. St-Donat, ce matin là, était le coeur de mon monde. Puis. Tant pis. Je suis reparti quand même. Après avoir expliqué à ma copine que j'étais tellement content de la retrouver que j'avais hâte de repartir pour la retrouver encore... Elle l'a pas trouvé drôle pantoute !

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    • #3
      ...J’ai repris son idée, à mon oncle, de petit tour en cette Amérique qui commence au bout de mon jardin. Je n'ai eu qu'à me laisser glisser vers le bas. Je remontai tout doucement. En m'arrêtant souvent... À Plattsburgh pour une bouteille d'eau, à Chapel Hill pour la semaine Mother-Earth (notre mère la terre), à Glenridge ( New Jersey ) pour k’histoire de quatre joueurs de football, quatre all-american boys d'un chic collège qui ont violé une handicapée mentale avec un bâton de baseball ( miniature le bâton, mais quand même, c'est pas bien )... À Lowell ( Massachusetts ) pour la tombe de Kerouac, pas que je sois un grand fan, mais bon, c'est une époque... Ah oui, je me suis arrêté au début à Cavendish ( Vermont ) où, on m'a dit y'a longtemps, qu'on pouvait croiser Soljenitsyne au Sunrise cafe : " Ah ben ! Si ce n’est pas Alexandre-Isaïevitch ! Comment ça va Alexandre ? "... Anywway, je ne sais même pas s'il se trouve encore là, ni s'il est encore vivant. Pis, je n’ai pas trouvé ce Café… OK, c’est pêle-mêle, je vous l’accorde.

      Je m'arrêtais pour manger dans un petit centre commercial à Lexington, Virginie. À la porte du kruger ( une épicerie ), un type dans la trentaine montre un carton aux passants sur lequel il a écrit : " Je veux un travail payant pour nourrir ma Famille ". Il est campé bien droit sur ses jambes dans une attitude de tranquille défi. Je m'approche, lui tend un billet, God bless you man, j'ai osé une question :
      - Excuse-moi. J'ai une idée. Pourquoi tu ne t'engages pas dans les Marines ?
      Il m'a répondu au premier degré qu'il aimerait bien, mais qu'il était trop vieux. Puis, s'avisant que j'étais étranger :
      - Est-ce que je peux vous aider ?

      Sublime de gentillesse.

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      • #4
        ...Et puis, je ne vais pas vous raconter tout mon carnet, je crains que ça me fasse une bien longue chronique, ça finira plus... Or donc, voilà mon oncle. Beau bonhomme. Un peu beaucoup gras. Toujours bien habillé. Me réveille le matin, il a même pas de café le con... Fuck ton jus et tes oeufs man, je veux du café bordel !... On a fait un peu la ville, l'Ambassade d'Algérie, pour finir la soirée chez son ami et collègue de travail, qui est aussi mon ami. C'était bien. Jusqu'au moment où ils commencent à m'expliquer un plan d'affaires... Imaginez un peu, deux fonctionnaires du gouvernement algérien, payés grassement à ne rien faire ou presque, entrain de monter un plan d'affaires... Au départ, le plan repose sur Flene. Puis un autre Flene. Et un autre. Pour finir par Feltane.

        Bravo les gars ! Bôô plan d'affaires. Et en quoi je peux vous être utile ? Je ne suis ni Flene ni Feltane moi !... Ben, il nous manque 50% du capital requis... Hoho, it's all about money !... Écoute-là, on est bien branchés ici et là-bas, aucun risque et l'exclusivité pour l'Algérie est dans la poche, c'est de la dynamite cette affaire, pis, c'est de la nouvelle économie... Nouvelle économie. Dynamite. Risque nul. Flene. Dynamite. Feltane. Économie. Exclusivité... 100 fois, 1000 fois. Et j'exagère à peine.

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        • #5
          ...Ils ont beaucoup parlé. Et comme tout fonctionnaire qui se respecte, ils ont enrobé tout ça dans une sauce épaisse à base de dynamisme économique... Dynamisme mon c-ul, j'ai trop laisser parler, mais là là, j'en pouvais plus... Bôôô plan les gars, Vous êtes-vous déjà demandé ce qu'était au juste le dynamisme économique ?... Commences pas à déconner, on est très sérieux là, laisse faire ton baratin.

          Laissez-moi vous expliquer les gars. Le dynamisme économique fonctionne comme une pompe à bras. Vous savez comment on amorce une pompe à bras ? On verse un peu d'eau dans le corps de la pompe. On agite vigoureusement le bras. Et par phénomène d'aspiration ou de succion l'eau se met à couler... Ben les affaires c'est pareil. Sauf que c'est une pompe à fric au lieu d'être une pompe à bras. On verse un peu de fric dans le corps d'une affaire. On agite vigoureusement le bras. Et par le même principe d'aspiration, de succion, le fric se met à couler... Sauf que des fois ça ne marche pas !

          Des fois, mettre un peu de fric c'est pas assez pour la succion. Faut en remettre. Right mon oncle! Et en remettre encore! Et y'a toujours rien qui vient. Comme si on pompait un gouffre. Ou comme si, au lieu de pomper, on se faisait soi-même pomper par en dessous. C'est déjà arrivé mon oncle. D'autres fois, à force de remettre du fric et de pomper, oups, y'a enfin quéque chose qui vient, mais c'est pas de l'eau, c'est pas du fric. Yes mon oncle, c'est de la m-e-r-d-e d'égout. Tu te souviens de la dernière affaire qu'on a monté mon oncle, quesséqué sorti, dis-le moi, allez, dis le. Yes mon oncle, c'était de la m-e-r-d-e. On a pompé "ezzbel". Caca.

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          • #6
            ...Mais non, y'avait pas de chicane, deux autres amis nous ont rejoints, même qu'on a joué une partie de belote chaudement disputée. On a beaucoup rigolé. Et puis, je les respecte. Pour vrai. Et pour vrai, ils veulent monter cette affaire... Une affaire qui ne marchera pas. Je crois.

            Ah oui, je veux absolument vous parler de ça. Pas vraiment. La vraie bonne raison qui fait que je vous écris : Ma jambe gauche qui me fait très mal dès que je me mets en position verticale ou horizontale. Je vous jure, ça fait tellement mal, que j'ai envie de la couper, ma jambe. Un médecin m'a prescrit des médicaments, a dit que c'est une hernie, y’est pas sûr, et que la douleur va partir au bout de 2/3 semaines. So, je dors sur un fauteuil. Anyway... Ah oui, c'est ça, un des gars de la soirée m'a raconté un truc qui s'est passé à Hinton. J'ai capoté mon vieux. Je n'en revenais pas que personne n'a songé à aller à Hinton rien que pour serrer la main à Stephen Trail, acteur principal de l'histoire que je veux absolument vous raconter.
            - C'est où ça Hinton ?
            - C'est à 2 heures de Washington.
            - Ben, moi je veux y aller.
            - Oui, mais ça s'est passé en 1989/90, c'est pas sûr que le gars est encore là.
            - M'en fout, j'irai pareil. Et je le trouverai ce Stephen Trail là.

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            • #7
              ...J'ai même forcé mon oncle à m'accompagner... Quoi ? Hinton ? C'est une horreur de village !... Je savais comment piquer mon oncle : Je me suis tapé 12/14 heures de conduite rien que pour te voir, et tu refuses d'en faire 2h avec moi. Ingrat va... Et nous y voilà. À Hinton.

              Fuck ! Mon oncle a raison. Hinton est une horreur de petite ville ferroviaire de 6000 habitants. 200 Km à l'ouest de Washington. Une tache dans le magnifique décor des Appalaches. Rectangle exsangue d'un Km et demi de long sur quatre rues de large, maisons miteuses, commerces borgnes, même le resto chinois n'a pas survécu. Seule dans cette grisaille, la First National Bank resplendit de toute sa brique neuve. Il est trois heures de l'après-midi mais le Sport Grill et le City Café sont pleins. En face, à la porte du Rich's ( ou Rick's, illisible sur mes notes ) Liquor Store, trois ivrognes rotent haut et fort.

              Hinton est la ville la plus pauvre du comté. Le comté est le plus pauvre de l'État de la Virginie occidentale. Et l'État est le plus pauvre d'Amérique. Totalement colonisée par les grandes compagnies ferroviaires ( la Chesapeake and Ohio Railway ) et minière ( Continental Oil Co ). À la clinique du comté, on fait ce qu'on peut pour soigner la misère. Éducation. Prévention. Examens sommaires, radiographies, analyses du sang. La région casse des records en mortalité infantile, en diabète et problèmes pulmonaires... Et oui, c'est de Stephen Trail que vient cette introduction. Et oui, lui, en chair et en os. Quand je lui ai dit que je suis venu rien que pour lui serrer la main, je vous le jure, il m'a pris dans ses bras. Oh oui, ça le flatte, mais pas plus que ça. Beaucoup, avant moi, sont venus de loin, exactement pour le même motif que moi.

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              • #8
                ...Ah oui, que je suis con, je vous ai même pas présenté Mr. Stephen Trail. Trail était, et il est toujours d'ailleurs, responsable du dispensaire du comté, la clinique des pauvres si vous préférez. Un matin, Trail s'est retrouvé avec 13 centimes en caisse et 4000$ de comptes à payer. Débrouillez-vous, lui disaient les autorités, on n'a plus d'argent. Trail a eu un flash : il est allé demander la charité aux Soviétiques ! Et aussi aux Japonais, aux Anglais, aux Français... Il leur a dit : " Hinton, c'est le tiers-monde. Des bébés et des vieux meurent faute de soins comme au Soudan. Vous aidez le Soudan ? Pouvez-vous m'aider ? "

                Parait que les journaux européens, la télé japonaise et les grands réseaux américains, Dan Rather (CBS) et Good morning America (ABC), le monde entier a raconté l'histoire de Stephen Trail, cet Américain qui a eu le culot de demander la charité aux Soviétiques et aux Japonais...

                Stephen Trail, petit, intellectuel de gauche, chaleureux et speedé comme tous les américains ordinaires de gauche ( croyez-moi, y'a pas plus gentil et plus chaleureux qu'un américain ordinaire de gauche ), Stephen m’a fait le post-mortem de son coup d'éclat médiatique : "C'était une bonne idée qui n'a rien donné. On a embarrassé les autorités, mais on ne les a pas fait bouger. La poussière est retombée. Nous sommes toujours dans le trou. Je n'en suis pas étonné. La santé publique n'est pas affaire de charité, mais de priorité sociale. Et il faut croire que ce n'est pas la priorité des maîtres qui nous gouvernent. Faute de ressources, la clinique ne peut même plus fonctionner tous les jours de la semaine »...

                - C'est bête quand on y pense. Ça vous prendrait quoi ? 150000$ par année ? Le prix de deux ou trois de ces bombes qu'on a lâché par milliers plusieurs jours sur l'Irak...

                Stephen n'a pas réagi. J'ai cru qu'il n'avait pas compris. Fait que j'ai insisté :

                - Vous deviez rager pendant la guerre, de voir tout ce gâchis, de voir tous ces milliards partir en éclairs et en fumées...

                Il a mis un doigt sur sa bouche. Chut ! Faut pas parler de ça. Il m'a fait signe que la secrétaire et l'infirmière nous écoutaient...

                - Et alors ce n'est pas un pays libre ici ?

                - Well, vous savez, ce n'est pas aussi simple...

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                • #9
                  Bonsoir bloum, que de beaux souvenirs tes vacances...
                  Baltimore, c'est mieux quand même

                  merci de demander de mes nouvelles, moi ça va super, je pars enfin en vacances!!!

                  Porte-toi bien!

                  Kikka

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                  • #10
                    ...Pas si simple, bien sûr. J'ai fini par comprendre à travers quelques commentaires que des boys de Hinton ont laissé leur peau dans le Golfe. Bien sûr, la liberté de parole de l'homme public comme Stephen n'est pas aussi entière que celle de l'homme qui parle pour lui seul.

                    En plus de me serrer dans ses bras, il m'a consacré 15 minutes de son précieux temps. Je ne l'oublierai jamais, Stephen Trail. Un petit homme, mais combien MAJUSCULE.

                    Ici, dans ce pays qui se vante souvent d'avoir inventé la liberté, je dis que j'ai vu un homme de bien fermer sa gueule pour son bien, devant deux vieilles biques patriotiques...

                    Des mille Amériques possibles, il n'en reste qu'une, obligatoire, celle de M. Bush, celle du triomphe. Super-America qui s'excite du drapeau, s'autofélicite. Gloire à nos héros. Merci M. Bush pour votre pathétique médiocrité. Merci M. Trail pour votre sublime gentillesse.

                    Avant de quitter le dispensaire, au foyer, j’ai parlé au sosie de Demi Moore (l'actrice). Elisabeth, 25 ans, inhalothérapeute, fait la navette entre les minuscules dispensaires de la région, demeure à la banlieue de Washington, travaille quand les autres sont en congé, deux ou trois journées par semaine, pas assez pour payer son loyer, vingt-cinq ans, un métier, pas de job ou presque. Il y a des catastrophes moins amusantes que le dispensaire de Hinton… Comment dire, comment décrire, là où il y’a nulle vie on croise la vie, juste un grand bonheur de me trouver face à cette splendide créature de Dieu. Je revois ses sandales rouges, c’est intriguant mon vieux, j’ai jamais osé lui demander si ses pieds étaient chauds. Pour un instant, j’ai pensé que Hinton était la huitième merveille du monde.

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                    • #11
                      Hello Kikka... Super bonnes vacances à toi aussi. Et reviens nous bronzée là

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                      • #12
                        ...Et quoi encore ? Non, pas vrai, c’est assez parler des vacances, je range mes notes là. Promis… Et alors, comment aimez-vous le Liban ? Saignant ou bien cuit ? Ne comptez pas sur moi pour y répondre, parce que je fulmine encore. Et parce que, je ne voudrai pas être l’incinérateur de vos toxines intérieurs. Remarquez, je peux le faire si vous voulez. Seulement, voilà, ce n'est pas tous les jours qu'on a envie de s'asseoir au bord d'un grand trou, les jambes dans le vide, à se répéter que le chagrin est aussi inusable que l'avenir... Et puis d’abord, je vous ferai 54 pages. Et même 1754 pages d’absurdités sionistes… Finalement, je vais aller pisser. Terrible ce mal de jambe qui m’empéche même d’aller faire le moindre besoin naturel.

                        Me reste de la place pour un bisou ? Oui bien sûr, pour les nouveaux-nés du Forum-Algérie… Bienvenue à vous.

                        Ah oui, avant de vous quitter, Si quelqu'un à un remède contre le mal que j'ai... Un truc de chez nous par exemple. N’hésitez surtout pas... Bonne nuit.

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                        • #13
                          Salut Bloum

                          d'aprés ta chronique , c'est la super forme . bien sur , a part ton mal de jambe , tu as la peche ......


                          prends soin de toi et profites en .

                          Commentaire


                          • #14
                            hello bloum j'ai aimé lire ta chronique toujours une belle plume !

                            ps = la haine pas tout le monde a pu le comprendre...

                            Commentaire


                            • #15
                              bloum

                              du haut de mon donjon trucidor, je te remmercie.....

                              lily
                              la diablesse
                              griffer ma feuille est mon plus bel amour plus elle souffre plus je me sens vivante!

                              lily
                              la diablesse!

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