Le ministère des Travaux publics se soucie peu du confort des usagers de l’autoroute Est-Ouest et ignore le droit des automobilistes à l’information. Jeudi dernier en fin de journée, un embouteillage de plusieurs kilomètres s’est formé avant le premier tunnel de Bouzegza, en partant d’Alger vers Bouira. Les automobilistes, des centaines, ont passé près de deux heures dans ce bouchon et beaucoup ont été surpris par le blocage dû à des travaux entamés dans ce tunnel pour l’installation d’équipements de sécurité, selon la gendarmerie. Ces travaux n’ont été signalés ni par l’Agence nationale des autoroutes (ANA) ni par l’Algérienne de gestion des autoroutes (AGA).
A l’approche du tunnel, des pneumatiques usagés alignés sur la chaussée et des plaques de signalisation sont installés anarchiquement, obligeant les automobilistes à réduire la vitesse. Les conducteurs, dont beaucoup de familles avec des enfants, en partance vers les villes de l’Est, se sont retrouvés bloqués dans un encombrement, sans aucune possibilité de faire demi-tour, faute d’échangeurs. Aucune station-service n’est érigée sur ce tronçon pour permettre aux voyageurs de se reposer. La gendarmerie n’était pas présente pour réguler la circulation et assurer la sécurité des automobilistes contre d’éventuelles agressions. L’anarchie règne sur l’autoroute Est-Ouest, en raison notamment de l’absence d’une société de gestion et d’entretien.
TSA
Ali Idir
A l’approche du tunnel, des pneumatiques usagés alignés sur la chaussée et des plaques de signalisation sont installés anarchiquement, obligeant les automobilistes à réduire la vitesse. Les conducteurs, dont beaucoup de familles avec des enfants, en partance vers les villes de l’Est, se sont retrouvés bloqués dans un encombrement, sans aucune possibilité de faire demi-tour, faute d’échangeurs. Aucune station-service n’est érigée sur ce tronçon pour permettre aux voyageurs de se reposer. La gendarmerie n’était pas présente pour réguler la circulation et assurer la sécurité des automobilistes contre d’éventuelles agressions. L’anarchie règne sur l’autoroute Est-Ouest, en raison notamment de l’absence d’une société de gestion et d’entretien.
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