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Le parlement allemand rejette l elargissement de la minurso

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  • Le parlement allemand rejette l elargissement de la minurso

    Sahara : Le Bundestag rejette une proposition de l'opposition pour élargir la mission de la MINURSO


    Berlin -
    Le parlement allemand (Bundestag) a rejeté, jeudi soir, une proposition des partis de l'opposition appelant à l'extension de la mission de la MINURSO pour englober la question des droits de l'Homme au Sahara.






    map

  • #2
    Une association marocaine soutien l'extension des prérogatives de la MINURSO à la surveillance des droits humains au SO


    ven, 19/04/2013 - 12:22




    Rabat, 18 avril 2013 (SPS) La présidente de l'Association marocaine des droits de l'homme (AMDH), Khadija Ryadi, a exprimé son soutien à l'extension des prérogatives de la MINURSO afin de surveiller les droits de l’homme au Sahara occidental.

    "Aucun défenseur des droits de l’homme dans le monde ne peut s’opposer à une décision de ce genre et un mécanisme des droits de l'homme doit être équilibré et indépendante dans tous les régions ", a soutenu Mme Khadija Ryadi, dans une interview publiée par le site marocain "Goud".

    Elle a également rappelé que l’élargissement du mandat de la MINURSO a été réclamé par Human Rights Watch dans son rapport de 2008, ajoutant que son association avait soutenu auparavant, cette demande dans un communiqué.

    "La surveillance des droits de l'homme au Sahara occidental, doit être effectuée par les Nations Unies à travers un mécanisme onusien qui respecte les normes internationales dans ce domaine et qui bénéficie d'une autonomie réelle", a souligné Mme Ryadi.

    Pour sa part, le vice-président de l'Association marocaine des droits de l'homme, Abdalilah Benabdesselam, a qualifié l'extension des prérogatives de la Minurso comme de "pas important" qui aura des effets positifs sur les droits de l'homme dans la région et sur la question du Sahara occidental.

    M. Benabdesselam a confirmé que son association (AMDH) soutien depuis longtemps l'extension des prérogatives de la MINURSO pour surveiller et protéger les droits de l’homme dans le Sahara occidental, soulignant que cette proposition a été réclamée par plusieurs organisations, dont "Amnesty International" et "Human Rights Watch ".

    "Pourquoi le Maroc a-t-il peur de cette extension alors qu’il affirme que les droits de l'homme sont respectés ?", s’est interrogé le militant des droits de l'homme marocain. (SPS)

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    • #3
      L'élargissement du mandat de la Minurso au contrôle des droits de l'Homme évoqué par l’Union africaine


      ven, 19/04/2013 - 13:21
      BANJUL (Gambie), 19 avril 2013 (SPS) La République arabe sahraouie démocratique (RASD) a appelé jeudi à Banjul la commission africaines des droits de l'Homme et des peuples (CADHP) à œuvrer à l'élargissement des missions de la Minurso au contrôle des droits de l'Homme, a indiqué une source proche de la délégation sahraouie sur place.

      Lors de sa participation aux travaux de le 58e session de la CADHP qui se tient à Banjul (Gambie) du 8 au 21 avril en cours, la RASD a appelé la commission africaine à faire pression pour l'élargissement de la mission de la Minurso à la surveillance des droits de l'Homme et l'élaboration de rapports sur les droits de l'Homme dans les territoires occupés.

      Le représentant de la RASD, membre du conseil constitutionnel et secrétaire général de l'union des juristes sahraouis, M. Abba El Haicen, a exhorté la CADHP à soutenir les revendications urgentes du Sahara occidental exprimées par plusieurs organisations influentes des droits de l'Homme.

      Pour sa part, la présidente de la Commission africaine des droits de l'homme et des peuples (CADHP), Mme Catherine Dupe Atoki, a fait part à l'ouverture des travaux de sa solidarité avec le peuple sahraoui et son soutien aux efforts internationaux en faveur d'un règlement du conflit au Sahara occidental.

      La délégation sahraouie a remis une lettre du ministre sahraoui des Affaires étrangères à la présidente du CADHP portant sur les derniers développements au Sahara occidental et les violations marocaines des droits de l'Homme dans les territoires sahraouis occupés. (SPS)

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      • #4
        Le parlement allemand rejette l elargissement de la minurso
        MOMO6 sauvé donc !

        Donc, les allemands vont opposé leur "véto" à l'ONU !

        Héhé !

        Héeeuuu.... j'ai dit une bétise ????
        Dernière modification par absent, 19 avril 2013, 17h35.

        Commentaire


        • #5
          Plateforme de solidarité avec le peuple sahraoui: les délégués reçus à l’Assemblée nationale française


          jeu, 18/04/2013 - 13:30

          Paris, 18 avr 2013 (SPS) Des délégués de la Plateforme de solidarité avec le peuple sahraoui ont été reçus mercredi soir en audience par un représentant du groupe socialiste de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française, a-t-on constaté sur place.
          Cette audience s’est déroulée alors qu’une manifestation de soutien à la cause sahraouie se tenait, à initiative de la Plateforme, à proximité du siège de l’assemblée.
          L’audience a porté sur les mots d’ordre de la manifestation, à savoir la situation des prisonniers politiques sahraouis et le référendum d’autodétermination au Sahara occidental.
          La question du respect et de la surveillance des droits de l’homme dans le cadre de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso), "en s’appuyant sur la proposition du secrétaire général de l’Onu Ban Ki- Moon pour un mécanisme impartial et permanent a également été discutée", a indiqué à l’APS le responsable de la Plateforme, Jean-Paul Lemarec au terme de la rencontre.
          "Nous avons déclaré avec force espérer que la France ne s’opposera pas à cette proposition qui est relayée maintenant par les Etats-Unis, qui l’ont proposé officiellement à discussion la semaine prochaine au Conseil de sécurité", a-t-il dit.
          La proposition américaine d'élargir les prérogatives de la Minurso au respect des droits de l'homme devrait être intégrée à un projet de résolution au Conseil de sécurité que Washington a fait circuler auprès du groupe des "amis du Sahara occidental", qui comprend les Etats-Unis, la France, l'Espagne, la Grande-Bretagne et la Russie, selon des sources diplomatiques à l’Onu.
          Ce projet de résolution est aussi destiné à proroger d'un an le mandat de la Minurso et doit être mis aux voix dans le courant du mois d’avril.
          L’autre point évoqué lors de cette audience, est celui de l’intérêt de concrétiser la mise en place d’un groupe d’étude sur la Sahara occidental, qui soit en mesure de sensibiliser et informer les députés sur la situation dans les territoires occupés.
          "Un groupe d’étude comme il en existe depuis des années au niveau du parlement européen et qui regroupe plusieurs pays et autant de groupes politiques", a fait valoir le responsable de la Plateforme de solidarité avec le peuple sahraoui.
          Il a indiqué également que le représentant du groupe socialiste a promis que cette idée sera soumise à la Commission des affaires étrangères. "Ce qui signifie que la décision n’a pas encore été prise malgré une année de discussions, depuis la venue d’un gouvernement socialiste et suite à plusieurs rencontres", a regretté Jean-Paul Lemarec.
          Le représentant du groupe socialiste aurait avancé aussi une autre proposition selon laquelle ce groupe d’étude sera dans un premier temps, installé au sein de la commission des affaires étrangères, quitte à le placer plus tard au sein de l’assemblée. "Une réponse devrait nous être donnée dans les meilleurs délais", a rapporté Jean-Paul Lemarec.
          Un groupe d’étude destiné à analyser la situation au Sahara occidental. Cette instance, a-t-il insisté, "n’est pas destiné à prendre des positions politiques, mais à organiser des auditions pour instaurer un échange de vues, analyser la situation dans les territoires occupés, informer et sensibiliser sur cette question avec des arguments contradictoires".
          Il a regretté cependant que cette information et cette sensibilisation "n’existent pas en France, ni dans les médias français". "On voudrait, qu’au moins, dans cette assemblée, les députés puissent être informés régulièrement sur la réalité. C’est cela notre objectif", a-t-il dit.
          Il a espéré aussi qu’"à force de rencontrer les députés, à force aussi de voir l’opinion publique réagir, et les médias en parler, il y aurait une meilleure prise en compte de la situation au Sahara occidental".
          De son point de vue, Il est important que la France et le gouvernement français "acceptent vraiment l’autodétermination du peuple sahraoui, pas seulement dans les textes des résolutions de l’Onu", a-t-il dit.
          Il s'agit de l'organisation d'un referendum d’autodétermination du peuple sahraoui, et d'appuyer la proposition du secrétaire général de l’Onu pour un mécanisme international de surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental dans les territoires occupés, mais aussi dans les camps réfugiés", a précisé Jean-Paul Lemarec.
          Il a enfin espéré, au nom de la Plateforme, que la France "ne continuera pas à appuyer le Maroc de façon continue mais se range derrière l’application du droit international".
          Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a récemment déclaré que la position de la France dans le conflit du Sahara occidental "demeurait confuse" et méritait d’"être clarifiée", estimant que les principes de la démocratie, des droits de l’homme, des droits de l’homme et du droit à l’autodétermination "ne peuvent faire l’objet de marchandage".
          Inscrit depuis 1965 sur la liste des territoires non autonomes, et donc éligible à l’application de la résolution 1514 de l’Assemblée générale de l’Onu portant déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples coloniaux, le Sahara occidental est la dernière colonie en Afrique, occupé depuis 1975 par le Maroc, soutenu par la France. (SPS)

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          • #6
            Première rencontre de concertation à Alger entre les comités algérien et tunisien de solidarité avec le peuple sahraoui


            jeu, 18/04/2013 - 21:02
            ALGER, 18 avril 2013 (SPS) La première rencontre entre le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS) et son homologue tunisien, mis en place en mars dernier à Tunis en marge du Forum social mondial, a été organisée jeudi à Alger et consacrée à la concertation autour des plans futurs et des propositions pratiques pour soutenir la cause sahraouie.

            La rencontre à laquelle ont pris part des représentants de la société civile algérienne, une délégation tunisienne composée d'une trentaine de membres, dont des juristes et des organisations juvéniles et féministes, a permis de mettre en évidence la nécessité d'intensifier les efforts entre les deux comités afin d'aboutir à des actions concrètes en faveur du peuple sahraoui dont les droits sont violés par la Maroc qui "fait fi de la légalité internationale", selon les participants.

            "La cause sahraouie est une "question politique et juridique par excellence et le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination est un droit légitime", ont souligné les intervenants tunisiens et algériens, qui ont été unanimes à dire qu'"on ne saurait parler de Maghreb arabe uni" tant que le peuple sahraoui "reste sous occupation marocaine".

            Ils ont, en outre, déploré le fait qu'un Etat maghrébin soit "occupé par un pays frère" et que son peuple "subit les pires injustices", avant de réitérer leur ferme volonté de continuer à défendre la cause sahraouie. La partie tunisienne s'est dit prête à se concerter avec le CNASPS et l'ensemble de la société civile algérienne pour oeuvrer conjointement à l'établissement d'une coopération "sérieuse" et "efficace" en vue de régler le problème du Sahara Occidental et parvenir à édifier un Maghreb arabe uni dans la fraternité, la solidarité, le bon voisinage, la sécurité et la paix.

            S'agissant de la relation entre la question sahraouie et le peuple tunisien, les représentants de la société civile tunisienne ont reconnu que cette question reste "méconnue" auprès de l'opinion publique tunisienne en raison des "restrictions politiques" en matière de libertés et des droits de l'Homme sous l'ancien régime.

            Ils se sont engagés à faire connaître davantage la cause sahraouie au sein de la société tunisienne et dans les milieux estudiantins en l'évoquant de manière permanente à travers la presse écrite et les autres médias face au black-out médiatique qui minimise l'importance de la question.

            Par ailleurs, le président du CNASPS, Mahrez Lamari a réitéré, lors de cette rencontre, la position inaliénable de l'Algérie vis-à-vis du droit du peule sahraoui à l'autodétermination, appelant le Conseil de sécurité à assumer ses responsabilités concernant la question sahraouie devant les "manipulations" du Maroc qui présente, a-t-il dit, des projets de solutions à caractère colonialiste.

            Il a appelé les Nations Unies à "accélérer" la mise en place d'un mécanisme qui garantisse la protection des droits sahraouis dans les territoires occupés.

            La délégation représentant le comité tunisien de solidarité avec le peuple sahraoui devra effectuer, à partir de jeudi, une visite de deux jours aux camps des réfugiés sahraouis. (SPS

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            • #7
              L’élargissement des pouvoirs de la MINURSO est un "message fort "au gouvernement marocain


              jeu, 18/04/2013 - 20:52
              Dublin (Irlande) 17 avril 2013 (SPS) La Fondation internationale pour la protection des défenseurs des doits de l’homme (Front line defenders), a considéré l’élargissement des pouvoirs de la MINURSO à la surveillance et la protection des droits de l’homme au Sahara occidental un "message clair et fort" au gouvernement marocain, dans un communiqué publié mardi sur son site web.

              La directrice de Front line defenders, Marie Lawlor, a exprimé son soutien ferme au rapport du SG de l’ONU qui a appelé à l’élargissement du mandat de la MINURSO afin de surveiller et protéger les droits de l’homme au Sahara occidental, considérant cette étape comme un message fort au Royaume du Maroc.

              Mme Lawlor a souligné que "les défenseurs des droits de l'homme au Sahara occidental ont afronté des hauts risques tels que la torture, la détention arbitraire, les disparitions forcées et d'autres violations des droits de l'homme."

              Elle a également rappelé la bataille menée par la défenseuse sahraouie des droits de l’homme Aminetou Haidar contre les campagnes d'intimidation et de harcèlement du régime marocain.

              Front line defenders a souligné que la question qui sera discutée au Conseil de sécurité représente un progrès positif et pour cause, des centaines de milliers de militants sahraouis des droits de l'homme seront protégés. (SPS)

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