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Par : Mohamed Mouloudj
La tâche semble ardue pour les militants et l’actuelle direction du Front des forces socialistes (FFS), après la décision du chef historique de renoncer à la présidence du parti, en convoquant un congrès, qui se tiendra, du 23 au 25 mai prochain. Désigner un nouveau président à la tête du FFS, après plusieurs décennies sous la présidence d’Aït Ahmed est une mission difficile. Ainsi, selon une source à l’intérieur du parti, “personne ne peut remplacer Aït Ahmed”. “Son charisme et sa clairvoyance sont irremplaçables”, estime encore notre source qui ajoute que Hocine Aït Ahmed, “incarne un parcours militant des plus atypiques”, d’où la difficulté de mettre un autre responsable à sa place, même si, assure notre source, le FFS recèle de capacités aptes à mener “le bateau à bon port”. La difficulté ne réside pas uniquement dans le choix de la meilleure personne capable de maintenir le cap au sein du vieux parti de l’opposition. D’aucuns reconnaissent qu’Aït Ahmed est une personnalité qui, à elle seule, incarne l’engagement de plusieurs décennies contre le colonialisme d’abord, ensuite contre un pouvoir honni. Il est opportun et aussi nécessaire que des personnalités historiques, même si il n’en reste pas plusieurs, s’impliquent dans le combat politique. Aït Ahmed l’a fait depuis l’Indépendance. Sa décision de transmettre le flambeau met son parti dans une conjoncture des plus défavorables, surtout lorsque l’on sait que des précédents responsables ont provoqué un tel malaise au sein du parti que la direction semblait “avaler des poires d’angoisse”. Ces responsables, que notre source a dénoncés au passage, pensaient, au fait, “mettre le pied dans l’étrier”, en provoquant ce malaise au sein de la maison FFS et se faire ainsi de joyeux drilles, afin de damer le pion aux potentiels prétendants du clan adverse à la direction du parti. “Vu les expériences passées et vu les dérives totalitaires de certains responsables du parti”, il est préférable, indique notre source, “d’aller vers une direction collégiale”. Cette direction sera désignée ainsi par le congrès. Quant aux modalités pratiques de la mise sur pied de cette direction, notre source souligne que cette responsabilité échoit aux congressistes qui auront la tâche de les arrêter et de les définir.
libertedz.
La tâche semble ardue pour les militants et l’actuelle direction du Front des forces socialistes (FFS), après la décision du chef historique de renoncer à la présidence du parti, en convoquant un congrès, qui se tiendra, du 23 au 25 mai prochain. Désigner un nouveau président à la tête du FFS, après plusieurs décennies sous la présidence d’Aït Ahmed est une mission difficile. Ainsi, selon une source à l’intérieur du parti, “personne ne peut remplacer Aït Ahmed”. “Son charisme et sa clairvoyance sont irremplaçables”, estime encore notre source qui ajoute que Hocine Aït Ahmed, “incarne un parcours militant des plus atypiques”, d’où la difficulté de mettre un autre responsable à sa place, même si, assure notre source, le FFS recèle de capacités aptes à mener “le bateau à bon port”. La difficulté ne réside pas uniquement dans le choix de la meilleure personne capable de maintenir le cap au sein du vieux parti de l’opposition. D’aucuns reconnaissent qu’Aït Ahmed est une personnalité qui, à elle seule, incarne l’engagement de plusieurs décennies contre le colonialisme d’abord, ensuite contre un pouvoir honni. Il est opportun et aussi nécessaire que des personnalités historiques, même si il n’en reste pas plusieurs, s’impliquent dans le combat politique. Aït Ahmed l’a fait depuis l’Indépendance. Sa décision de transmettre le flambeau met son parti dans une conjoncture des plus défavorables, surtout lorsque l’on sait que des précédents responsables ont provoqué un tel malaise au sein du parti que la direction semblait “avaler des poires d’angoisse”. Ces responsables, que notre source a dénoncés au passage, pensaient, au fait, “mettre le pied dans l’étrier”, en provoquant ce malaise au sein de la maison FFS et se faire ainsi de joyeux drilles, afin de damer le pion aux potentiels prétendants du clan adverse à la direction du parti. “Vu les expériences passées et vu les dérives totalitaires de certains responsables du parti”, il est préférable, indique notre source, “d’aller vers une direction collégiale”. Cette direction sera désignée ainsi par le congrès. Quant aux modalités pratiques de la mise sur pied de cette direction, notre source souligne que cette responsabilité échoit aux congressistes qui auront la tâche de les arrêter et de les définir.
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