Au moment où nos résidences universitaires tombent en ruines et entament leur descente en enfer, l'Etat algérien décide de se porter candidat pour le financement de la construction d'une partie de la future Cité internationale universitaire de Paris.
Ainsi, d'après Marion Le Paul, directrice de la communication de la Cité internationale universitaire de Paris, qui va s'offrir prochainement un très grand lifting, des contacts ont été initiés avec les autorités algériennes au sujet du financement de trois maisons sur le parc Est de la future cité. En effet, le plan d'aménagement prévoit la création d'ici à 2020 de trois nouvelles maisons sur ce côté du parc. Et l'Algérie, comme la Chine, et la Corée du Sud, est candidate pour apporter un financement à ce plan d'aménagement. "Nous sommes actuellement en contact avec la Chine, la Corée du Sud, le Pérou et l'Algérie", confirme Marion Le Paul dans une déclaration faite au quotidien gratuit français Métro. "Selon le modèle de la Cité, chaque pays candidat choisira son architecte et financera le bâtiment, qui sera ensuite donné aux Universités de Paris", a-t-elle encore expliqué.
Mais que rapportera-t-il de concret à l'Algérie le financement de la construction d'un nouveau bâtiment dans cette future Cité Internationale située en France ? Et ne serait-il pas judicieux d'accorder ce financement à la modernisation des universités algériennes qui souffrent de nombreuses privations ? On aurait aimé que nos autorités répondent précisément à ces deux questions...
ness news
Ainsi, d'après Marion Le Paul, directrice de la communication de la Cité internationale universitaire de Paris, qui va s'offrir prochainement un très grand lifting, des contacts ont été initiés avec les autorités algériennes au sujet du financement de trois maisons sur le parc Est de la future cité. En effet, le plan d'aménagement prévoit la création d'ici à 2020 de trois nouvelles maisons sur ce côté du parc. Et l'Algérie, comme la Chine, et la Corée du Sud, est candidate pour apporter un financement à ce plan d'aménagement. "Nous sommes actuellement en contact avec la Chine, la Corée du Sud, le Pérou et l'Algérie", confirme Marion Le Paul dans une déclaration faite au quotidien gratuit français Métro. "Selon le modèle de la Cité, chaque pays candidat choisira son architecte et financera le bâtiment, qui sera ensuite donné aux Universités de Paris", a-t-elle encore expliqué.
Mais que rapportera-t-il de concret à l'Algérie le financement de la construction d'un nouveau bâtiment dans cette future Cité Internationale située en France ? Et ne serait-il pas judicieux d'accorder ce financement à la modernisation des universités algériennes qui souffrent de nombreuses privations ? On aurait aimé que nos autorités répondent précisément à ces deux questions...
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