Tweet
Tramway
Le grand départ du 1er mai
A moins d’une semaine de la mise en fonction du tramway d’Oran, prévue pour ce 1er mai, telle annoncée par le ministre des Transports M. Amar Tou, lors de sa dernière visite à Oran à l’occasion du lancement des essais technique, la Société d’exploitation des tramways (SETRAM-Oran) est actuellement en train de mettre les bouchées doubles pour être au rendez-vous que les Oranais attendent depuis fin 2008, date du lancement des travaux du projet par le groupement espagnol Tramnour.
Ainsi et depuis ce jeudi, la SETRAM s’attelle à installer des petits kiosques devant servir comme points de vente de la billetterie. L’opération d’installation de ces kiosques a été entamée du côté est de la ville, à Haï Essabah et Haï El Yasmine, a-t-on constaté, avant d’être généralisée sur l’ensemble du tracé du tramway, long de plus de 18,7 kilomètres. Selon des sources concordantes, 500 mètres sépareront un point de vente de l’autre, ce qui nous donne un nombre de points de vente estimé à quelque 35 kiosques en préfabriqué, dont le prix du ticket est fixé à 40 dinars.
La SETRAM a également prévu des formules d’abonnement, où le prix pour l’abonnement d’une semaine est à 32 dinars la place et celui d’un mois à 30 dinars. En parallèle à ces points de vente, la SETRAM continue d’opérer aux derniers ajustements, notamment en ce qui concerne la signalisation sur la voie publique et le nettoyage des stations et autres arrêts sur le long du tracé. Les pluies diluviennes qui sont tombées sur Oran ces dernières 48 ont constitué un avantage inespéré qui a contribué à faciliter cette opération de toilettage avant le jour J, confient des sources proches de la SETRAM. Rappelant enfin que la société d’exploitation des tramways (Setram) est une entreprise, dont les actions sont détenues à hauteur de 30% par l’EMA, 21% par l’Etusa et 49% par le partenaire étranger composé de RATP DEV et RATP El Djazaïria (France). Quelque 650 employés, répartis sur les différents services de la société, se chargeront de la gestion du tramway d’Oran. Une grande partie de ce personnel a bénéficié de formations dans les domaines de la conduite, de la sécurité et de la gestion technique grâce à l’apport de la RATP, dont l’expérience dans la gestion des tramways et autre métro est avérée en France. Il y a lieu de souligner, enfin, que le tramway d’Oran évoluera sur un tracé bidirectionnel étalé sur une ligne de plus de 18 km. Il reliera la commune d’Es-Sénia au sud, à la localité de Sidi Maârouf à l’est, en passant par plusieurs quartiers, dont la place 1er-Novembre au centre-ville pour desservir au total 32 stations. Il est de Citadis et ses rames sont conçues pour offrir une qualité de vie à bord optimale et un maximum de confort pour les passagers avec sièges ergonomiques, matériaux chaleureux, couleurs et éclairages inédits et accessibilité pour les personnes à mobilité réduite. Les autorités ont opté pour les couleurs rouge et blanc, une sorte de clin d’œil au club de foot local, pour le différencier du bleu adopté pour celui d’Alger. M. Brahimi
Le grand départ du 1er mai
A moins d’une semaine de la mise en fonction du tramway d’Oran, prévue pour ce 1er mai, telle annoncée par le ministre des Transports M. Amar Tou, lors de sa dernière visite à Oran à l’occasion du lancement des essais technique, la Société d’exploitation des tramways (SETRAM-Oran) est actuellement en train de mettre les bouchées doubles pour être au rendez-vous que les Oranais attendent depuis fin 2008, date du lancement des travaux du projet par le groupement espagnol Tramnour.
Ainsi et depuis ce jeudi, la SETRAM s’attelle à installer des petits kiosques devant servir comme points de vente de la billetterie. L’opération d’installation de ces kiosques a été entamée du côté est de la ville, à Haï Essabah et Haï El Yasmine, a-t-on constaté, avant d’être généralisée sur l’ensemble du tracé du tramway, long de plus de 18,7 kilomètres. Selon des sources concordantes, 500 mètres sépareront un point de vente de l’autre, ce qui nous donne un nombre de points de vente estimé à quelque 35 kiosques en préfabriqué, dont le prix du ticket est fixé à 40 dinars.
La SETRAM a également prévu des formules d’abonnement, où le prix pour l’abonnement d’une semaine est à 32 dinars la place et celui d’un mois à 30 dinars. En parallèle à ces points de vente, la SETRAM continue d’opérer aux derniers ajustements, notamment en ce qui concerne la signalisation sur la voie publique et le nettoyage des stations et autres arrêts sur le long du tracé. Les pluies diluviennes qui sont tombées sur Oran ces dernières 48 ont constitué un avantage inespéré qui a contribué à faciliter cette opération de toilettage avant le jour J, confient des sources proches de la SETRAM. Rappelant enfin que la société d’exploitation des tramways (Setram) est une entreprise, dont les actions sont détenues à hauteur de 30% par l’EMA, 21% par l’Etusa et 49% par le partenaire étranger composé de RATP DEV et RATP El Djazaïria (France). Quelque 650 employés, répartis sur les différents services de la société, se chargeront de la gestion du tramway d’Oran. Une grande partie de ce personnel a bénéficié de formations dans les domaines de la conduite, de la sécurité et de la gestion technique grâce à l’apport de la RATP, dont l’expérience dans la gestion des tramways et autre métro est avérée en France. Il y a lieu de souligner, enfin, que le tramway d’Oran évoluera sur un tracé bidirectionnel étalé sur une ligne de plus de 18 km. Il reliera la commune d’Es-Sénia au sud, à la localité de Sidi Maârouf à l’est, en passant par plusieurs quartiers, dont la place 1er-Novembre au centre-ville pour desservir au total 32 stations. Il est de Citadis et ses rames sont conçues pour offrir une qualité de vie à bord optimale et un maximum de confort pour les passagers avec sièges ergonomiques, matériaux chaleureux, couleurs et éclairages inédits et accessibilité pour les personnes à mobilité réduite. Les autorités ont opté pour les couleurs rouge et blanc, une sorte de clin d’œil au club de foot local, pour le différencier du bleu adopté pour celui d’Alger. M. Brahimi
Commentaire