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Qu’est-ce que le subconscient ?
Le subconscient (ou « l’inconscient ») est la partie de notre esprit sur lequel notre volonté n’a aucune emprise – contrairement à l’esprit conscient qui obéit à notre volonté. C’est l’esprit conscient qui prend en charge nos actions quand nous sommes éveillés : par exemple, se tenir debout, marcher, manger, parler. Par contre, quand l’esprit conscient n’est plus en action (quand nous dormons, par exemple, ou que nous sommes dans un état de relaxation plus ou moins profond), c’est l’esprit subconscient qui prend le relais. Il assure nos fonctions vitales : comme la respiration, le battement du cœur ou la circulation sanguine.
Et même en état « éveillé », le subconscient exerce toujours ses actions, même s’il est dans ce cas subordonné à l’esprit conscient.
On a vu plus haut que la volonté n’a aucune emprise sur le subconscient. En fait, le subconscient ne peut pas être dirigé explicitement, il ne peut qu’être influencé. L’esprit subconscient domine toujours aussi l’esprit conscient. Si l’esprit conscient et l’esprit subconscient s’oppose, le subconscient l’emporte toujours. Un exemple typique est le cas du fumeur qui veut arrêter et qui n'y arrive pas :
L’acte de fumer, à la longue, est devenu une habitude – et c’est dans l’esprit subconscient que les habitudes sont « stockées ». Même la plus forte volonté du monde ne peut rien contre une habitude fortement ancrée dans l’esprit subconscient.
Selon des recherches et des études réalisées par plusieurs chercheurs sur le subconscient, le subconscient arrive aussi toujours à ses fins. Il agit comme une sorte de « robot » qui ne s’arrête jamais tant qu’il n’a pas accompli le « but » qu’on lui a donné, faisant fi des obstacles « but » qu’on lui a donné, faisant fi des obstacles et des difficultés.
Quand le subconscient nous fait du mal – ou nous fait du bien !
Nous avons vu plus haut que le subconscient ne peut être dirigé explicitement. Il n’obéit pas à notre volonté et semble « n’en faire qu’à sa
tête ». La réalité est que le subconscient agit exactement selon les influences que nous subissons depuis notre naissance.
Le « comportement » du subconscient est Le « comportement » du subconscient est déterminé à partir de la « somme » des influences que nous avons subies tout au long de notre vie passée et présente. Nos parents, nos amis, nos connaissances, notre entourage contribue jour après jour à influencer notre subconscient, bien souvent à notre insu.
Des traits de caractère – difficilement « surmontables » apparaissent ainsi à cause de cette influence sur le subconscient : une personne timide peut par exemple, dans sa jeunesse, avoir subie maintes et maintes fois des critiques, qui a « planté » dans son subconscient l’idée « qu’il y a toujours quelque chose qui cloche chez elle », et qui l’empêche de s’affirmer devant les autres. Inversement, les personnes qui réussissent dans la vie, qui atteignent leurs objectifs, qui ont du succès ont leur subconscient influencé par des courants positifs. L’idée implantée dans le subconscient
est par exemple « tu vas réussir » ou « tu atteins ton objectif » - et comme le subconscient arrive toujours à ses fins, la personne est carrément « transportée » vers la réalisation.
Heureusement, le subconscient n’est pas « figé » : s’il a été soumis à des influences négatives, on peut toujours le transformer radicalement
avec des influences positives – et bien sûr, l’inverse est aussi possible.
Un fumeur peut seulement arrêter de fumer que lorsque l’habitude de la cigarette a été « effacée » de son subconscient. Plusieurs méthodes pour
arrêter de fumer agissent principalement pour influencer le subconscient, et
ce sont ces méthodes qui marchent le mieux.
Influencer le subconscient peut prendre du temps, mais reste toujours possible. Les résultats peuvent être époustouflants et tous les aspects de la vie peuvent en tirer profit : santé, relation avec les autres, finances, etc.
Comment influencer le subconscient ?
Il existe plusieurs manières, mais elles se basent toutes sur l’influence. Les émotions aussi contribuent beaucoup à l’influence du subconscient, elles peuvent être assimilées à un « marteau » qui « plante » profondément les idées dans le subconscient.
Bien sûr, les émotions négatives (la colère, la haine) « plantent » dans le subconscient des idées négatives (qui peuvent conduire à des actes incontrôlés visant à faire du mal) – tandis que les émotions positives (la joie, l’amour, l’enthousiasme, etc) conduisent à des actes « incontrôlés » de bonté et d’accomplissement. L’essentiel est de se rappeler que le négatif conduit toujours au mal (à nous et à autrui) et que le positif conduit toujours au bien (à nous et que le positif conduit toujours au bien (à nous et à autrui également). D’où l’importance de garder toujours une attitude positive et de nourrir ses pensées exclusivement avec des pensées positives.
Nary Andriatsolondriaka
Le subconscient (ou « l’inconscient ») est la partie de notre esprit sur lequel notre volonté n’a aucune emprise – contrairement à l’esprit conscient qui obéit à notre volonté. C’est l’esprit conscient qui prend en charge nos actions quand nous sommes éveillés : par exemple, se tenir debout, marcher, manger, parler. Par contre, quand l’esprit conscient n’est plus en action (quand nous dormons, par exemple, ou que nous sommes dans un état de relaxation plus ou moins profond), c’est l’esprit subconscient qui prend le relais. Il assure nos fonctions vitales : comme la respiration, le battement du cœur ou la circulation sanguine.
Et même en état « éveillé », le subconscient exerce toujours ses actions, même s’il est dans ce cas subordonné à l’esprit conscient.
On a vu plus haut que la volonté n’a aucune emprise sur le subconscient. En fait, le subconscient ne peut pas être dirigé explicitement, il ne peut qu’être influencé. L’esprit subconscient domine toujours aussi l’esprit conscient. Si l’esprit conscient et l’esprit subconscient s’oppose, le subconscient l’emporte toujours. Un exemple typique est le cas du fumeur qui veut arrêter et qui n'y arrive pas :
L’acte de fumer, à la longue, est devenu une habitude – et c’est dans l’esprit subconscient que les habitudes sont « stockées ». Même la plus forte volonté du monde ne peut rien contre une habitude fortement ancrée dans l’esprit subconscient.
Selon des recherches et des études réalisées par plusieurs chercheurs sur le subconscient, le subconscient arrive aussi toujours à ses fins. Il agit comme une sorte de « robot » qui ne s’arrête jamais tant qu’il n’a pas accompli le « but » qu’on lui a donné, faisant fi des obstacles « but » qu’on lui a donné, faisant fi des obstacles et des difficultés.
Quand le subconscient nous fait du mal – ou nous fait du bien !
Nous avons vu plus haut que le subconscient ne peut être dirigé explicitement. Il n’obéit pas à notre volonté et semble « n’en faire qu’à sa
tête ». La réalité est que le subconscient agit exactement selon les influences que nous subissons depuis notre naissance.
Le « comportement » du subconscient est Le « comportement » du subconscient est déterminé à partir de la « somme » des influences que nous avons subies tout au long de notre vie passée et présente. Nos parents, nos amis, nos connaissances, notre entourage contribue jour après jour à influencer notre subconscient, bien souvent à notre insu.
Des traits de caractère – difficilement « surmontables » apparaissent ainsi à cause de cette influence sur le subconscient : une personne timide peut par exemple, dans sa jeunesse, avoir subie maintes et maintes fois des critiques, qui a « planté » dans son subconscient l’idée « qu’il y a toujours quelque chose qui cloche chez elle », et qui l’empêche de s’affirmer devant les autres. Inversement, les personnes qui réussissent dans la vie, qui atteignent leurs objectifs, qui ont du succès ont leur subconscient influencé par des courants positifs. L’idée implantée dans le subconscient
est par exemple « tu vas réussir » ou « tu atteins ton objectif » - et comme le subconscient arrive toujours à ses fins, la personne est carrément « transportée » vers la réalisation.
Heureusement, le subconscient n’est pas « figé » : s’il a été soumis à des influences négatives, on peut toujours le transformer radicalement
avec des influences positives – et bien sûr, l’inverse est aussi possible.
Un fumeur peut seulement arrêter de fumer que lorsque l’habitude de la cigarette a été « effacée » de son subconscient. Plusieurs méthodes pour
arrêter de fumer agissent principalement pour influencer le subconscient, et
ce sont ces méthodes qui marchent le mieux.
Influencer le subconscient peut prendre du temps, mais reste toujours possible. Les résultats peuvent être époustouflants et tous les aspects de la vie peuvent en tirer profit : santé, relation avec les autres, finances, etc.
Comment influencer le subconscient ?
Il existe plusieurs manières, mais elles se basent toutes sur l’influence. Les émotions aussi contribuent beaucoup à l’influence du subconscient, elles peuvent être assimilées à un « marteau » qui « plante » profondément les idées dans le subconscient.
Bien sûr, les émotions négatives (la colère, la haine) « plantent » dans le subconscient des idées négatives (qui peuvent conduire à des actes incontrôlés visant à faire du mal) – tandis que les émotions positives (la joie, l’amour, l’enthousiasme, etc) conduisent à des actes « incontrôlés » de bonté et d’accomplissement. L’essentiel est de se rappeler que le négatif conduit toujours au mal (à nous et à autrui) et que le positif conduit toujours au bien (à nous et que le positif conduit toujours au bien (à nous et à autrui également). D’où l’importance de garder toujours une attitude positive et de nourrir ses pensées exclusivement avec des pensées positives.
Nary Andriatsolondriaka
. Ces bacteries ne répondent pas aux traitements de betalactames.
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