Annonce

Réduire
Aucune annonce.

MAROC :bilan plan vert ,la production cérealiere pourrait atteindre 97 Millions de QX

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • MAROC :bilan plan vert ,la production cérealiere pourrait atteindre 97 Millions de QX

    Lors de cette cérémonie, le ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch, a prononcé une allocution devant S.M. le Roi dans laquelle il a présenté le bilan du Plan Maroc Vert à l’échéance 2012, ainsi que les perspectives et voies de développement à venir pour l’agriculture marocaine.
    Le ministre s’est ainsi félicité du choix stratégique opéré à travers la mise en œuvre du Plan Maroc Vert, soulignant que le produit intérieur brut agricole a enregistré au cours de la période 2008-2012 une augmentation de près de 32 % par rapport à la période de référence (2005-2007).
    Depuis son lancement, en 2008, le plan Maroc Vert a permis l’augmentation de 11 % des superficies cultivées (750 000 ha) et l’amélioration du rendement des principales filières de production, avec un taux qui varie entre 6 % pour les agrumes et 65 % pour les céréales, a précisé le ministre, notant une quasi-stabilité de l’indice des prix des produits alimentaires agricoles qui n’a pas dépassé les 13 %, contre 33 % au niveau international.
    Le plan Maroc Vert, qui fait de la promotion de la compétitivité du secteur agricole une de ses priorités, a permis également la relance des investissements dans ce secteur qui ont pu atteindre les 53 milliards de dirhams durant les cinq dernières années. Qualifiant d’exceptionnelle l’actuelle campagne agricole, M. Akhannouch a indiqué que la production globale de céréales pourrait atteindre 97 millions de q, dont 52 millions de q de blé tendre.
    Cette tendance haussière concernera également la production fourragère qui atteindra les 18 000 000 d’unités fourragères, a poursuivi le ministre, notant que la production fruitière a atteint, au cours de la saison actuelle, 12 millions de tonnes, soit une hausse de 163 %.
    La production d’olives a connu, quant à elle, une augmentation de 84 %, soit 1,4 million de tonnes d’olives, a-t-il noté, ajoutant que la superficie globale plantée en oliviers devra atteindre un million d’hectares avant fin 2013.
    La production de primeurs a enregistré, pour sa part, une certaine stabilité au cours de cette campagne, atteignant 1,7 millions de tonnes, a fait observer le ministre.
    L’amélioration des réserves fourragères, l’importation des génisses de races pures et la modernisation des unités d’élevage de volailles ont contribué au développement des différentes filières animalières, notamment la production de viandes rouges (460 000 tonnes), la production du lait (2,5 milliards de litres) et la production des viandes blanches (635 000 tonnes).
    Réitérant la détermination du gouvernement et des professionnels à poursuivre leurs actions pour la réalisation des objectifs du plan Maroc Vert, M. Akhannouch a affirmé que les cinq prochaines années seront l’occasion de consolider les acquis enregistrés, de répondre de plus en plus aux attentes des petits agriculteurs dans le cadre de l’agriculture solidaire et d’accorder la priorité aux zones montagneuses, le but étant de conforter la place du secteur en tant que levier de développement socio-économique.
    La cérémonie d’ouverture de ces assises, qui se tiennent sur le thème «Agri business et sécurité alimentaire : une meilleure valorisation du potentiel agricole», a été également marquée par un exposé prononcé par le Président Ali Bongo Ondimba sur le plan de développement de l’agriculture et des espaces de forêts «Gabon Vert».
    Dans le domaine agricole, a expliqué M. Bongo, le Gabon, qui dispose de terres propices à la culture, fait toutefois face à des difficultés relatives notamment à la faiblesse de la population agricole, aggravée par un exode rural intensif, un déficit en cadres agricoles, des infrastructures hydro-agricoles et logistiques encore peu valorisées.
    Relavant que le pilier «Gabon Vert», qui repose sur trois principaux axes, est très ambitieux, mais ses objectifs ne sauraient être atteints sans le soutien du secteur privé, le Président gabonais a rappelé les perspectives mondiales laissant apparaitre une tendance à l’accroissement des besoins pour les 20 années à venir. «Il nous revient donc de travailler de concert pour bâtir des économies solides, durables et dynamiques qui profiteront à toutes les parties», a-t-il affirmé.
    M. Bongo s’est, en outre, dit convaincu qu’au terme de ces assises, «le Gabon et le Maroc jetteront les bases de nouveaux rapports plus denses qui continueront l’exemple d’une collaboration et d’une intégration Sud-Sud exemplaire, à travers des partenariats fructueux et multiformes dans tous les secteurs».
    Par la suite, S.M. le Roi, accompagné du Président gabonais, a présidé la cérémonie de signature de quatre conventions entre le gouvernement et les professionnels du secteur visant le développement de l’agriculture marocaine et le renforcement de sa compétitivité.
    Au terme de cette cérémonie, le ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime a remis à S.M. le Roi un document relatif au bilan du Plan Maroc Vert.
    La cérémonie s’est déroulée en présence du président de la Chambre des conseillers, de conseillers de S.M. le Roi, de membres du gouvernement, des représentants du corps diplomatique accrédité au Maroc, de plusieurs acteurs et professionnels du secteur agricole, ainsi que d’autres personnalités civiles et militaires.
    À leur arrivée, S.M. le Roi et le Président gabonais, Ali Bongo Ondimba, ont passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs, avant d’être salués par le ministre de l’Intérieur, le ministre de l’Économie et des finances, le ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime, le ministre de l’Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, et le ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé des Affaires générales et de la gouvernance.
    Les deux chefs d’État ont été également salués par Julien Nkoghe Bekale, ministre de l’Agriculture, de l’élevage, de la pêche et du développement rural du Gabon, Mme Célestine Ba Oguewa, ministre déléguée gabonaise de l’Agriculture, et Mme Nina Abouna, directrice générale de l’Agence gabonaise de la promotion des investissements et des exportations.
    Le Souverain et le Président gabonais ont, par la suite, été salués par Mahmane El Hadji Ousmane, ministre de l’Élevage du Niger, Abdoulaye Moumouni Djermakoye, ambassadeur du Niger au Maroc, Miguel Angel Moratinos, ancien ministre espagnol des Affaires étrangères, Michel Georges Hage, représentant de la FAO au Maroc, Xavier Beulin, président de la Fédération des syndicats des exploitants agricoles français, Pierre Muger, directeur général de Bunge Company (société américaine spécialisée dans l’agroalimentaire), ainsi que par plusieurs autres personnalités civiles et militaires.
    La sixième édition des Assises de l’agriculture, organisée à la veille de la 8e édition du Salon international de l’agriculture (24 - 28 avril à Meknès), revêt une importance capitale pour le secteur agricole et constitue une occasion pour dresser le bilan de la politique agricole nationale. Elle permet également aux investisseurs nationaux et étrangers de définir les facteurs de blocage et les moyens d’y remédier.
    Lieu de réflexion stratégique pour le secteur agricole, cette rencontre, à dimension internationale, illustre parfaitement l’engagement du Royaume vis-à-vis de la stratégie de modernisation de l’agriculture.
    Prennent part à cette 6e édition plus de 1 000 participants, dont des opérateurs marocains et étrangers, les représentants des différentes filières d’agriculture, ainsi que les responsables des différents départements concernés et d’organismes financiers.
    Les quatre conventions signées sous la présidence de S.M. le Roi

    Voici les quatre conventions signées, mardi à Meknès, lors de la cérémonie d’ouverture de la 6e édition des Assises de l’agriculture, présidée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI :
    • Contrat-programme relatif au développement et à la mise à niveau de la filière sucrière, signé par Nizar Baraka, ministre de l’Économie et des finances, Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime, Abdelkader Amara, ministre de l’Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Mohamed Najib Boulif, ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé des Affaires générales et de la gouvernance, Mohamed Fikrat, président de la Fédération interprofessionnelle marocaine du sucre, président-directeur général de «Cosumar», et Abdelkader Kandil, président de l’Union nationale des producteurs des plantes sucrières.
    • Contrat-programme relatif au développement et à la relance de la filière des cultures oléagineuses, signé par Nizar Baraka, Aziz Akhannouch, Abdelkader Amara, Mohamed Najib Boulif et Samir Oudghiri Idrissi, président de la Fédération interprofessionnelle des cultures oléagineuses.
    • Convention de partenariat pour la promotion du pompage solaire dans les projets d’économie d’eau en irrigation, signée par Nizar Baraka, Aziz Akhannouch, Tariq Sijilmassi, président du directoire du Crédit Agricole du Maroc, et Saïd Mouline, directeur général de l’Agence nationale pour le développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique.
    • Convention de partenariat pour la mise en œuvre de l’initiative SAMAD, signée par Aziz Akhannouch et Mustapha Terrab, président-directeur général du groupe OCP.
    LE MATIN

  • #2
    اللهم بارك لنا فيما اعطيت

    Commentaire


    • #3
      Ce résultat met en lumière une activité agricole améliorée par une pluviométrie abondante bien répartie durant la période hivernale et printanière
      À quand une révolution de la pensée ?
      -----La source de ma pensée-----

      Commentaire


      • #4
        Ce résultat met en lumière une activité agricole améliorée par une pluviométrie abondante bien répartie durant la période hivernale et printanière

        par chaiba


        il y a aussi le travail des agriculteurs ,qui sont la colonne vertébrale de tout résultat

        Commentaire


        • #5
          tout ce tralala pour un rendement de 16 qtx par hectare, c'est derisoire

          16 qtx * 400 dh=6400 dh l'an sans les frais

          voila pourquoi l'exode rurale continue

          Commentaire


          • #6
            citation

            tout ce tralala pour un rendement de 16 qtx par hectare, c'est derisoire


            oui ,c'est une moyenne nationale ,le plan Maroc vert projette de réduire la surface destinée aux céréales de 5,5 millions ha à 4,2 millions ,pour la reconversion en arboriculture ou olivier ,étant donné qu'elle concerne des terres non fertiles pour la céréaliculture ,par contre dans la région de chaouia le rendement passe de 30 qx/HA hors agrégation et 70 qx avec agrégation , à Doukkala il passe de 42 qx/HA hors agrégation à 67 qx /HA avec et enfin à Fes il passe de 19 qx / ha à 60 qx/HA

            Commentaire


            • #7
              tout ce tralala pour un rendement de 16 qtx par hectare, c'est derisoire
              En période de pluies abondantes.

              L'année dernière, ce fut du 9.8qtx à l'hectare.

              Commentaire


              • #8
                C'est du foutage de gueule!

                On croirait lire la comm' sur les résultat de AKWA group!!

                R.à.F de ces chiffres malintentionnés! je met en défi les chantre de ce Mr. de me fournir les chiffres par année de 2009, 2010, 2011 et 2012!

                Commentaire

                Chargement...
                X