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Pour une transition sereine et démocratique

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  • Pour une transition sereine et démocratique

    La santé du président de la République s’est encore lourdement dégradée. Le communiqué officiel tente tout naturellement de rassurer la population algérienne. Rien de plus normal, d’autant que M. Bouteflika, qui a été admis en 2005 à l’hôpital militaire du Val-de-Grâce (Paris), ne semblait pas du tout au mieux de sa forme, loin s’en faut ! Lors de sa dernière apparition publique, au cours de l’enterrement de Ali Kafi, il paraissait très fatigué…

    L’épisode de l’hôpital français a laissé beaucoup de séquelles. L’homme a considérablement diminué son rythme de travail. Il n’est plus le même, son état de santé réel semble l’un des secrets les mieux gardés dans notre pays. Sa famille, qui l’entoure en permanence, se charge du suivi… Même si c’est à l’étranger que les soins les plus intensifs ont été prodigués. L’âge et la maladie l’ont contraint à doser ses efforts et surtout à revoir de fond en comble ses activités. Il ne peut plus recevoir les invités étrangers qui visitent notre pays, comme il aimait le faire à tour de bras les premières années de son arrivée au pouvoir. Ses apparitions sont devenues rares ; ses voyages officiels très brefs et épisodiques. Les rumeurs les plus inquiétantes circulent à son propos. Il est donné pour mort à plusieurs reprises.

    L’accident vasculaire cérébral survenu hier fait craindre le pire pour l’état de santé du président de la République. La question qui vient immédiatement à l’esprit est de savoir s’il sera en mesure de poursuivre la lourde charge qu’il assume déjà très péniblement. M. Bouteflika n’est plus en mesure de voyager à l’intérieur du pays, déléguant cette tâche à son Premier ministre, M. Sellal. Ses longues absences, ces dernières semaines, interviennent dans un contexte national et régional très particulier. Le mécontentement social est très fort, alors que les scandales liés aux affaires de corruption sont en train de toucher le plus haut sommet de l’Etat.

    Il ne serait pas du tout exagéré de dire que, depuis ce matin, le débat sur la succession de Abdelaziz Bouteflika va être relancé de manière légitime. Après quatorze ans au pouvoir, il est temps de créer les conditions d’une transition sereine, démocratique, en préservant coûte que coûte la cohésion nationale.

    Omar Belhouchet- El Watan

  • #2
    Ce sera une momie qui se présentera pour un 4e mandat présidentiel, une momie qui présidera aux destinées du pays.
    Ìl n'y a rien de mieux qu'une momie président pour que les requins continuent de se remplir la panse.

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    • #3
      S'il lui restait encore un brin d'amour pour l'Algérie, il devrait convoquer l' élection présidentielle anticipée dans les 3 mois à venir et ainsi éviter à l’Algérie l’incertitude et le vide après la disparition de son président en actions surtout en cette époque ou les charognards et les manipulateurs extérieurs sont nombreux et au aguets de la moindre faille.

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      • #4
        tant que ca arrange les requins , ils nous l'imposeront , meme intubé , dans un lit d'hopital , ils continueront leur magouilles

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        • #5
          Algérie mon amour

          Ironie du sort algérien, Bon il est malade notre pré
          sident Allah ichafih on ne souhaite pas de mal a personne . Mais, avec la situation actuelle du pays, du Mghreb, et ce qui se passe dans le monde ,et l'algérie au lieu de mettre les bouchées double pour régler et apporter des solution pour la situation ,on couvre les événements a l’hôpital ,on lis que les articles sur la sante du président. Il faut qu'il aie le courage et la décence de laisser la présidence pour prendre l'avenir du pays en mains par les gens capable moralement et physiquement. Fini le temps qu'il tape sur le pupitre et les engueulades sur les tayabette alhamam ,passe la responsabilité a un autre pour ne pas dire le flambeau. SVP monsieur le président rend service a ce pays ne serait ce que que pour le temps que vous êtes Président ,Moi vous me dérangez pas, je vis a des milliers de km et ça fait 12 ans que j'ai pas frôlé le sol de la terre qui m'a vu naître et mon pays ne m'a rien donné juste une carte consulaire, et un passeport que je n'utilise pas) au contraire il m'a enlevé au moment ou j'avais besoins d'une assistance. Donc monsieur le prèsident je ne m’inquiète pas pour moi mais pour notre peuple car comme ils le disent un pays que son président est malade c'est un pays malade, donc vulnérable, comme un animal blessé dans la savane , guette par des prédateurs économique avec toutes les armes confondues.
          voila le cri (SOS) d'un harrague
          Éclairer les nations encore obscures.

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          • #6

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