ALGER (Reuters) - L'état de santé du président algérien Abdelaziz Bouteflika, victime d'un léger accident vasculaire cérébral et hospitalisé samedi soir à Paris "évolue bien", rapporte l'agence de presse algérienne APS.
Le président de la République "n'a pas subi de séquelles irréversibles", a précisé à l'APS son médecin, le professeur Rachid Bougherbal, qui a expliqué qu'"aucune fonction motrice ou sensorielle n'a été altérée".
L'accident ischémique transitoire (AIT) qu'a connu le chef de l'Etat samedi "n'a pas duré longtemps" et l'affection est "réversible" et "régresse" sans laisser de "lésions séquellaires", a assuré le praticien.
Abdelaziz Bouteflika doit "compléter" son bilan et "récupérer un peu de la fatigue occasionnée par cette affection", a-t-il ajouté.
Le chef de l'Etat algérien, au pouvoir depuis 1999, a été transféré en fin d'après-midi samedi à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à la demande de ses médecins.
Selon l'agence officielle, Abdelaziz Bouteflika a été victime d'un "accident ischémique transitoire sans séquelles".
L'accident ischémique transitoire est un blocage temporaire de l'irrigation sanguine du cerveau. Il dure généralement moins de cinq minutes et ne provoque généralement pas de dommage permanent au cerveau, selon l'American Stroke Association.
Ces accidents doivent toutefois servir d'alerte, ajoute l'association, car un tiers des personnes qui en ont subi sont victimes d'un véritable AVC dans l'année qui suit.
Abdelaziz Bouteflika, réélu à deux reprises, ne devrait pas briguer un quatrième mandat lors de l'élection présidentielle prévue l'an prochain. Il est rarement apparu en public ces derniers mois.
Selon des rapports diplomatiques américains parvenus aux médias, il a souffert d'un cancer qui est actuellement en phase de rémission.
La question de sa succession reste posée en Algérie, où aucune personnalité n'a pour l'instant émergé.
Hamid Ould Ahmed, Jean-Stéphane Brosse et Pascal Liétout pour le service français
lepoint.fr
Le président de la République "n'a pas subi de séquelles irréversibles", a précisé à l'APS son médecin, le professeur Rachid Bougherbal, qui a expliqué qu'"aucune fonction motrice ou sensorielle n'a été altérée".
L'accident ischémique transitoire (AIT) qu'a connu le chef de l'Etat samedi "n'a pas duré longtemps" et l'affection est "réversible" et "régresse" sans laisser de "lésions séquellaires", a assuré le praticien.
Abdelaziz Bouteflika doit "compléter" son bilan et "récupérer un peu de la fatigue occasionnée par cette affection", a-t-il ajouté.
Le chef de l'Etat algérien, au pouvoir depuis 1999, a été transféré en fin d'après-midi samedi à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à la demande de ses médecins.
Selon l'agence officielle, Abdelaziz Bouteflika a été victime d'un "accident ischémique transitoire sans séquelles".
L'accident ischémique transitoire est un blocage temporaire de l'irrigation sanguine du cerveau. Il dure généralement moins de cinq minutes et ne provoque généralement pas de dommage permanent au cerveau, selon l'American Stroke Association.
Ces accidents doivent toutefois servir d'alerte, ajoute l'association, car un tiers des personnes qui en ont subi sont victimes d'un véritable AVC dans l'année qui suit.
Abdelaziz Bouteflika, réélu à deux reprises, ne devrait pas briguer un quatrième mandat lors de l'élection présidentielle prévue l'an prochain. Il est rarement apparu en public ces derniers mois.
Selon des rapports diplomatiques américains parvenus aux médias, il a souffert d'un cancer qui est actuellement en phase de rémission.
La question de sa succession reste posée en Algérie, où aucune personnalité n'a pour l'instant émergé.
Hamid Ould Ahmed, Jean-Stéphane Brosse et Pascal Liétout pour le service français
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