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L'Algérie peut tirer profit de la crise économique mondiale pour assurer sa croissance et son développement à travers notamment le rachat des entreprises étrangères en difficultés financières, a estimé samedi à Alger M. Kamel Benkoussa, économiste et financier algérien.
Cette crise a certes des conséquences négatives sur l'économie algérienne, très dépendante des hydrocarbures, mais l'Algérie peut en tirer profit pour assurer sa croissance et son développement, selon M. Benkoussa lors d'une conférence au profit des étudiants de la faculté des sciences économiques et des sciences de gestion.
"L'Algérie peut créer un fonds souverain et le consacrer au rachat des entreprises étrangères qui possèdent un savoir-faire mais qui ont des difficultés financières", a expliqué le conférencier également partenaire dans un fonds américain.
Selon lui, cela permettrait à l'Algérie d'assurer des liquidités à court terme, de la croissance et le développement à moyen terme et le rendement des entreprises rachetées à long terme.
La crise économique en cours entraîne "une baisse des prix de pétrole et systématiquement une baisse des recettes de l'Etat algérien", selon l'expert.
Les pays touchés par la crise sont contraints de dévaluer leurs monnaies, une mesure qui entraîne notamment des surcoûts et en même temps des pressions inflationnistes pour leurs partenaires commerciaux, dont l'Algérie, selon les explications de cet expert.
APS
Cette crise a certes des conséquences négatives sur l'économie algérienne, très dépendante des hydrocarbures, mais l'Algérie peut en tirer profit pour assurer sa croissance et son développement, selon M. Benkoussa lors d'une conférence au profit des étudiants de la faculté des sciences économiques et des sciences de gestion.
"L'Algérie peut créer un fonds souverain et le consacrer au rachat des entreprises étrangères qui possèdent un savoir-faire mais qui ont des difficultés financières", a expliqué le conférencier également partenaire dans un fonds américain.
Selon lui, cela permettrait à l'Algérie d'assurer des liquidités à court terme, de la croissance et le développement à moyen terme et le rendement des entreprises rachetées à long terme.
La crise économique en cours entraîne "une baisse des prix de pétrole et systématiquement une baisse des recettes de l'Etat algérien", selon l'expert.
Les pays touchés par la crise sont contraints de dévaluer leurs monnaies, une mesure qui entraîne notamment des surcoûts et en même temps des pressions inflationnistes pour leurs partenaires commerciaux, dont l'Algérie, selon les explications de cet expert.
APS
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