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Air algerie compagnie a risques ?

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  • Air algerie compagnie a risques ?

    Edition du 17 août 2006 > Actualite

    Commandant Hammoud Ahcène. Secrétaire général du Syndicat des pilotes de ligne algériens à Air Algérie
    « C’est une véritable énigme que cette impunité des responsables »
    Le crash d’un avion-cargo d’Air Algérie dans le nord de l’Italie a suscité la réaction du personnel d’Air Algérie et du Syndicat des pilotes de ligne algériens (SPLA). Hammoud Ahcène, secrétaire général du SPLA, affirme qu’après l’annonce de ce drame, « un mouvement spontané de protestation s’est déclenché et la situation a failli dégénérer et aller vers la casse si ce n’est l’intervention du syndicat qui a calmé les esprits, ce qui a permis une reprise des vols vers 20h ».


    Il précise d’emblée qu’il ne s’agit pas « d’une grève », car cette forme d’arrêt de travail nécessite de passer par des procédures réglementaires. Le deuxième jour, les pilotes ont décidé d’un arrêt de travail de 14h à 16h « à cause de l’humiliation et du comportement du PDG qui ne s’est pas adressé à la corporation ». Cette attitude n’a pas été appréciée et elle a même failli mettre le feu aux poudres. Face à une probable escalade, Mohamed Maghlaoui, ministre des Transports, a dû intervenir en personne. Selon M. Hammoud, il a prêté attention aux problèmes posés par les pilotes. Ce geste a eu un premier effet immédiat : le travail a repris vers 15h 20. « Le message semble être bien perçu par les hautes autorités. Nous avons été touchés par ce geste qui marque une certaine présence de l’Etat. Il a eu de l’écho et c’est positif », relève le syndicaliste. Mais pour lui, le combat continue. Une AG, a-t-il dit, sera convoquée pour définir la démarche à suivre. « On est étonné. Air Algérie est la seule entreprise où les catastrophes se suivent. Ailleurs, il y a eu des sanctions. Nous n’avons jamais été destinataires des résultats des enquêtes », ajoute M. Hammoud. Il faut dire que la majorité des rapports d’accidents d’avions est gardée sous le boisseau. Entretien.

    C’est le troisième crash après celui de Tamanrasset en mars 2003, et la série noire continue malgré la sonnette d’alarme que vous avez tirées...

    D’abord, je tiens, au nom de toute la corporation des pilotes de ligne et au nom du syndicat, à présenter mes condoléances aux familles de Abdou Mohammed, Tayeb Bederina et Mustapha Kadid, comme je tiens à remercier Sidi Saïd, responsable de l’UGTA, ainsi que notre ministre venus en personne présenter leurs condoléances à toute la famille d’Air Algérie. Pour répondre à votre question, je pense qu’il y a eu un crash qui est passé sous silence, c’est le troisième crash en trois années. Depuis le fameux crash de Tamanrasset du 6 mars 2003, qui marqué à jamais les Algériens, juste après celui-là, je ne me rappelle plus de la date exacte, il y a eu un autre crash à Ghardaïa et cette fois-ci il y a eu une victime. Il s’agit d’un avion de petite capacité de 19 places, un avion Beechcraft 1900, commandé par deux pilotes dont l’un est malheureusement décédé. Avec celui de Séville du 737-600 au mois de mars 2006 et cette dernière catastrophe en Italie de l’Hercule, il y a eu donc quatre crashs et la liste est encore ouverte. Il y a plus d’une année, à l’occasion de la commémoration du drame de Tamanrasset qui a fait 103 morts, j’avais lancé un appel pour une prise en charge de ce problème sérieux qu’est la sécurité aéronautique. J’avais demandé à ce que chacun prenne ses responsabilités et agisse là où il doit pour sauvegarder cette compagnie, sécuriser nos vols et nos passagers qu’ils soient algériens ou autres. Malheureusement, depuis ces événements majeurs, la courbe est toujours ascendante, surtout ces dernières années où on remarque que le temps entre un crash et un autre ne cesse de rétrécir. On espère ne pas arriver à compter les accidents en jours ou en heures.

    Au-delà des facteurs classiques du crash, vous montrez du doigt le mode gestion de la compagnie...

    Je tiens à préciser d’abord que ce n’est pas la gestion financière d’Air Algérie qui intéresse le syndicat ici, pour cela il y a un Etat et des structures qui en sont responsables. En ce qui nous concerne, c’est la gestion de la corporation des pilotes qui importe. Il est de mon devoir de défendre cette corporation selon les lois de la République. Le pilote n’a jamais été géré convenablement à Air Algérie, il a été utilisé comme une machine sans prendre en compte son côté psychologique, il n’a jamais eu le repos qu’il faut, il n’a jamais bénéficié de bonnes conditions de travail qu’elles soient matérielles ou morales ou de soutien quelconque de la part de son employeur. Cela commence dès le ramassage à son domicile du pilote dans des navettes qui sont très sales et démunies des conditions minimums de sécurité. Au niveau des opérations où le pilote prépare son vol, c’est une catastrophe. Les lieux sont sales, exigus et inadaptés à cette fonction de pilote qui doit préparer son vol dans le calme et sans oublier le moindre détail avant qu’il prenne en charge son avion, ses passagers et accomplisse sa mission en sécurité. Donc, la sécurité est affectée déjà sur le sol avec la navette et les moyens d’accueil au niveau des aéroports. Je parle des structures d’Air Algérie qui accueillent le pilote et lui fournissent le dossier du vol. Une fois à bord, rien n’est préparé, c’est le pilote qui doit courir derrière tous les services et doit faire attention à ne pas oublier le moindre détail et faire le travail de tout le monde. Le pilote commence normalement son travail une fois les passagers à bord, mais à l’arrivée des passagers on est déjà usé et chaque vol est entamé avec un état de stress, fatigue et incertitude. Cette fatigue est accumulée depuis des années puisqu’on accumule des siècles de congés qu’Air Algérie doit à son personnel, à ses pilotes, et ceci est illégal vis-à-vis de la loi. Pour cela, l’inspection du travail n’a jamais joué son rôle et n’a jamais répondu aux correspondances des pilotes et il y a peut-être même complicité.

    En quoi ce mode de gestion influe-t-il sur la sécurité aéronautique ?

    La programmation du pilote est anarchique. Il y en a qui dépassent largement leur amplitude journalière. Ce sont des vols effectués au détriment de la sécurité et ce sont des pilotes qui ont été exploités avec la complicité de la direction et en connaissance de la tutelle parce que quand le syndicat est intervenu pour mettre un terme à ces pratiques illégales et dangereuses qui vont à l’encontre de la sécurité du passager, de l’avion et du pilote lui-même, le syndicat a été traité de bouchkara. Les correspondances sont au niveau des autorités, précisément au niveau de la direction générale de l’aviation civile où on a cité nominativement les gens qui ont dépassé de loin l’amplitude journalière interdite par les lois du travail.

    Selon vous, ceci conduit-il à l’accident ?

    C’est une cause directe du crash. Avec la fatigue, les repos non pris, les mauvaises conditions d’accueil, la pression psychologique, parfois les menaces, parce qu’on subit des intimidations et des arrêts de vols abusifs. On enlève à un pilote ses vols pendant 10 à 15 jours sans lui notifier cela par écrit juste pour le harceler moralement et ensuite on le remet en vol sans laisser de traces.

    Air Algérie ne manque pas d’argent et pourtant vous dénoncez l’absence de moyens...

    Hormis quelques fausses solutions, il n’y a jamais eu de véritable investissement dans l’équipement ni aucune stratégie et perspective, leur seul souci et de mettre les équipages sous tension pour assurer les vols et souvent embarquer les passagers sans l’avis même de l’équipage.

    Pour un seul accident de bateau, le directeur général de la Cnan et plusieurs de ses responsables ont été condamnés par la justice ; pourquoi, selon vous, ceux d’Air Algérie échappent-ils à toute sanction ?

    C’est une véritable énigme que cette impunité des responsables de la compagnie. On s’interroge nous aussi comment après tous ces crashs et toutes ces victimes aucun responsable n’a été inquiété, par quel miracle personne n’a été relevé de ses fonctions et comment peuvent-ils continuer à travailler normalement sans avoir l’idée de démissionner. C’est le pilote qui paye à chaque fois et il leur reste juste de le poursuivre dans sa tombe pour le sanctionner.

    M. Maghlaoui vous a rassurés lors de son déplacement de mardi ; espérez-vous quelque chose de la part de l’Etat ?

    Notre espoir a commencé au mois de février 2005, si mes souvenirs sont bons, lors de l’intervention de notre chef d’Etat à l’occasion du sommet des pays africains producteurs de pétrole, où il a fait un rapport accablant concernant Air Algérie, alors que cela ne figurait pas à l’ordre du jour. Juste après, le SG du syndicat UGTA d’Air Algérie a dévoilé, sur les colonnes de votre journal, beaucoup de vérités concernant les pratiques de gestion. Cela nous a donné l’espoir pour qu’il y ait des actions pour le redressement de cette compagnie, malheureusement il n’y a pas eu d’actions qui ont suivi. Cela ne veut pas dire qu’on a perdu espoir, l’espoir est revenu mardi avec l’intervention du ministre, surtout qu’il a déclaré qu’il était venu au nom de l’Etat algérien et qu’il a donné ses promesses et s’est engagé à régler les problèmes du pilote algérien. Nous avons confiance, et la preuve est que juste après l’intervention du ministre dès qu’il a demandé la reprise des vols, cela a été fait immédiatement, la balle est maintenant dans le camp de nos responsables et on leur fait confiance.

    Le syndicat compte-t-il lancer des actions pour faire pression ?

    Je pense qu’en ce moment dramatique le syndicat n’exercera pas de pressions sur Air Algérie et surtout sur le passager algérien parce que ce sont tous les Algériens qui ont été touchés dans leur chair après ce crash dans lequel on a perdu trois Algériens avant qu’ils ne soient pilotes. Heureusement que c’était un vol cargo. Il y a avait seulement trois Algériens et pas deux cents. Les pilotes, dans une réaction spontanée et coléreuse, avaient décidé au lendemain du crash de l’arrêt temporaire du travail sans fixer un objectif ni une tactique ; pour cela on s’excuse auprès de toute la clientèle d’Air Algérie qui a été dérangée. Je pense qu’à travers cette action le pilote voulait montrer sa colère pour que ces accidents ne se reproduisent plus jamais. Les actions du syndicat viendront, quant à elles, après l’enterrement des trois corps, éventuellement avec une assemblée générale.


    N. Nesrouche

  • #2
    Moi je crois plutôt que les avions d'air algerie sont dans un piteux états. Il est urgent que ces avions soient remplacés par des nouveaux avions ceci dans l'interrêt de la securité des passagers car il y va de leur vie. imputer ces crashes à répétition uniquement des erreurs humaines relève à mon sens de l'irresponsabilité. Les avions d'air Algérie sont obsolètes, et continuer à les faire voler est un crime contre l'humanité. Air Algérie est sur la liste noire des compagnies à risques.
    l'Algérie doit impérativement renouveller son matériel de navigation afin d'assurer la sécurité de sa clientèlle sinon les usagers de ces lignes vont opter pour d'autres compagnies ou d'autres moyens de transport; sinon les destinations que cette compagnie dessert risquent bien d'interdir sur leur sol air Algérie.

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    • #3
      nina permettez moi de vous dire que vous etes entrain de dire n'importe quoi le parc des avions d'air algérie a etait totalement renouveler la moyenne d'age des avions d'air algérie se situe entre 2.5 a 3ans et tout les apareils de transport de voyageurs sont en tres bonne etat
      les avions d'air algerie sont obsolétes entre nous saviez vous de quoi est constitué le parc d'avion d'air algerie ...
      5 airbus a330/200
      3 boing 767
      je connais pas le nombre des 737/400/600/800
      des atr toutes neuve ...
      source http://www.airalgerie.dz/info/flotte_f.htm
      pouvez vous nous donner la source ou on peut voir la compagnie national classé comme une compagnie a risque.
      salam

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      • #4
        @kmou21

        Oui mais le C-130 qui s'est écrasé daterait des années 80 si je me souvient bien. Bon il est vrai que le Hercules est un avion trés robuste mais quand même, j'éstime que des résposnabilité doiven toujours êtres situées dans ec genre d'accidens et des sanctions doivent tomber ce qui n'est jamais le cas à Air Algérie. La sécurité des passager est certes trés importante mais celle des équipages ne l'es pas moins car eux aussi sont des humains !
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #5
          Air Algérie traverse une zone de turbulences

          Je crois qu'il y a eu trop d'incidents techniques et que les pilotes sont devenus les dindons de la farce.
          -------------------------------------------------------------------------

          Les investigations des autorités policières, judiciaires et aériennes italiennes se poursuivaient hier pour déterminer les causes qui ont entraîné le crash de l’avion-cargo Lockheed L-382 d’Air Algérie, à Picenzia, près de Milan. Les enquêteurs italiens ont retrouvé la deuxième boîte noire de l’appareil.

          La commission d’enquête diligentée par le ministère est depuis hier sur les lieux du drame. Il est prématuré de se prononcer aujourd’hui sur l’origine de l’accident qui a entraîné la mort des trois membres de l’équipage, d’autant que les investigations ne font que commencer.

          Il faudra attendre que les boîtes noires, les enregistrements des tours de contrôle et la trajectoire radar de l’appareil livrent leurs secrets. Ce nouvel incident met en exergue, cependant, la “série noire” qui a touché la compagnie nationale ces dernières années. S’il faut reconnaître que le risque zéro en aviation n’existe pas, il y a toutefois, selon les spécialistes, des “indicateurs à prendre en considération”. Cette année, en l’espace de cinq mois, deux autres évènements autres que le crash de Picenzia ont concerné un avion de ligne à Séville et un Hercule en exercice à Alger.

          Depuis sa création, Air Algérie n’a connu, selon les bases de données des sites spécialisés, que 5 incidents majeurs ayant entraîné mort d’homme. Le premier a eu lieu en avril 1967 à Tamanrasset quand un Douglas DC-4 s’est crashé, entraînant le décès de 39 personnes.

          Un SE210 Caravelle s’était écrasé, quant à lui, à Biskra en juillet 1969 causant la mort de 37 personnes. En janvier 1979, un avion de la compagnie se crashait à Béchar entraînant le décès de 39 personnes. Le Boeing 737-2D6 s’est écrasé lui à Coventry, en Grande-Bretagne, occasionnant la mort de 5 personnes. L’incident le plus récent et le plus important en termes de pertes humaines est le crash en mars 2003 du Boeing 737-2T4 à Tamanrasset avec à son bord 103 personnes.

          Le bilan était ce jour-là lourd. 102 passagers avaient trouvé la mort. Il ne s’agit là que des incidents aériens connus et ayant entraîné mort d’homme. Il n’en est pas de même pour tous les petits ou grands “pépins” qui sont passés à la trappe. Les pannes mécaniques ou techniques, les problèmes de moteurs, les trains d’atterrissage bloqués, qui ne font pas la une de l’actualité, mais qui se répercutent sur le planning des vols et le moral des troupes d’Air Algérie.
          Le crash de Tamanrasset demeure le plus “emblématique”, il a été celui qui a créé le plus de polémique. Les commissions d’enquête de l’aviation civile et du Parlement s’étaient succédé sur place. La conclusion de l’enquête technique avait jeté un froid entre le collectif des travailleurs, les familles des victimes et la direction générale, ainsi que les représentants de l’aviation civile. Et démontré si besoin que la confiance ne régnait plus. “Les commissions ne nous concernent pas. Enquête après enquête, incident après incident, on remet en cause nos qualifications, au lieu de se pencher réellement sur le problème. Celui de la sécurité”, avait précisé un pilote à l’annonce de l’envoi hier d’une commission d’enquête, à Picenzia, diligentée par le ministère des Transports. L’argumentaire développé s’articule également autour “des drames qui ne sont jamais suivis de suites”. Un pilote syndicaliste n’ira pas non plus par quatre chemins à ce sujet. “Nous sommes les premiers concernés, mais nous ne sommes pas associés à l’enquête”, dira-t-il.

          Après avoir avancé lors de son rapport préliminaire la thèse de la panne de l’un des deux moteurs, la commission d’enquête a affirmé, en septembre 2004, que l’origine du crash était liée à une erreur humaine. L’accident résultait, selon le rapport final de la commission, de “la perte d’un moteur lors d’une phase critique du vol, de l’absence de rentrée de train après la panne moteur et de la prise de commande par le commandant de bord avant d’avoir entièrement identifié la panne”. Cette conclusion n’avait pas convaincu les parents et proches des victimes d’autant que l’origine de la panne n’avait pas été élucidée ce jour-là par les experts. Le fait le plus notable est la dégradation, une nouvelle fois, des relations entre la direction générale et les travailleurs d’Air Algérie.

          D’autant que le P-DG de la compagnie se mure depuis l’évènement dans un silence de plomb. Hormis quelques communiqués laconiques estampillés par la direction générale, Tayeb Benouis n’a jusqu’à présent pas soufflé mot sur ce qui s’est passé. Il aura fallu l’intervention de Mohamed Maghlaoui pour calmer la colère des pilotes, mais également de tous leurs collègues. Il faut reconnaître que les rapports entre la DG et les différents syndicats sont depuis quelques années “exécrables”.

          La grogne au sein d’Air Algérie n’étant pas du seul apanage du Syndicat des pilotes de lignes algériens (SPLA). Cette situation vaut également pour tous les représentants des travailleurs de la compagnie tels que le syndicat d’entreprise affilié à l’UGTA, du collectif du Personnel navigant commercial (PNC), ou technique (PNT), le Syndicat national des techniciens de la maintenance aérienne (SNTMA).
          En mars 2005, le SPLA avait tiré une nouvelle fois la sonnette d’alarme sur la situation. “La sécurité aérienne a atteint un seuil critique”, avaient dénoncé les pilotes syndicalistes.

          Une guerre de communiqués avait même ponctué, en 2004, le bras de fer entre la direction générale et le syndicat d’entreprise d’Air Algérie sur l’orientation donnée à la compagnie.

          Les différents représentants syndicaux n’ont eu de cesse de dénoncer ces dernières années la “dégradation” de leurs relations et conditions de travail. L’argument est à chaque fois le même : “Dialogue de sourds…” Air Algérie se retrouve à chaque nouvel incident dans une zone de turbulences.

          Samar Smati
          17 Août 2006 Liberté
          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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          • #6
            air algerie

            slt a tous pour vous dire q uair algerie a renouvelle sa flotte complete depuis 2004 un des seul pays du reste il faudrait voir du cote de la maintenance ont a les meilleurs pilotes au monde

            Commentaire


            • #7
              slt a tous pour vous dire q uair algerie a renouvelle sa flotte complete depuis 2004 un des seul pays du reste il faudrait voir du cote de la maintenance ont a les meilleurs pilotes au monde

              Reponse:
              On a les meilleurs pilotes du monde, les meilleurs medecins du monde, les meilleurs militaires du monde, le meilleur president du monde, et pourtant ....

              Commentaire


              • #8
                les destinations que cette compagnie dessert risquent bien d'interdir sur leur sol air Algérie.
                Nina

                Ton VOEUX ne sera pas exaucé..... tout comme les précédents. Faudra repasser.

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                • #9
                  Decidement on rigole bien chez Benouis.

                  L’équipage d’un avion d’Air Algérie a été obligé, avant-hier, d’annuler le vol 6650 d’Alger-Ain Amenas et d’opérer un atterrissage forcé à Hassi Messaoud (sud) suite à une panne du réacteur droit, 40 passagers étaient à bord. L’avion a été sauvé de justesse grâce à la perspicacité des passagers et à l’expérience de l’équipage.
                  Les voyageurs du vol 6650 ont vécu une frayeur et une panique sans précédent à bord d’un avion de type TR 500, leur voyage s’est transformé en véritable aventure. Les passagers ont été les premiers à se rendre compte que le réacteur s’est arrêté après 20 minutes du décollage de Hassi Messaoud (après y avoir fait escale).
                  Ils ont immédiatement averti l’équipage qui a décidé de rebrousser chemin pour éviter quelconque risque, l’avion s’est posé avec peine grâce à l’expérience du pilote qui a su contrôler la situation en dépit d’une tempête de sable qui a déséquilibré l’avion et a failli le faire tomber alors qu’il essayé d’atterrir.
                  La souffrance des voyageurs ne s’est pas arrêté là elle s’est poursuivie après le sinistre à cause de l’absence d’une prise en charge psychologique des femmes et des enfants.
                  Cet incident intervient après six jours du crash d’un avion cargo Dimanche passé à Milan et la mort de son équipage, rappelant les accidents de Ghardaïa et Tamanrasset et d’autres accidents qui n’ont pas été déclarés. Ce qui soulève la question de la sécurité aérienne et la qualité des avions.
                  Source Al Khabar

                  Commentaire


                  • #10
                    decidement les problemes aeronautiques surviennent toujours par series.
                    rappelez vous la série il y a 3 ans.la boite noire nous dira ce qu'il faut incriminer.
                    avant on ne fera que des spéculations.
                    il parait d'apres l'expresion que l'avion allait s'écraser sur le village .le commandant de bord l'a dévié au dernier moment pour aller s'écraser dans une zone inhabitée.chapeau.

                    Commentaire


                    • #11
                      decidement les problemes aeronautiques surviennent toujours par series.
                      rappelez vous la série il y a 3 ans.la boite noire nous dira ce qu'il faut incriminer.
                      avant on ne fera que des spéculations.
                      il parait d'apres l'expresion que l'avion allait s'écraser sur le village .le commandant de bord l'a dévié au dernier moment pour aller s'écraser dans une zone inhabitée.chapeau.


                      Reponse:
                      Avec Air Algerie il existe toujours des problemes. Et le comportement des agents de comptoir n'est que le reflet du back ground y compris celui des agents de maintenance qui sont recrutes et envoyes en formation selon des criteres qui n'ont rien a voir avec la competence et la conscience professionnelle.

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                      • #12
                        Faudra les envoyer chez tes copains de la "EL AL".

                        Commentaire


                        • #13
                          sincérement je pense que la compagnie doit etre privatisé le plutot possible air algerie posséde de bon avions est de bon pilotes mais la gestion est catastrophique monsieur benouis est compagine doivent laisser la place a de jeunes compétence qui pourront gérer cette compagnie ou bien a des sociétés etrangéres .
                          salam

                          Commentaire


                          • #14
                            Tiens justement y a une coincee qui m'a fait penser a une histoire sur El Al.

                            C'est un auvergnat qui prend l'avion et l'hotesse de l'air, Israelienne, l'accueille avec un large sourire en lui lancant un "Shalom !!! " tres chaleureux. Alors furieux l'auvergnat lui repond " Chale femme !!!"
                            Dernière modification par Heliopolis, 19 août 2006, 01h23.

                            Commentaire


                            • #15
                              sincerement,je pense que la compagnie doit etre privatisé le plus tot possible
                              tout a fait daccord avec toi,ou avoir au moin de la concurence sur le plan national,car vue se qui se passe avec air algerie depuis quelques temp,sa craint d'y monter a bord

                              Commentaire

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