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Incendie au service des archives de la Cour d'Oran

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  • Incendie au service des archives de la Cour d'Oran

    كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

  • #2
    Yakhi hala,
    ça n'arrive qu'en Algérie, un tube fluorescent fond, brule et ravage des archives.

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    • #3
      J'imagine que le prochain Hariq serait a la cour de Annaba.

      Bled miki.

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      • #4
        Ou la cour de Milan !
        Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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        • #5
          une seule réaction! Loooooollllllllllll!!!!!
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #6
            C'est incroyable ce pays! Une épidémie d'incendie d'archives!
            Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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            • #7
              C'est incroyable ce pays! Une épidémie d'incendie d'archives!
              Non Mkh !

              A Alger, c'était un vol de documents. A Oran, c'était un incendie.

              Donc, çà n'a rien à voir ! !
              !

              Sauf que dans les deux cas, il s'agit d'archives de la justice !

              C'est tout !

              ....

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              • #8
                Normal. Koulchi normal dans ce pays.
                le quatrième mandat du mégalomane est vraiment un grand danger pour le pays ...ce qui se passe est vraiment grave.

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                • #9
                  Quelques infos publiées dans Le Matin DZ

                  Selon le procureur général, 20 boîtes d’archives ont pris feu, contenant chacune un à trois dossiers, ce qui donne un total de 50 à 60 dossiers civils.

                  Le procureur assure que ces dossiers concernent des affaires qui remontent à de longues années et n’ont aucune incidence sur les affaires actuelles. La salle consacrée aux dossiers pénaux n’a pas été affectée.

                  Selon le procureur, l’accident est d’origine accidentelle.

                  Cet incident survient quelques jours après le vol de documents à la cour d’Alger. L’auteur présumé du vol d'Alger a été interpellé par la police. Selon le procureur d’Alger, aucun dossier n’a été volé(*). Ces évènements interviennent dans un contexte particulier d’enquêtes sur plusieurs affaires de corruption qui ont secoué le pays depuis quelques mois.
                  A confirmer ces propos !?!

                  (*) J'ai rien compris dans ce propos du journaliste. Y a-t-il eu vol ou pas à Alger ?!??

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                  • #10
                    quelqu un veut entretenir le doute...
                    Le vol a Alger et l incendie a Oran (et un autre peut etre a Milan :-)), maintiendra donc cette psychose de doute que les gerants de l Algerie aiment si bien entretenir dans les moments de crise. Des qu on dit: "bof, c est une lutte de clans...", tout rentre dans l ordre car c est synonyme de "aucun changement n est en vue".

                    j attends une sortie du fameux Mesbah... pour tout expliquer...

                    L attaque de In Amenas prend une tout autre tournure de nos jours.

                    M.
                    Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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                    • #11
                      @Sidmark

                      Tata aaldjia dart nar fi dachra, oufiha labkhour ouashour, bach maybanouch hadhok l'amlayar ouine rahou!
                      Dernière modification par wilams, 07 avril 2013, 16h59.
                      Éclairer les nations encore obscures.

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                      • #12
                        j attends une sortie du fameux Mesbah
                        Pour info, si l'on parle de Chafik Mesbah, il a été interdit de conférence à la fac d'Alger le 21 mars dernier. Il paraîtrait que l'ordre serait venu de Boutef himself (voir Le Soir du 3 avril).
                        Dernière modification par Lombardia, 07 avril 2013, 16h39. Motif: correction
                        كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

                        Commentaire


                        • #13
                          j attends une sortie du fameux Mesbah... pour tout expliquer...
                          Il n’en démord pas, il ne dévie pas. Crédibilité ou non, il ne lâche pas du lest. Fidèle à sa corporation, le politologue Mohamed Chafik Mesbah persiste et signe, il met hors de cause le général corps d’armée Mohamed Médiène, alias rab edzayer, c’est-à-dire celui qui fait la pluie et le beau temps, ainsi que ses affidés. Pour lui, ils sont étrangers au climat politique délétère qui règne en Algérie et qui annonce de grandes turbulences.

                          À Annaba, le 17 mars dernier, devant les étudiants de l’école préparatoire aux sciences économiques et commerciales, le colonel du DRS à la retraite va plus loin : les hommes du Toufik seraient incorruptibles et fiables, ils veilleraient au grain et alertent l’opinion publique des dangers qui guettent leur pays. Évidemment, il ne présente pas ces pensées crûment, elles sont toujours tacites, comme ses dénis des crimes militaires, mais personne ne doute de leur portée. Quand il dit que les officiers du DRS ont mis au parfum secrètement la presse des grandes affaires de corruption, il n’y a plus de doute qu’ils soient intègres et loyaux envers leur patrie et se démarquent du laxisme mortel de Bouteflika. En passant, il ne fait aucune remarque et reconnaît qu’en prenant une telle décision, les hommes de Toufik s’arrogent un droit inconstitutionnel, ils agissent secrètement comme un contre-pouvoir indépendant et clandestin.

                          À l’inverse, le « pourvoir algérien » qui, pour lui, signifie le président Bouteflika et les hommes qu’il a choisis, fait tout pour conduire inconsciemment l’Algérie vers un désastre. Si Bouteflika n’engage pas en urgence des réformes sérieuses, affirme-t-il, l’Algérie risque de devenir une proie facile aux convoitises des superpuissances qui reluquent vers ses gisements d’hydrocarbures. Il fustige également la politique extérieure de Bouteflika qui en aurait la gestion exclusive. Il y voit une faillite totale, l’Algérie n’a plus aucun poids dans la région.

                          L’intellectuel Mesbah continue de prêcher la même conception du pouvoir algérien. D’un côté les bons militaires du DRS et de l’autre les mauvais acteurs de la politique nationale. Si pour la seconde partie, la description part d’un constat unanime et n’a pas besoin de preuves, la première partie, celle relative à sa boîte d’origine, il aura du mal à en convaincre l’opinion publique pour qui les deux « clans » forment deux faces d’une même pièce. Surtout pas les Annabis, qui, le 29 juin 1992, ont vu, chez eux, de quoi sont capables ses amis du DRS… Le sang d’un président algérien a coulé dans leur ville. Si un intellectuel de sa trempe croit à l’acte isolé, le peuple n’a pas besoin des élucubrations d’énarques pour savoir qui à tué. La mort de Boudiaf est l’acte criminel qui a mis toute la classe politique et l’élite en un seul rang ; celui du DRS. Depuis cette date, tout le monde s’est plié. La terreur de la liquidation et de la persécution est depuis si présente qu’aucun acteur politique n’ose critiquer les militaires pour leurs dérives et leurs défaillances ou ne demande de rendre des comptes comme les y autorise la Constitution.

                          La conception clair-obscur de MCM sur le pouvoir algérien ne convainc que ceux qui font allégeance au pouvoir occulte. Certains, comme Sid-Ahmed Ghozali et Abdelhamid Brahimi, ou Belaïd Abdeslam ont été plus courageux dans l’identification du vrai pouvoir. Il est illusoire de tromper l’opinion publique à ce sujet. Sont illusoires, aussi, ses appels à l’armée, la priant de ne pas s’immiscer dans les affaires politiques, tant les militaires sont maîtres de l’Algérie et ont peur de se retrouver en situation de faiblesse. Ils ne voudront jamais se départir de leur rôle de tuteurs et faiseurs de rois, pour eux c’est une question de vie ou de mort. Ces appels témoignent seulement du refus de monsieur Mesbah de reconnaître la compromission de l’armée dans la dégradation de la vie politique et économique que connaît l’Algérie. La descente aux enfers, la mise au pas des partis, de la société civile, des intellectuels et de élite n’ont pas commencé avec Bouteflika ni elles ne s’arrêteront après son départ. Elles ont un titre : Rab Edzayer.

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                          • #14
                            Incendie au service des archives de la Cour d'Oran

                            ça vas encore arranger certains

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                            • #15
                              >>>les hommes du Toufik seraient incorruptibles et fiables, ils veilleraient au grain et alertent l’opinion publique des dangers qui guettent leur pays.

                              Toz, ils sont à l'image du reste, ne sont-ils pas des êtres "faibles" qui aiment le pognon, ki sidi ki jouadou.

                              On allume un incendie pour en éteindre d'autres, suivez mon regard

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