Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Investissements majeurs dans le secteur energetique au maroc

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Investissements majeurs dans le secteur energetique au maroc

    Construction d un terminal gazier pour importer 3 a 5 milliards de m3 de gaz par an;des centrales eoeliennes de 1000 Mw soit le quart de la consommation marocaine en energie electrique;le secteur energetique au maroc est en pleine expansion

    ************************
    Electricité: Ce qui va changer avec la libéralisation

    • Production indépendante: Les gros marchés de retour

    • Gaz naturel : L'ONE pourrait importer 3 à 5 milliards de m3 par an

    • Eolien: Des projets pour 1.000 MW

    • Ambitions à l'international

    LE Maroc se prépare pour la dernière phase de la libéralisation du secteur avec une plus grande participation privée afin d'aider à satisfaire une demande croissante.

    Un certain nombre de projets de consultation ne correspondent déjà pas à l'offre, et une impressionnante liste de projets à gros budget est attendue, incluant un éventuel terminal de gaz naturel sur la côte atlantique afin d'importer du gaz naturel liquéfié pour les centrales électriques. Promoteurs, prenez notes: les projets de production indépendante, auxquels le Maroc a ouvert la voie avec succès dans les années 90, sont à nouveau au programme. Ceux-ci parmi un vaste éventail de thèmes abordés par Younes Maamar, DG de l'ONE dans un entretien à African Energy réalisé par Jon Marks (qui est également le correspondant de L'Economiste à Londres).

    «L'objectif est d'obtenir le minimum de kilowatt par heure simultanément à la croissance de la demande», a-t-il affirmé. «C'est devenu un objectif-clé vu la croissance de la demande et le défi que livre le milieu de l'énergie».

    L'ONE a une réputation solide en matière de technique et de gestion (ndlr: grâce à l'excellent travail réalisé par Driss Benhima, il faut le reconnaître), même si Maamar concède que si «les ressources humaines de l'ONE constituent son point fort», une capacité de construction supplémentaire était nécessaire avant que le système ne puisse être totalement libéralisé.

    Il n'y a, pour l'instant, aucun planning de libéralisation totale qui, lui, nécessitera des modifications législatives. Mais la plupart des réformes nécessaires ont déjà été mises en place, ou sont en cours.

    L'ONE a choisi Allen & Overy, cabinet d'avocats à vocation internationale basé à Londres, pour analyser tous les contrats courants et travailler sur les structures. Un tel travail est essentiel, affirme Maamar. Dans le trousseau hérité des anciennes structures de l'Etat, virtuellement aucun contrat ne régule aujourd'hui les relations entre les branches de transfert et de distribution de l'ONE, ni entre les sociétés de transfert et les services régionaux, même si les principales régies sont en gestion privée (exemple de la Lydec à Casablanca). A la place de contrats, leurs relations sont régies par des clause désuètes et déséquilibrées, dont certaines ont été dressées dans les années 20.

    Maamar est persuadé que les changements que l'ONE met en place aujourd'hui, comme celui de soumettre à des contrats tous les échanges énergétiques, vont être les précurseurs de ce qui constitue l'éventuelle libéralisation légale du système; auquel stade l'ONE perdra la plupart de ses statuts de régulateur, et sera l'égal des autres firmes dans la compétition. Les conseillers techniques et financiers qui travailleront sur ces réformes ont été choisis mais les noms n'ont pas encore été communiqués.

    Qui fait venir les investisseurs dans une centrale électrique? Cela ne peut pas être le gouvernement à lui seul, parce que c'est un marché à capitaux intenses qui nécessite des promoteurs et des marchés monétaires qui ont, en conséquence, leur mot à dire dans la structuration d'un projet énergétique», ajoute Maamar.

    Il affirme que le «transfert est l'épine dorsale du système, et que l'on doit réallouer des capitaux provenant de la production pour consolider cela».

    Les interconnexions sont une possible source d'augmentation de la capacité. L'interconnexion sous-marine de l'ONE avec la société Red Eléctrica de Espana, qui relie le Maroc à l'Espagne, est en train d'augmenter sa capacité afin d'atteindre 1.400 MW (les tests sur la nouvelle ligne ont commencé en juin dernier) et Maamar voit encore un important potentiel en ce lien.

    Après s'être tourné vers le développement des nouveaux projets de production indépendant comme moyen d'accroître sa capacité, l'ONE a établi un plan pour implanter des centrales sur des bases marchandes, en utilisant le projet Al Wahda et ses 800 MW comme modèle. Alstom, Siemens et General Electric / Tecnicas Reunidas ont soumis des offres, mais les travaux sur Al Wahda n'ont pas progressé. Le Maroc possède une série de sources de combustibles d'où il pourrait produire. La Compagnie privée de Jorf Lasfar fonctionnant au charbon -charbon importé-, Maamar estime que «le charbon a un avenir au Maroc».

    Tout comme le gaz, aujourd'hui plus potentiellement importé sous forme de gaz naturel liquéfié, plutôt que d'augmenter davantage les importations du voisin algérien.

    Maamar confirme que l'ONE travaille sur un projet d'importer 3 à 5 milliards de m3 par an pour une centrale de regazeification, le tout avec deux leaders locaux du secteur, Akwa group, et la Samir. Le processus en est au choix d'un conseiller financier, qui sera chargé de dresser l'offre afin que des propositions puissent être faites pour lancer un schéma de type construction-activation-transfert.

    Les partenaires ont d'ores et déjà rencontré les pourvoyeurs potentiels. Maamar a affirmé qu'ils ont reçu «un intérêt fort et encourageant pour ce projet».

    «Importer plus de gaz algérien n'est pas mon objectif, puisque cela fait partie de la politique énergétique de diversifier nos sources de ravitaillement», a-t-il ajouté.

    L'ONE est l'un des rares services africains à avoir développé un programme renouvelable, basé sur d'abondantes ressources éoliennes, autour de Tanger et du détroit de Gibraltar dans le Nord, et Tarfaya et autres emplacements sur la côte atlantique dans le Sud.

    «Nous préparons actuellement une initiative d'éolienne à 1.000 MW basée à Taza et dans le Rif, ainsi qu'à Tarfaya et dans le Sud», confie Maamar. L'ONE lance une offre pour obtenir et évaluer la «qualité des données éoliennes», pour ainsi certifier la ressource éolienne (une procédure accomplie par des spécialistes comme Garrad Hassan & Partners basés au Royaume-Uni, et les Hollandais de Fortis Windenergy).

    Maamar s'intéresse déjà à l'identification de trois sites sur cinq, plus une salle de données.

    L'ONE fera lui-même des enchères

    Faire fonctionner les éoliennes en incluant les moyens de l'ONE «nécessite une grille d'évaluation». Comme l'a fait observer Maamar, «plus vous placez d'unités thermiques, plus vous pouvez installer d'éoliennes». Il a constaté que les «très fructueuses relations» avec Red Eléctrica de Espana traçaient davantage le potentiel du Nord.

    Parmi les grands projets de transfert figure le doublement des 220 KV reliant Boujdour, dans le nord du Sahara, qui devrait accroître la stabilité du système et évacuer les éoliennes. Pour désenclaver la région, l'ONE prévoit aussi un lien Dakhla - Laâyoune de 225 KV et une ligne de 400 KV reliant Laâyoune à Tanger (dont la tranche jusqu'à Chichaoua devrait être bientôt prête).

    Le prochain projet d'envergure impliquera le montant de l'offre de l'Environment Power Corporation (EPC) pour un projet de 100MW à Essaouira, et dont les travaux commenceront à la fin de l'année 2006, suivi d'un projet d'éolienne de 140MW près de Tanger. Non seulement ces projets vont augmenter la capacité, «mais ils nous aideront à forger notre compétence en matière d'énergie éolienne», assure Maamar.

    Au terme de ces programmes, les projets de production indépendante d'énergie éolienne seront soumis à l'offre, et l'ONE fera lui-même des enchères puisqu'il ne sera plus contraint d'être le régulateur gouvernemental du marché de l'énergie.

    L'ONE demeure ainsi engagé dans l'énergie éolienne même si «cela continue d'être très coûteux; c'est un marché d'équipement industriel». Il y a un soutien des institutions financières pour développer les projets d'éoliennes, et du gouvernement pour assurer la bonne utilisation des engagements et du régime fiscal. Le financement concessionnaire peut être réservé à couvrir les payements une fois la dette prioritaire retirée.

    Maamar est focalisé sur les projets de marché locaux en se mobilisant pour les financer. Les banques marocaines ont déjà un bon taux de participation dans le financement et les obligations de sociétés dans les projets à gros budget.

    Et si ce n'est pas assez, l'ONE a des ambitions d'extension à l'étranger. Les précédents efforts pour participer à la privatisation de Senelec au Sénégal et de Somelec en Mauritanie ont échoué. Mais l'ONE «veut tirer profit de ses expériences», ce qui évoquerait la possibilité de postuler pour d'autres projets sur le continent, a conclu Maamar.

    http://www.kompass.ma/actualite/deta...enu=1&niveau=1

  • #2
    Peut etre que le chamboulement ènergitique et les enjeux geostratigique qui entours cette ressource,donnera un prèlude à un rapprochement algero marocain,de fait que le maroc dispose d'un marchè très lucratif,et l'Algerie les ressources necessaires,pour quoi pas une prise de participation de Sonatrach aux projets aux maroc,et surtout de la part de NAFTAL avec ses reseaux de distribution d'essences et Mazout,comme il est avec la Mauritanie.
    la geurre c'est la paix,la démocratie c'est la dictature,l'ignorance c'est la liberté.

    Commentaire


    • #3
      Il faut juste retirer les dossiers de candidatures pour ca quand ils seront pret

      Commentaire


      • #4
        Le Maroc sera bien gagnant en passant par un contrat de grè à grè avec l'Algerie qui dispose de cette énergie,plutot de le faire comme tu le dit par des dossiers de soumissions, ou en retrouve des compagnies ou leurs solde est le profit.Avec leur voisin il sortirons gagnant. Si ,bien sur la politique ne se mele pas de tous ça.
        la geurre c'est la paix,la démocratie c'est la dictature,l'ignorance c'est la liberté.

        Commentaire


        • #5
          Donc il est prévu une augmentation des importations pétrolieres et gazieres au Maroc. J'ai deux remarques a faire sur cela:

          - La premiere c'est qu'il soit regrettable que le Maroc refuse d'envisager un approvisionement Algérien. Particulierement en ce qui concerne le gaz naturel. Cela aurait eut des avantages pour nous deux pourtant. Coté Algérien ca nous aiderait a atteindre une exportation de 80 milliards de m3/an plus rapidement. Coté Marocain cela eviterait les dépenses liés au transport puisqu'il arriverait directement par gazoduc terrestre. L'approvisionement par voie maritime necessite la construction d'au moins une station de déliquéfaction. Ces dernieres coutent au moins 2 milliards de $ pour la quantité envisagée. Et cela se répercutera sur le prix de détail du marché Marocain, pour ne parler que du prix de la station de déliquefaction en soit. Sans parler des avantages politiques que ceci aurait induit pour nous deux.

          - La deuxiéme c'est que vu que le secteur de l'energie est deja libre d'acces au privé au Maroc, comment fera la Caisse de Compensation qui assume jusque là les differences entre prix du marché international et prix du marché national? Si cette hausse des importations est mise en oeuvre cela fera grimper la somme alloué à cette caisse ce qui se repercutera sur le budget national. Sinon la caisse devra eliminer les compensations, ou les reduire, ce qui signifie qu'il y aura une hausse du prix au détail.


          Au plaisir,
          66
          Dernière modification par double6, 22 août 2006, 00h05.

          Commentaire


          • #6
            @ double 6

            En ce qui concerne le premier point, le maroc importe déja une quantité non négligeable du gaz algérien.
            Et pour le deuxieme point, il n'y a pas de caisse de compensation en ce qui concerne l'energie.

            Salutation Oujdi.
            إِن تَنصُرُوا الله ينصُركُم الله، الوطن، الملك

            Commentaire


            • #7
              Dèsolè. mais le Maroc n'importe pas une quantitè non nègligeable du gaz Algerien comme tu le dis,[U]mais il retire une partie des exportations Algeriennes vers l'Espagne en transitant par le sol marocain.
              Vu le problème entre les deux pays ,chacun s'entete a sa manière malgrès les retomber nègatifs pour les deux,pour le Maroc il a deja fait batir des installation et des connections en gaz pour ses entreprises,pour en profiter de cette manne et faire decoller les entreprises marocaines de cette ènergie a moindre couts ce qui vas jouer un role important a reduire leurs couts et etre compitivifs sur le marchè de l'exportation.Mais le non reglement de deferent entre politiciens rend la partie delicate pour le maroc,surtout qui, au lieu de s'approvisionner en gaz ou au mieux renegocier le contrat pour reconvertir la partie argent en produit gazier.il a preferer faire pression sur l'Algerie pour augmenter la quantitè qui reviens au maroc par le transite du pipeline,en suivant aveuglement les pressions faite par la Tunisie en meme moment,l'Algerie voyons les nègociations entre les deux pays impossible,elle a decidèe de faire construire deux pipe souterrains l'un vers l'Espagne ,l'autre vers l'Italie, pour repondre à la demande croissante pour ce produit. et ceux malgr leurs couts très dispendieux.
              la geurre c'est la paix,la démocratie c'est la dictature,l'ignorance c'est la liberté.

              Commentaire


              • #8
                Oujdi,

                - Le Maroc n'importe pas de gaz Algérien. Il peut percevoir environ 150 millions de m3/an au titre de passage du gazoduc Algérie-Espagne. Ce ne sont pas des importations mais un paiement de droit de passage. Le Maroc a l'option de percevoir ce droit en cash (50 milions de $/an) ou en gaz (equivalent à 50 millions de $/an) tel que consigné dans les accords.

                - Tu te trompes. Il existe bel et bien une subvention dans le secteur energetique dans votre pays, et ces dernieres coutent cheres au gouvernement. Toute la presse Marocaine en parle constament d'ailleurs. Et puis il suffit de lire le dernier rapport du FMI (article IV report - Juin 2006) pour le confirmer si tu ne crois pas la presse. Je cite:

                Furthermore, the increase in the retail prices of petroleum products only partially reflected the rise in international oil prices, leading to an increase of the subsidy expenditures on energy products.
                Traduction: "De plus, l'augmentation dans les prix aux détails des produits pétroliers refléte seulement en partie l'augmentation des prix du pétrole sur le marché international, ce qui mena à une augmentation des dépenses de subventions sur les produits energetiques".

                Source: http://www.imf.org/external/np/ms/2006/062006.htm

                Au plaisir,
                66

                Commentaire


                • #9
                  On ne demande que ca importer du gaz algeriens ^^

                  Commentaire


                  • #10
                    C'est peut etre ton souhait personel mais cela n'est pas le cas du Maroc en tant que pays, ni celui de AKWA et de la SAMIR qui sont les leaders du secteur energetique Marocain. Il suffit de lire l'article pour s'en rendre compte. Je cite:

                    Tout comme le gaz, aujourd'hui plus potentiellement importé sous forme de gaz naturel liquéfié, plutôt que d'augmenter davantage les importations du voisin algérien.

                    Maamar confirme que l'ONE travaille sur un projet d'importer 3 à 5 milliards de m3 par an pour une centrale de regazeification, le tout avec deux leaders locaux du secteur, Akwa group, et la Samir. Le processus en est au choix d'un conseiller financier, qui sera chargé de dresser l'offre afin que des propositions puissent être faites pour lancer un schéma de type construction-activation-transfert.

                    Les partenaires ont d'ores et déjà rencontré les pourvoyeurs potentiels. Maamar a affirmé qu'ils ont reçu «un intérêt fort et encourageant pour ce projet».

                    «Importer plus de gaz algérien n'est pas mon objectif, puisque cela fait partie de la politique énergétique de diversifier nos sources de ravitaillement», a-t-il ajouté.
                    Il est aisé de comprendre que derriére la décision de ces 2 partenaires se cache une décision politique. Car sinon ca leur reviendrait beaucoup moins cher d'acheter du gaz Algérien via un gazoduc. Ca aurait ete beaucoup plus interessant et ils l'auraient donc fait. D'un coté je comprends que l'etat Marocain a peur de dépendre de l'Algérie pour son approvisionement energetique. D'un autre coté ce genre de frilosité est regrettable.

                    Au plaisir,
                    66

                    Commentaire


                    • #11
                      Takamara
                      il a preferer faire pression sur l'Algerie pour augmenter la quantitè qui reviens au maroc par le transite du pipeline,en suivant aveuglement les pressions faite par la Tunisie en meme moment


                      De quelle pressions tu parles ? est- il possible d'exercer une pression quelconque ?
                      Ce secteur suit le contrat fait entre ses pays et la communauté europenne en plus des prix du carburant !!

                      Double6
                      La premiere c'est qu'il soit regrettable que le Maroc refuse d'envisager un approvisionement Algérien.

                      Le Maroc ne le fait pas par plaisir mais est cintreint de le faire !!! le carburant est un import strategique pour le pays et son avenement doit etre avant tout sûr !! ce qui n'est pas le cas pour l'Algerie vu l'instabilité de l' attitude du gouvernement algerien vis à vis de ses positions envers le Maroc !!
                      Inutil de dire qu'on n'importe pas l'energie necessaire pour toute la machnerie au Maroc comme on importe des cereales.

                      Il existe bel et bien une subvention dans le secteur energetique dans votre pays

                      Oui, je confirme la caisse de compensation existe (existait) au Maroc ! c'est elle qui a empeché la montée des prix du carburant en pompe les premiers années de la monté des prix !!

                      Mais depuis depuis le Maroc a introduit le systemes d'indexation des prix !! Je ne sais pas maintenent si au Maroc on a, suite a cette decision, abolit tous les suvbventions ou seulement une partie d'elles !!!

                      Il est aisé de comprendre que derriére la décision de ces 2 partenaires se cache une décision politique

                      C'est clair ! il est aussi et surtout d'ordre strategique !!
                      L'Algerie ne veut meme pas importer les Logans produit au Maroc et preferes les importer celle de Roumanie qui sont les memes et plus cher ! et là il ne s'agit que des voitures !

                      Comment veut tu que le maroc importe plus de 70 % de son energie d'un pays qu'on sait meme pas ce que va penser le gouvernement demain ??!!

                      Il faut d'abord creer un air de confiance et apres tout sera possible ... et rentable pour les deux pays !!

                      Commentaire


                      • #12
                        que le maroc veut acheter ailleur qu'il le fasse l'algérie va pénetrer le marché chinois et indiens en plus des marchés européens et americain c''est pas en vendant 1milliards de métre cubes au maroc que ça va faire la différence et les 85 milliards sonatrach va les attiendre avant la fin de cette année
                        salam

                        Commentaire


                        • #13
                          que le maroc veut acheter ailleur qu'il le fasse l'algérie va pénetrer le marché chinois et indiens

                          allah yebark !! persone ne l'empeche de le faire !! mais ca n'a rien a faire avec le sujet dont on parle !!

                          Commentaire


                          • #14
                            Ben double6 C'est tout l'interet de la privatisation, ca permet de se désengager par rapport a l'etat, et de penser economique plus que politique.
                            Apres je doute que l'Algerie aussi veuille nous vendre quoi que ce soit ^^
                            Je pense que c'est une situation de crise entretenue par les deux parties.

                            Commentaire


                            • #15
                              La pression!!!,mais le Maroc a voulu rèellement èchouer le doublement de la capaciter des exportation vers l'Espagne ,en demandant l'impossible,au lieu de profiter de cette aubaine par le dedoublement de la capacitè du gazoduc,donc construire un autre sur le sol marocain par la participation des entreprises marocaine ,la crèation de la main d'oeuvre,et benèficier de loyautè en gaz et argent.Ben voila,le gazoduc passera directement vers l'espagne via la cote Algerienne,.
                              L'Europe craint une penurie de gaz,après l'epuisement des reserves de la norvège,le ministre de l'energie russe n'a-il pas declarer que la demande interieure russe en gaz est plus importante et que les invesstissemnt que va conssentis le gouvernement pour les invesstissemnt a des fins d'exportation ne permette pas cela mais juste pour compler la demande propre de la russie.
                              Le dernier contrat de partenariat entre Gazpro et Sonatrach qui a fait couler beaucoup d'encre,qui est rester secret,n,est autre que le fait de faire intervenir Sonatrach a combler le defecite en apprivisionnemnt russe vers l'europe et dela respecter ses engagement contractuelle,l'europe ne cherche que securiser ses approvisionnement ce que l'Algerie leurs offre.
                              la geurre c'est la paix,la démocratie c'est la dictature,l'ignorance c'est la liberté.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X