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Les affaires reprennent pour Cevital
Certains projets de l’homme d’affaires Issad Rebrab gelés depuis plusieurs années ont été finalement débloqués.
C’est ce que nous avons appris ce matin en marge du colloque sur la sécurité alimentaire organisé à l’hôtel Sheraton, d’Alger. « Les projets évoluent comme je le souhaite et je suis très optimiste », a confié le patron de Cevital à l’Econews. « La semaine prochaine, nous communiquerons de façon officielle au sujet de l’Etat d’avancement des différents projets lancés par le groupe », a-t-il précisé sans toutefois donner plus de détails sur ces projets relancés.
Issad Rebrab a poursuivit en indiquant que certains de ces projets seront réalisés avecde grands groupes internationaux prêts à investir en Algérie. Parmi les projets bloqués, on cite la réalisation de trois usines de production de ciment, le projet de pôle d’énergie solaire dans le Sahara et le projet du port de Cap Djinet.
En plus du projet de sidérurgie d’une capacité de production de 10 millions de tonnes. Des projets de pétrochimie, un autre lié au domaine de l’automobile et d’autres dans le secteur de l’immobilier sont également en souffrance. Il a évalué la valeur des projets bloqués à 30 milliards de dollars. Une fois opérationnels, ils devraient, selon lui, assurer au moins 35 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures, tout en couvrant le marché national.
Par Nassima Benarab
C’est ce que nous avons appris ce matin en marge du colloque sur la sécurité alimentaire organisé à l’hôtel Sheraton, d’Alger. « Les projets évoluent comme je le souhaite et je suis très optimiste », a confié le patron de Cevital à l’Econews. « La semaine prochaine, nous communiquerons de façon officielle au sujet de l’Etat d’avancement des différents projets lancés par le groupe », a-t-il précisé sans toutefois donner plus de détails sur ces projets relancés.
Issad Rebrab a poursuivit en indiquant que certains de ces projets seront réalisés avecde grands groupes internationaux prêts à investir en Algérie. Parmi les projets bloqués, on cite la réalisation de trois usines de production de ciment, le projet de pôle d’énergie solaire dans le Sahara et le projet du port de Cap Djinet.
En plus du projet de sidérurgie d’une capacité de production de 10 millions de tonnes. Des projets de pétrochimie, un autre lié au domaine de l’automobile et d’autres dans le secteur de l’immobilier sont également en souffrance. Il a évalué la valeur des projets bloqués à 30 milliards de dollars. Une fois opérationnels, ils devraient, selon lui, assurer au moins 35 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures, tout en couvrant le marché national.
Par Nassima Benarab