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Après une suspension de cinq ans des négociations, l’Algérie souhaite accélérer le processus de son adhésion à l’OMC. L’Algérie a présenté 12 documents qui répondent aux exigences d’adhésion, qui seront examinées dans un nouveau rapport publié par le cabinet de recherche économique et de conseil Oxford Business Group (OBG), indique le groupe dans un communiqué.
Après une suspension de cinq ans des négociations, l’Algérie souhaite accélérer le processus de son adhésion à l’OMC. L’Algérie a présenté 12 documents qui répondent aux exigences d’adhésion, qui seront examinées dans un nouveau rapport publié par le cabinet de recherche économique et de conseil Oxford Business Group (OBG), indique le groupe dans un communiqué. «The Report: Algeria 2013» explorera les démarches entreprises par le pays pour élargir ses relations commerciales, qui ont conduit à une augmentation considérable des exportations vers l’Asie, précise OBG. Y seront également retracés les efforts déployés par le pays pour développer les secteurs hors hydrocarbures de l’économie, plus particulièrement en matière de production agricole et de tourisme, ajoute la même source. OBG a une fois de plus signé un mémorandum d’accord de recherche avec la Chambre Algérienne de Commerce et de l’Industrie (CACI) pour l’élaboration du nouveau projet du groupe. En vertu du mémorandum d’accord, OBG aura accès à l’expertise et aux ressources de recherche de la CACI afin de compiler les données nécessaires à la rédaction de The Report: Algeria 2013. Pour Robert Tashima, directeur éditorial pour l’Afrique de l’Ouest chez OBG, malgré les troubles qui ont agité la région et le ralentissement de la zone euro, les paramètres économiques fondamentaux algériens demeurent très attractifs, cite OBG. «S’il existe encore un certain nombre de contraintes réglementaires sur le court-terme qui réfrènent l’enthousiasme des investisseurs, il y a beaucoup de potentiel pour les entreprises qui ont des perspectives sur le long terme,»a-t-il déclaré. Mohamed Chami, directeur général de la CACI, a expliqué que la chambre de commerce allait identifier les secteurs de l’économie algérienne qui présentent un fort potentiel tout en réfléchissant aux mesures que le pays pourrait prendre pour améliorer son climat d’affaires. «Nous pensons que l’Algérie va intensifier ses efforts pour faire naître un environnement plus favorable aux entreprises et faciliter les investissements à l’heure où elle construit de nouvelles relations commerciales durables, ce qui serait dans la logique des ambitions du pays de se rapprocher d’une croissance à deux chiffres,» a-t-il analysé.
le financier
Après une suspension de cinq ans des négociations, l’Algérie souhaite accélérer le processus de son adhésion à l’OMC. L’Algérie a présenté 12 documents qui répondent aux exigences d’adhésion, qui seront examinées dans un nouveau rapport publié par le cabinet de recherche économique et de conseil Oxford Business Group (OBG), indique le groupe dans un communiqué. «The Report: Algeria 2013» explorera les démarches entreprises par le pays pour élargir ses relations commerciales, qui ont conduit à une augmentation considérable des exportations vers l’Asie, précise OBG. Y seront également retracés les efforts déployés par le pays pour développer les secteurs hors hydrocarbures de l’économie, plus particulièrement en matière de production agricole et de tourisme, ajoute la même source. OBG a une fois de plus signé un mémorandum d’accord de recherche avec la Chambre Algérienne de Commerce et de l’Industrie (CACI) pour l’élaboration du nouveau projet du groupe. En vertu du mémorandum d’accord, OBG aura accès à l’expertise et aux ressources de recherche de la CACI afin de compiler les données nécessaires à la rédaction de The Report: Algeria 2013. Pour Robert Tashima, directeur éditorial pour l’Afrique de l’Ouest chez OBG, malgré les troubles qui ont agité la région et le ralentissement de la zone euro, les paramètres économiques fondamentaux algériens demeurent très attractifs, cite OBG. «S’il existe encore un certain nombre de contraintes réglementaires sur le court-terme qui réfrènent l’enthousiasme des investisseurs, il y a beaucoup de potentiel pour les entreprises qui ont des perspectives sur le long terme,»a-t-il déclaré. Mohamed Chami, directeur général de la CACI, a expliqué que la chambre de commerce allait identifier les secteurs de l’économie algérienne qui présentent un fort potentiel tout en réfléchissant aux mesures que le pays pourrait prendre pour améliorer son climat d’affaires. «Nous pensons que l’Algérie va intensifier ses efforts pour faire naître un environnement plus favorable aux entreprises et faciliter les investissements à l’heure où elle construit de nouvelles relations commerciales durables, ce qui serait dans la logique des ambitions du pays de se rapprocher d’une croissance à deux chiffres,» a-t-il analysé.
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