Katia, 16 ans, décède à cause de son... tampon périodique
Katia, une Namuroise( belgique ) de 16 ans, est décédée en mars dernier d’une septicémie foudroyante provoquée par… un tampon hygiénique. Un mois plus tard, la famille de la jeune fille est toujours sous le choc. Ses proches n’en reviennent pas d’avoir perdu leur «douce Katia» de cette maladie si rarissime
En mars dernier, l’adolescente est frappée par ce que toute sa famille pensait être une grosse grippe. «Ca faisait quelques jours que ma petite sœur avait un peu de fièvre. On ne se tracassait pas vraiment. On croyait que ça allait passer. Mais son état s’est fortement dégradé. Le 12 mars, elle est décédée du syndrome du choc toxique, suite à l’utilisation d’un tampon», raconte Mélanie Thoron, la grande sœur de Katia.
Dès que la jeune fille arrive à l’hôpital, elle est emmenée aux soins intensifs. Mais après de nombreux examens et une opération, les médecins namurois se rendent compte que la jeune fille souffre d’un problème gynécologique. Mais sans savoir lequel. «Katia n’était pas bien, elle n’avait donc pas changé de tampon, d’une marque très connue, depuis une vingtaine d’heures», rapporte Vanessa.
Après avoir subi une seconde opération, les médecins liégeois constatent que la jeune fille a un abcès au cœur de 3 cm et que ses reins ne fonctionnent plus.
Mais quel est ce syndrome qui peut enlever une vie en quelques jours ? D’après des médecins spécialisés en infectiologie, cette maladie est causée par une toxine, le staphylocoque doré. Dans certaines conditions, mal connues encore, créées ou aggravées par l’utilisation de tampons, le germe colonise le vagin, puis entre dans le sang
Katia, une Namuroise( belgique ) de 16 ans, est décédée en mars dernier d’une septicémie foudroyante provoquée par… un tampon hygiénique. Un mois plus tard, la famille de la jeune fille est toujours sous le choc. Ses proches n’en reviennent pas d’avoir perdu leur «douce Katia» de cette maladie si rarissime
En mars dernier, l’adolescente est frappée par ce que toute sa famille pensait être une grosse grippe. «Ca faisait quelques jours que ma petite sœur avait un peu de fièvre. On ne se tracassait pas vraiment. On croyait que ça allait passer. Mais son état s’est fortement dégradé. Le 12 mars, elle est décédée du syndrome du choc toxique, suite à l’utilisation d’un tampon», raconte Mélanie Thoron, la grande sœur de Katia.
Dès que la jeune fille arrive à l’hôpital, elle est emmenée aux soins intensifs. Mais après de nombreux examens et une opération, les médecins namurois se rendent compte que la jeune fille souffre d’un problème gynécologique. Mais sans savoir lequel. «Katia n’était pas bien, elle n’avait donc pas changé de tampon, d’une marque très connue, depuis une vingtaine d’heures», rapporte Vanessa.
Après avoir subi une seconde opération, les médecins liégeois constatent que la jeune fille a un abcès au cœur de 3 cm et que ses reins ne fonctionnent plus.
Mais quel est ce syndrome qui peut enlever une vie en quelques jours ? D’après des médecins spécialisés en infectiologie, cette maladie est causée par une toxine, le staphylocoque doré. Dans certaines conditions, mal connues encore, créées ou aggravées par l’utilisation de tampons, le germe colonise le vagin, puis entre dans le sang
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